Aussi, comment encore accorder sa pleine confiance dans les autorités sanitaires et dans l'industrie pharmaceutique, elles qui ont déjà de par le passé généré tant de retentissant scandales, en se portant garant du résultat: du Remdesevir, en passant par le Tamiflu, le Levothyrox, le Distilbène, l'hormone de croissance, le chlordécone, le sang contaminé, l'Isoméride, le Médiator, le Viox, le Diane 35, le Thalidomide, ou encore le Cérivastatine...
De même, le gouvernement affirme d'ailleurs systématiquement avoir appuyé et motivé toutes ses décisions, même les plus incohérentes sur la base d'un conseil scientifique. Mais ce dernier est-il vraiment composé de personnes intègres? On peut raisonnablement en douter, vu l'aberration de certaines mesures adoptées...
Quant aux médias, leur intégrité et neutralité peut aussi être grandement remise en question, avec la bagatelle de 417.000.000 € versés en financements par les entreprises pharmaceutiques à l'ensemble de la presse.
De plus, en vertu de quoi serions-nous sommés de croire sur parole ces criminels aux pratiques douteuses, voir mafieuses, alors que nous avons déjà eu un précédent historique très similaire dans son déroulement (et de manière fort troublante) avec l'expérience malheureuse, le fiasco monumental du H1N1, où les vaccins que l'on nous avait déjà vendu comme très sûrs ont aboutis à de nombreux cas de narcolepsie, de cataplexie, ou encore des syndromes de Guillain-Barré, dont les victimes ont vu leurs vies bouleversées et ont eu toutes les peines du monde à se faire dédommager, même onze ans après... Le lien entre ces graves maladies incurables fortement invalidantes et cette campagne de vaccination ne fût établi que deux ans après les faits.
Pour ce qui est de ces différents vaccins anti-covid 19, aucunes véritables études n'ont étés communiquées au public pour prouver leur innocuité. Nous avons juste eu le droit à des communiqués de presse des laboratoires, qui nous garantissent sur parole une efficacité au-delà de 90 pour cent. Cependant, d'après le Code de Nuremberg qui fut élaboré après-guerre pour mettre un terme définitif aux crimes des expérimentations nazies, tout acte médical sur la personne humaine nécessite au préalable un consentement éclairé, c'est-à-dire de connaître les véritables bénéfices et les risques potentiels. Une condition qui n'est ici absolument pas remplie, puisque l'on a strictement aucun recul sur ces derniers, avec une carence totale d'évaluation sur le long terme...
Un consentement éclairé dont les labos se passent visiblement allègrement, en désignant d'office comme volontaires certaines personnes âgées dans leur maison de retraite, comme la pauvre Mauricette. Cette brave dame, âgée de 78 ans, fût, à sa grande surprise, la toute première française à tendre son bras sous l'œil voyeuriste des caméras pour les besoins de cette mise en scène grossière. Manifestement nous sommes là dans de l'abus de pouvoir et de confiance sur une personne faible. À vomir!
De son côté, le PDG de Pfizer, Albert Bourla, ne semble pas vraiment pressé de se faire vacciner avec ses propres produits, que dans sa grande bonté d'âme, il réserve par charité aux plus faibles de la société. Le même type d'arguments que reprend en cœur notre classe politique, qui pour la toute première fois aurait quelques scrupules à user de passe-droits par rapport au reste de la population. Risible!
Comble de la folie dans ce monde devenu de plus en plus ubuesque, il est même question de continuer les privations de liberté, le port du masque et les distanciations sociales, même après vaccination! Mais dans ce cas, à quoi pourrait-elle donc bien servir et pourquoi nous l'imposer absolument sous les pires pressions, menaces et contraintes? De toute évidence, le but de la vaccination n'est pas d'ordre sanitaire mais politique: il s'agit de parvenir à une normalisation du port de l'identité numérique par chaque citoyen.
