Il était temps!, certains gouvernements africains commencent à se révolter contre la dictature de l'OMS... Par exemple, le gouvernement malgache, mais aussi le Burundi...: "Le Burundi expulse des fonctionnaires de l'OMS du pays".
De plus, le gouvernement accuse l'Institut Pasteur de fraude:
"L’ouverture d’une enquête a été ordonnée par le gouvernement malgache contre l’Institut Pasteur. La décision est intervenue après qu’un nombre très important de cas testés positifs au Coronavirus a été rendu public en fin de semaine dernière. Selon l’État malgache, il s’agirait de chiffres truqués."
"Le président Malgaches Andry Rajoelina demande à tous les pays africains de quitter l’OMS en raison de la mauvaise foi des Européens vers les Africains…
Andry Rajoelina: «J’ai un regret amer envers les Européens, les Européens ont créé des organisations pour que les Africains soient éternellement dépendant de l’Europe. J’affirme que l’Afrique a trouvé un médicament contre le coronavirus mais les Européens pensent qu’ils ont le monopole de l’intelligence; ils essaient de refuser notre médicament. Sur ce, je demande à tous les pays africains de quitter pacifiquement toutes les organisations mondiales des européens, pour faire nos propres organisations, mon pays Madagascar quitte ce soir toutes les organisations; je demande à tous les Africains qui sont pour cette idée de partager ce message partout dans le monde».
«Si ce n’était pas Madagascar et si c’était un pays européen qui avait découvert ce remède, est-ce qu’il y aurait tant de doutes? Je ne pense pas», a déclaré lundi 11 mai Andry Rajoelina, président de Madagascar, sur RFI, s’engageant ainsi dans un bras de fer avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS), notamment, qu’il accuse d’attitude condescendante vis-à-vis de l’Afrique.
Aucun décès recensé sur l’île
L’argumentaire d’Andry Rajoelina tient en ces quelques mots: Madagascar ne compte aucune victime du Covid-19 malgré près de 200 cas de contamination déclarés, or tous ces patients se sont vus administrés de la Covid Organics. « En temps de guerre », selon les mots du président, et avec l’urgence qui va avec, il estime que cette seule donnée peut servir de preuve.