Une crise a éclaté en Slovénie, un pays d'Europe de l'Est:
Une infirmière dénonciatrice a déclaré au public que des politiciens et d'autres personnes (personnes âgées) recevaient une solution saline à la place du médicament expérimental ARNm, a écrit le Dailytelegraph.co.nz.
Dans une vidéo publiée sur Facebook, https://www.facebook.com/watch/?v=190515176301913, et qui a auparavant été supprimée (censure) par YouTube, la femme qui affirme être l'infirmière en chef du Centre médical universitaire de Ljubljana, qui reçoit et gère les flacons pour les politiciens, a démissionné et a ensuite tenu une conférence de presse pour dénoncer ce scandale.
Au cours de la conférence, elle a montré des codes sur les flacons, chacun contenant le chiffre 1, le chiffre 2 ou le chiffre 3 dans le code, puis a expliqué la signification de ces chiffres:
- Le numéro 1 est le placebo, une solution saline.
- Le numéro 2 est l'ARNm classique.
- Le numéro 3 est un morceau d'ARN contenant l'oncogène, lié à l'adénovirus, qui contribue au développement du cancer.
Elle a déclaré que ceux qui reçoivent le flacon numéro 3 développeront un cancer des tissus mous dans les deux ans suivant l'injection!!!
Elle dit qu'elle a personnellement été témoin de l'inoculation de tous les politiciens et magnats et que tous ceux qui ont reçu le flacon numéro 1 déclarent avoir reçu la solution saline, un placebo.
Cela explique notamment pourquoi c’est la même personne qui administre le «vaccin» aux politiciens, lorsqu'ils se font prendre en photos pour les médias.
Commentaires: Conseils aux "vaxxinés" (Rappel: Il ne s'agit nullement de vaccins au sens scientifique et légal!): Vérifiez tout de suite le code du ou des "vaxxin(s)" que vous avez reçu(s)!
1) Si vous avez eu la "chance" de recevoir un ou des soi-disant(s) "vaxxin(s)" codé(s) 1: pas de problème, probablement ne vous protège-t-il de rien, mais au moins ne vous cause-t-il aucun problème (comme disait Hippocrate: "Primum non nocere!")! Remerciez le Ciel de votre "chance", et tirez la leçon de l'histoire: Refusez catégoriquement toute nouvelle injection! Vous n'aurez, en effet, peut-être pas autant de "chance" la prochaine fois! ("Errare humanum est, perseverare diabolicum!")
2) Si vous avez reçu une ou plusieurs injection(s) codée(s) 2, vous avez déjà reçu un produit, réalisé à partir de cellules de bébés avortés, à fort pouvoir de nuisance, contenant de nombreux poisons (protéine spike, oxyde de graphène, hydrogel DARPA, etc.). Si vous voulez vivre lontemps et en bonne santé, vous devez entreprendre votre désintoxication au plus tôt. Différents protocoles existent: NAC, gluthation, di-oxyde de chlore, suramine (infusions d'aiguilles de pin sylvestre), ivermectine, etc. Prenez contact avec des spécialistes, comme, par exemple, pour le di-oxyde de chlore, le Dr Kalker. Vous aussi, bien sûr, refusez catégoriquement toute nouvelle injection! Chacune est plus dévastatrice que la précédente! Si vous avez survécu jusque là, vous n'aurez, en effet, peut-être pas autant de "chance" la prochaine fois! ("Errare humanum est, perseverare diabolicum!") Par exemple, des injectés à deux doses succombent à la troisième!
3) Si vous avez reçu un produit codé 3, cette situation pourrait être la pire, car, selon le témoignage de cette infirmière slovène (qui reste à confirmer), en plus des poisons déjà inclus dans le (faux) "vaxxin" "normal" (voir cas n°2), il y aurait, encore en plus, dans le soi-disant "vaxxin", un oncogène - c'est-à-dire "un gène dont l'expression favorise les tumeurs".
Selon Wikipédia, après activation d'un ocongène, "dans tous les cas, l'on obtient un produit hyperactif qui stimule la division cellulaire de sorte qu'elle échappe à la régulation normale", de sorte que, selon cette infirmière slovène: "ceux qui reçoivent le flacon numéro 3 développeront un cancer des tissus mous dans les deux ans suivant l'injection".
Ce pronostic peu engageant ne veut naturellement pas dire que même en ce cas il n'y ait plus rien à faire! Là encore, bien évidemment, s'abstenir impérativement de toute dose supplémentaire!!! Tous les protocoles ci-dessus évoqués valables pour le code 2 sont, bien sûr, aussi valables pour le code 3 et sont déjà à mettre immédiatement en place, mais, peut-être, encore en plus, un processus spécifique de désactivation de l'oncogène pourrait être requis? Il convient donc ici de demeurer attentif aux travaux des authentiques chercheurs jusqu'à ce qu'il y en ait un ou plusieurs qui trouvent une ou des solutions. Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir!
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