Dans le monde rêvé des élites, tout sera bientôt interconnecté, tant les humains, que les objets, les machines ou les infrastructures, et tout pourra être piloté et contrôlé d'une manière efficace, rationalisée et centralisée, à l'aide de la puissance de l'intelligence artificielle... Dans cette nouvelle société, il faut bien comprendre que plus rien ne doit plus échapper à l'emprise de l'empire technologique qui doit coloniser et embrasser tous les espaces, tous les objets, tous les êtres. D'où la nécessité d'avoir déployé en catimini toutes ces antennes de 5G pendant le premier confinement, pour pouvoir faire circuler de telles faramineuses quantités d'informations... Ne serait-ce pas là, une forme de pouvoir et de démesure ultime, d'ordre démiurgique?
LA DÉRIVE TOTALITAIRE
Pourquoi peut-on observer dans le monde entier une telle débauche de moyens, pour un virus qui somme toute, tue à peine plus qu'une grippe saisonnière. Ce dernier ne tuerait en effet pas plus que 0,05 pourcent des personnes infectées et dans l'immense majorité des personnes âgées avec un âge médian de 84 ans alors que l'espérence de vie est de 82 ans? C'est du jamais-vu dans toute l'histoire humaine...
Cela, mérite-t-il un changement complet de civilisation, un bouleversement de nos modes de vie, de nos relations et interactions sociales? En somme, de perdre à tout jamais ce qui fait l'essence même de la vie et de notre humanité? Un "Grand Reset", comme aiment à l'appeler les dirigeants du "Forum Économique Mondial"?
Pourquoi ne jamais avoir mis en place la moindre consultation populaire pour la gestion de toute cette crise qui engage et impacte en profondeur nos vies à tous? Ce choix radical de nouvelle société, voir de civilisation n'est-il pas avant tout un choix citoyen, qui devrait revenir au peuple et non à une clique de technocrates mondialistes élus par personne...
Par ailleurs, comment se fait-il que la santé de milliards de personnes sur cette planète relève de la volonté unique d'une poignée de puissants mégalomanes et notamment d'un certain Bill Gates, cet informaticien et homme d'affaires redoutable et peu scrupuleux, ce faux philanthrope qui n'a strictement rien à voir avec le domaine médical et du soin? Ironie du sort, avant de s'intéresser de très près à notre santé, il était spécialiste des virus, mais informatiques!
Pourquoi déployer une telle débauche de moyens de coercition, de répression et de surveillance, pour une affaire qui relèverait de la santé publique? Ainsi, en pleine Pandémie, on sera surpris de croiser paradoxalement plus de patrouilles de police ou de drones que d'ambulances!
Autre dérive totalitaire détestable de ce nouveau monde parfaitement invivable et infernal: on entretient aussi la division dans la population, on encourage la délation, comme lors de l'une des plus sombre et funeste époque de notre histoire. Ainsi par exemple, certaines municipalités, ont jugé bon de mettre en place avec les acteurs locaux et associatifs des patrouilles dites citoyennes pour surveiller la soirée du réveillon et s'assurer en bons capos de la brigade sanitaire que les consignes gouvernementales sont respectées à la lettre... Voilà qui rappelle furieusement l'expérience en psychologie sociale qui fut menée dans la prison de Stanford, où l'on donnait autorité à tout un groupe d'individus lambda sur un autre groupe, avec le pouvoir de surveiller et de punir ces derniers... Certains, forts de cette nouvelle autorité qui leur est conférée, se prêtent alors très bien au jeu, se faisant les relais zélés du pouvoir.
Désormais, tout le monde surveille tout le monde, et tout le monde se méfie de tout le monde ! Soit la mise en place d'une société délirante, paranoïaque et kafkaïenne.
En outre, depuis le début de cette pandémie, on ne compte plus les abus de pouvoir et de la violence gratuite de la part des force de l'ordre, ou même de simples contrôleur de magasin. On a ainsi pu assister incrédule à des scènes surréalistes, comme: Une vieille dame atteinte de la maladie d'Alzheimer, qui s'est vue verbalisée pour avoir mal renseigner l'heure sur sa fiche de sortie. Un médecin en intervention urgente verbalisé pour non-respect du couvre-feu. Un père de famille se faire débarquer avec sa famille d'un train SNCF, avant de se voir violemment plaqué au sol devant sa petite fille en sanglots pour simple port d'un masque jugé trop lâche. Chez nos voisins hispaniques, on a même vu une dame se faire littéralement taser en pleine rue et hurler à la mort, pour non-port du masque! En Australie, on a aussi vu un agent de sécurité d'un hôtel de Melbourne se saisir d'un adolescent sans masque avant de littéralement lui enserrer la gorge pour l'étouffer jusqu'à le rendre inconscient avant de le traîner par terre, comme une vulgaire poupée de chiffon totalement inerte... En Belgique, où les mesures pour le soir du réveillon ont été drastiques, on a vu, suite à une dénonciation du voisinage, un escadron de policiers débarquer manu militari chez un particulier qui avait eu le malheur d'inviter trop de convives, passant outre les injonctions officielles sur les mesures de confinement. Après un échange très tendu et filmé, la propriétaire des lieux, une femme d'un certain âge, s'est littéralement vue entraînée dans un déchaînement de violence inouïe, en finissant tabassée à même le sol par un policier en roue libre, alors qu'elle a le visage tuméfié sous l'effet des coups! Inimaginable! J'en passe et des meilleurs. De telles dérives qui semblent se multiplier en toute impunité sont on ne peut plus inquiétantes.
On peut aussi légitimement s'inquiéter de voir l'état s'ingérer de plus en plus au sein de notre vie privée, au cœur même de notre intimité pour manifester des velléités de surveillance, de régulation et de contrôle, comme par exemple pour la soirée de réveillon, où il préconise de ne pas être plus de 6 à table, de ne surtout pas chanter au cours du repas et de ne pas partager sa bûche de Noël avec Papy et Mamie qui pour ne pas les exposer devraient rester confinés dans la cuisine, comme le suggère le néphrologue pédiatre Rémi Salomon!
Quelle est la prochaine étape de cette folie furieuse, de ces ingérences insupportables : nous interdire de parler trop fort ou tout court pour ne pas risquer de diffuser des microparticules de virus dans l'air ambiant? Ou encore, nous interdire la prononciation de certaines consonnes et autres sonorités qui seraient susceptibles d'expulser plus de gouttelettes de salive dans l'atmosphère? Le postillon deviendrait-il un acte terroriste? Faut-il bannir certains mots du dictionnaire à trop haut facteur de risques? Mieux encore, pour couper court à tout risque potentiel de propagation, l'état va-t-il dans un futur proche, nous imposer un implant cérébral permettant de communiquer en mode télépathique avec nos interlocuteurs? Ou encore, allons-nous nous retrouver interdits de faire l'amour de manière conventionnelle, sauf bien entendu en mode "Gloryhole", avec une plaque de plexiglas obligatoire pour faire écran de protection? En outre, certaines positions sexuelles comme la sodomie seraient-elles à privilégier, car n'impliquant pas de face-à-face avec son partenaire? Où peut-on trouver la liste officielle du gouvernement des positions autorisées du "Coronasutra"?
Une chose est sûre, avec cette crise sanitaire on assiste de la part de l'état à une démonstration de toute-puissance et à un mélange particulièrement malsain d'infantilisation totale de ses concitoyens, mêlée à une culpabilisation et à une répression de tous les instants...
Comme le dit, avec pertinence, la généticienne Alexandra Henrion-Caude, dans un renversement extraordinaire, nous sommes tous présumés malades et contagieux, nous avons perdu d'office notre droit à être présumé sain. Un peu comme si en justice, la présomption d'innocence était définitivement bannie et que nous serions d'office considérés comme des criminels en puissance... Quelle société peut encore fonctionner sur un tel postulat?
Et puis, quel est le sens de cette nouvelle existence que l'on cherche désormais à nous imposer? Vivre pleinement ne suppose-t-il pas d’affronter les imprévus, l’insécurité des accidents, des maladies et même en dernière instance, la mort? Vivre n'implique-t-il pas justement de lâcher prise sur ce qu’on ne pourra au grand jamais contrôler? La plus grande leçon de philosophie que la vie puisse nous offrir n'est-elle justement pas d’apprendre à mourir? La sagesse suprême, n'est-elle pas d'intégrer la mort comme faisant totalement partie de l'équation complexe de la vie?
Comment peut-on se résigner à ne plus vivre par risque de mourir? Comme dirait le chanteur Jacques Higelin: «Ceux qui ont peur de mourir on souvent peur de vivre. Ils respirent prudemment en attendant la fin.».
Quel est au juste le sens d'une vie coupée de tout ce qui en fait la valeur, de ce qui la rend si précieuse, unique et authentique, à savoir: les émotions, les rires et les sourires, l'insouciance, l'amour, le partage, les rencontres, l'évasion, les découvertes, les loisirs? Désormais, nous sommes plongés dans un programme de mort, conduits par ces élites psychopathes soi-disant philanthropes dans une société ultra-contrôlée, artificielle, aseptisée et déshumanisée. Dans cet univers, la seule activité humaine qui semble encore être tolérée est le travail.
À l'avenir, dans cette nouvelle dictature numérique, allons-nous être obligés de vivre nos vies par procuration, comme si nous étions déjà morts? Forcés de communiquer avec nos proches exclusivement sur les réseaux sociaux par écrans interposés, de voyager ou faire du sport par casque virtuel, d'aller au cinéma dans notre salon, ou en regardant des séries Netflix, de faire nos courses en ligne sur Amazon?
D'autre part, depuis des mois, on a vu la liberté d'expression être complètement bafouée sur de nombreux sujets. C'est la première grande victime de ce virus ! Pourquoi censurer toutes les voix dissidentes qui s'élèvent de par le monde pour dénoncer les nombreux dysfonctionnements dans la gestion de cette crise sanitaire et notamment sur les réseaux sociaux et les plateformes telles que YouTube et Facebook, sous prétexte de lutte contre les "Fake News". Est-ce bien là le rôle dévolu à ces plateformes sociales qui devraient pourtant se cantonner à assurer une parfaite neutralité et simplement servir de canal aux informations qu'elles véhiculent? En réalité, on ne peut que faire le triste constat que les algorithmes des réseaux sociaux et les "fact-checkers" sont devenus des instruments de censure et de propagande, bien plus que des garants indépendants de la vérité. Ils servent d'alibi pour mettre en place une censure massive et généralisée. Ainsi, Facebook se permet de censurer toute position critique vis-à-vis de la vaccination.
Et ne parlons pas de certains médecins qui se sont tout simplement vus licenciés par la direction de leur hôpital en pleine crise pandémique. Ce fut le cas pour le médecin anesthésiste-réanimateur belge Pascal Sacré, qui pour avoir dénoncé publiquement la gestion calamiteuse de la crise sanitaire et relevé de nombreux disfonctionnements, s'est vu du jour au lendemain, licencié comme un malpropre d'un établissement où il travaillait sans aucun problème, depuis 9 ans.
Pire dans certains cas, on a même vu des médecins comme le professeur Jean Bernard Fourtillan, expert en pharmacologie et toxicologie se faire arbitrairement arrêtés pour se faire interner en hôpital psychiatrique. Ce professeur intervenant dans le documentaire taxé de complotiste "Hold-Up", qui fut censuré de toutes les plateformes de diffusions. Dans ce film, Fourtillan y mettait directement en cause l'implication du laboratoire pharmaceutique Pasteur dans la création du virus qui serait pour lui une création artificielle ce qui recoupe les déclarations du Prix Nobel Luc Montagné. D'ailleurs cette hypothèse est loin d'être totalement absurde, car manifestement, ce virus avec ses propriétés inédites et extraordinaires semble bien peu naturel. En effet, contrairement aux autres virus, il ne semble pas avoir de saisonnalité si bien qu'on le retrouve tout au long de l'année, en été comme en hiver... Le docteur a ainsi vu les forces de l'ordre débarquer à son domicile, saisir tous ses ordinateurs, puis il a été convoqué par voie express devant un juge avant de se voir interner contre son gré dans un hôpital psychiatrique! Des méthodes dignes de la police politique Stasi sous l'ère de l'ex Union des républiques socialistes soviétiques en RDA, où l'on enfermait les opposants au régime dans des établissements spécialisés pour les museler.
Encore plus inquiétant, on commence de plus en plus à évoquer la possibilité de placer les cas positifs Covid dans des camps d'internement, alors même que les tests manquent de fiabilité. Il a en effet été évoqué sur la chaine LCI, l'hypothèse de séparer les membres de leur propre famille, voir les enfants de leur parents! On marche sur la tête, du pur délire...
En réalité, dans les discours officiels, on ne parle que très peu de traitement et de guérison. En revanche, on peut très nettement observer une totale dérive sécuritaire avec un exécutif en roue libre, qui s'octroie les pleins pouvoirs à la faveur de l'urgence sanitaire. Comme un coup d'état qui ne dirait pas son nom.
Jacques Attali, ce faiseur de rois qui murmure à l'oreille des Présidents depuis des décennies, véritable éminence grise tapie dans les coulisses du pouvoir, nous parle aussi d'un "état d'urgence permanent", au nom du principe de précaution. Mais, qu'elle est alors la différence avec un régime dictatorial si le régime d'exception devient la norme? Et pourquoi ce même principe de précaution qui est ici convoqué, n'est plus valable lorsqu'il s'agit des vaccins, qui vont pourtant impacter directement notre santé et menacer notre intégrité physique?
Dans cette dynamique liberticide, le gouvernement a aussi adopté une scandaleuse loi dite de sécurité globale qui empêche de filmer les policiers dans l'exercice de leur fonction lorsqu'ils interviennent dans l'espace public! Autant dire que cela va leur assurer la plus grande impunité pour leurs actions de répression à venir... On remarquera que pendant qu'on instaure cette opacité pour le pouvoir et ses petites mains exécutantes, dans le même temps, on exige de plus en plus de transparence pour le citoyen lambda qui se retrouve fliqué, tracé, épié, filmé, écouté en permanence...
Parallèlement à cette nouvelle loi inique, début décembre, le gouvernement autorise discrètement le fichage des opinions politiques, ou l'appartenance à des organisations syndicales, par le renseignement avec des décrets publiés élargissant le champ d'action de trois fichiers auxquels certains services de renseignement ainsi que les forces de l'ordre ont accès. Les individus considérés comme dangereux pour la "sécurité publique" pourront désormais être répertoriés dans trois fichiers. Pourront désormais y être inscrits les opinion politiques, philosophiques et religieuses, les comportements et habitudes de vie, les déplacements, les pratiques sportives ou les activités sur les réseaux sociaux...
Et lorsque lors d'un entretien l'on fait remarquer à notre roitelet mal-aimé, ce triste sire de Macron, ce tyran en puissance de Jupiter, qu'il est entré de plein pied dans une pleine dérive totalitaire et qu'il transforme progressivement le pays en dictature, il hausse les épaules avec dédain et mépris, avant d'essuyer la poussière de son veston, comme l'eau qui glisse sur le dos du canard... Faisant bien comprendre par là qu'il s'en contrefichait royalement, tout en rétorquant, avec la vulgarité qui le caractérise «Je m'en bas lec...», sous-entendu, "je m'en bas les couilles"...
Par ailleurs, pourquoi à quelques exceptions près, une telle uniformité à travers le monde dans la gestion de cette crise sanitaire, les mêmes incohérences qui reviennent, les mêmes mensonges, les mêmes manipulations, les mêmes méthodes comme si tous les pays obéissaient à une même stratégie et à un plan d'ensemble?
En fait, tout indique un immense péril menaçant notre santé, mais aussi nos libertés les plus fondamentales et inaliénables, car il est de plus en plus question d'introduire un passeport vaccinal... Outil totalitaire s'il en est, et véritable sésame qui nous permettrait de continuer à vivre plus ou moins normalement dans cette nouvelle société aseptisée, ultra-normée et surveillée. L'accès aux écoles, transports, commerces et emplois serait alors conditionné à ce carnet vaccinal sous-cutané. Quel odieux chantage que voilà! Comment peut-on alors encore oser se prévaloir de la démocratie, avec la mise en place d'une telle société à deux vitesses, reléguant certains individus à l'état de sous-citoyens, de parias, dont la seule faute, le plus grand crime, impardonnable, serait d'avoir voulu rester avant tout des humains authentiques et incorruptibles. Ces derniers, qui auront refusé ce type de progrès à marche forcée, seront les chimpanzés du futur, le dernier maillon de l'évolution, des sous-hommes, face aux surhommes augmentés. Il faut bien comprendre que dans le monde qu'ils ambitionnent de voir naître, ce nouvel âge d'or, il n'y aura plus de place pour l'humain, tout sera robotisé et automatisé, les travailleurs laborieux étant devenus superflus. Un monde divisé entre les Dieux et les inutiles, les êtres substituables, dixit le détestable pape français du transhumanisme Laurent Alexandre.
Tout porte à croire que nous allons assister dans un futur proche, à l'extension globale du modèle chinois de contrôle des populations, avec la mise en place d'un système de crédit social, appuyé par un contrôle numérique intégral et permanent sur nos vies et nos comportements. Soit, l'émergence d'un système technocratique tyrannique redoutable, capable de couper les vivres du jour au lendemain, au moindre dissident et opposant à ce système impitoyable. Le pouvoir d'achat et les libertés de déplacement étant alors subordonnées à son comportement et à sa bonne soumission aux normes édictées et imposées par le système.
Tout cela rappelle furieusement de nombreux romans d'anticipation dystopiques tels "1984" de Georges Orwell, ou "Le meilleur des mondes" d'Aldous Huxley, ou même le texte prophétique et biblique de "l'Apocalypse" de Saint-Jean, avec sa fameuse "marque de la bête" sans l'imposition de laquelle "plus personne ne pourrait ni acheter, ni vendre". Et cela d'autant plus que l'enzyme luminescente du vaccin Moderna, un colorant fluorescent à points quantiques, qui indiquerait ou non la présence en règle de la vaccination s'appelle la "Luciférase"! Il s'agit de minuscules cristaux semi-conducteurs qui réfléchissent la lumière et qui brillent sous les infrarouges.
À ce propos, rappelons-nous l'étonnante mise en garde de l'occultiste Rudolf Steiner: «Dans l'avenir, nous éliminerons l'âme avec la médecine. Sous le prétexte d'un 'point de vue de santé', il y aura un vaccin par lequel le corps humain sera traité dès que possible directement à la naissance, afin que l'être humain ne puisse pas développer la pensée de l'existence de l'âme et de l'Esprit. (...) Une fois le corps éthérique détaché, la relation entre l'univers et le corps éthérique deviendrait extrêmement instable, et l'homme deviendrait un automate, car le corps physique de l'homme doit être relié sur cette Terre par la volonté spirituelle.»
En tous les cas, quel merveilleux outil d'asservissement qu'une pandémie qui permet d'imposer une tyrannie sous couvert d'œuvrer par humanisme à la santé de son prochain... Grâce aux mesures sanitaires, les rassemblements et les manifestations deviennent plus difficiles, voir interdites et les gens ont de plus en plus de mal à échanger des informations entre eux. Comme avec le terrorisme, le virus constitue un allié précieux du pouvoir, car tous les deux sont des ennemis invisibles et insaisissables. Les gens apeurés sont alors plus dociles et ont alors tendance à s'en remettre entièrement à leur gouvernement pour résoudre le problème. Ces deux menaces permettent donc de distiller et d'entretenir une peur de tous les instants chez les individus et de mettre en place des mesures de contrôle des populations inédites. Et avec la société du tout numérique et du télétravail à outrance qui se met en place, ils sont désormais en mesure de tout surveiller et contrôler... Klaus Schwab l'a affirmé: «L'endiguement de la pandémie de Coronavirus nécessitera un réseau de surveillance mondial.» .
Là où c'est particulièrement pervers, c'est que grâce au totem intouchable de la santé, ceux qui s'opposent à cette dérive totalitaire sont culpabilisés, taxés de complotistes, d'égoïstes irresponsables, voir de danger public. Voilà qui est tout bonnement machiavélique! À propos de Machiavel, il disait en son temps que: «Celui qui contrôle la Peur des gens devient le maître de leurs âmes!» N'est-ce pas justement ce à quoi nous assistons: une société qui perd toute son âme, parce que la peur a durablement gagné les cœurs et empoisonné les esprits?
Et cette dérive n'est vraisemblablement pas prête de s'arrêter, car Macron à annoncé lors d'un entretien par rapport aux prochaines élections présidentielles: «Peut-être que je ne pourrai pas être candidat. Peut-être que je devrais faire des choses dans la dernière année, dans les derniers mois, dures parce que les circonstances l’exigeront et qui rendront impossible le fait que je puisse être candidat.». Voilà qui est des plus inquiétant et lourd de sous-entendus et qui pourtant n'a pas de sens étant donné que le vaccin présenté comme la solution miracle est sur le point d'arriver... Ces décisions très dures et impopulaires, pourraient-elles être la séparation des enfants de leurs parents qui a été évoquée par l'Organisation Mondiale de la Santé, ou encore par la reine d'Angleterre dans l'une de ses allocutions? Jacques Attali, de son côté, n'y va pas par quatre chemins en déclarant le 11 avril 2020 sur France 24: Il faudra, dans tous les pays, isoler celui qui est contaminé de sa propre famille.».
L'avocat allemand de renom Reiner Fuellmich, qui s'était notamment illustré de par le passé en s'attaquant à Volkswagen, mais aussi à la Deutschbank pour leurs fraudes et corruption, n'hésite pas à évoquer au sujet de toute cette Pandémie, la possibilité d'un crime contre l'humanité de grande ampleur... Il parle de "Scandale du Corona" pour qualifier cette crise sanitaire et de ce qui constituerai ni plus, ni moins que la plus grande affaire de délit civil de tous les temps! Il met notamment en cause la fiabilité douteuse des tests PCR de Drosten sur lesquels se justifient et s'appuient pourtant toutes les mesures sanitaires et les privations de liberté qui en découlent, des mesures de confinement, de distanciation sociale et de port obligatoire des masques. Le tout entraînant des dommages collatéraux et un préjudice incommensurable sur les populations du monde entier avec des faillites en cascades, des drames humains, des traumatismes et un recul des libertés publiques sans précédent.
Pour finir ce volet sur la dérive totalitaire, n'oublions jamais qu'une liberté qui est "temporairement" suspendue est bien souvent perdue à tout jamais, et que les mesures provisoires ne tardent jamais à s'imposer à tout le monde comme la nouvelle norme. Rappelons-nous enfin de la mise en garde, d'une grande justesse de Benjamin Franklin: «Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux.».
Peuples du monde, nous sommes rendus à la croisée des chemins et il est donc grand temps d'ouvrir les yeux, de prendre position, de résister et de se lever pour reprendre enfin en mains les clés de notre destinée collective afin de dire définitivement non à toutes ces folies et projets mortifères qui n'ont plus rien d'humain...