Grâce à Masaru Emoto nous savons déjà que l'eau du robinet n'est pas "Hado", mais il y a peut-être pire... Selon certains scientifiques et quelques études, il existe une relation avérée entre la présence d’aluminium dans l’eau dite "potable" et les risques de développer la maladie d’Alzheimer.
Alzheimer, un nom que l'on entend de plus en plus et qui ne rassure pas... Difficile d’ignorer l'existence croissante
de cette maladie et ses ravages dans les têtes plus ou moins chenues. Du président de la République, en passant par le courrier quotidien, jusqu'aux spots TV, l'on en parle maintenant de plus en
plus. Et de plus en plus de gens craignent d’être personnellement touchés ou de voir leurs proches frappés par cette
déchéance ressentie comme insupportable.
Alzheimer, ce serait, en France, de l’ordre de 100 000 nouveaux cas par an, ce qui fait actuellement un million par dix ans. Et cela ne fait que
commencer... C’est surtout une maladie symptomatique des sociétés dites industrielles. Bien sûr, toute maladie - et Alzheimer ne fait pas exception - est plus ou moins dite
"plurifactorielle". Cela veut dire qu'il y a des facteurs psychiques internes et des facteurs physiques extérieurs qui la déclenchent.
Pour ce qui est de Alzheimer, son déclenchement et son évolution seraient schématiquement liés à trois grands facteurs: l’environnement dit "social", le facteur
génétique (lié à l'hérédité) et les facteurs environnementaux.
Avant d'aborder les facteurs dits "environnementaux" (en particulier, la pollution par l'aluminium), disons quelques mots des
facteurs psychiques. Il existe de bonnes raisons de penser qu'une absence de réelle vie spirituelle, associée à une superficialité - hélas! - des plus répandues, serait l'une des causes psychiques principales de la maladie
d'Alzheimer, mais cela n'est, bien sûr, pas "scientifiquement démontrable", autrement dit cela n'est pas propuvable à la partie la plus limitée de la conscience humaine,
soit la conscience exclusivement intellectuelle...
Ajutons à cela que, lorsque la "Pression" extérieure devient trop forte, c'est, souvent, chez l'être humain, les cellules cérébrales
qui "disjonctent" les premières...
La maladie d’Alzheimer, incurable et mortelle, est la plus fréquente cause de ce que l'on appelle la
"démence sénile". En langage quotidien, cela signifie tout simplement "perdre la tête". Cela commence par un déficit de la mémoire
d’apprentissage et, avec l'inexorable progression du mal, cela finit par atteindre toutes les fonctions intellectuelles, notamment celles du "jugement"
intellectuel, du calcul mental et même du langage.
Au titre des facteurs environnementaux, existe, en premier lieu, la question de l’absorption d’aluminium par
voie alimentaire. L’aluminium, métal techniquement très utile par sa légèreté et sa solidité, est, toutefois, reconnu comme étant un neurotoxique. C’est en raison de cette inquiétante spécificité que, au fil des années, casseroles et récipients en cette matière ont progressivement été retirés de la vente. Cela c’était, toutefois,seulement la partie émergée de l’iceberg. L'on se rend compte, en effet,
enfin, aujourd'hui, que le sulfate d’alumine (plus communément appelé "alun") est utilisé pour
"purifier" l’eau du robinet.
Le problème c’est que de l’eau, l'on en consomme beaucoup et que les particules d’aluminium présentes qui s’y trouvent, malgré des niveaux faibles, sont rendues,
par leur forme hydrosoluble, particulièrement bien assimilables par l'organisme humain.
Selon le taux d’aluminium présent dans l’eau potable (mais inférieur aux normes européennes), il est déjà établi que l'on peut avoir deux fois plus de risques de développer la maladie d’Alzheimer. Evidemment, un tel constat devrait profiter aux vendeurs d'eau en bouteilles..., mais est-ce une raison suffisante pour continuer à s'empoisonner à petit feu? Il semble, en effet, que toutes les études convergent sur ce point. Au-delà de 100 milligrammes d'aluminium par litre l’eau potable deviendrait un co-facteur de la maladie d’Alzheimer. L’OMS, souvent "rassurante", estime, pour sa part, qu’entre 0.1 et 0.2 mg/l la présence de l’aluminium ne serait pas dangereuse dans l’eau potable. Si au Canada le taux a été ramené à 0,1, il semblerait qu’en France ce taux soit très variable selon les régions et dépasserait régulièrement les 0,2.
Bien sûr, il y aura encore, pendant des années, jusqu'à ce que cela s'impose enfin comme une évidence dans la conscience collective, des "scientifiques" qui s'en
viendront "scientifiquement" contester le danger de l'Al-umiminium pour l'Al-zheimer... A chacun de
croire qui il veut...
À l’autopsie, l'on constate que le cerveau des personnes atteintes de la maladie
d’Alzheimer contient une concentration élevée d’aluminium, métal qu’on ne retrouve pas dans les tissus cérébraux
sains. Des expériences effectuées sur des animaux prouvent que l’aluminium a une action toxique sur le système nerveux, mais la dégénérescence des neurones observée chez
les sujets animaux diffère de ce qu’on voit chez les êtres humains. L’aluminium entraîne une dégénérescence neuronale chez le lapin, le chat et le chien. En effet, lorsqu’on injecte des sels
d’aluminium directement dans le cerveau de ces animaux, l'on observe un déficit de la mémoire d’apprentissage, un ralentissement général et une perte de la curiosité. Si les
similitudes sont frappantes avec manifestations de la maladie d’Alzheimer, la dégénérescence neuronale n’est toutefois pas aussi grave que dans la maladie d’Alzheimer humaine.
Pour les animaux, les facteurs psychiques ne sont naturellement pas les mêmes.
Plusieurs études épidémiologiques, dans six pays différents, ont conclu à une augmentation notable de l’incidence de la maladie d’Alzheimer en relation avec
une concentration trop importante de l’aluminium dans l’eau de boisson. Mais, là encore, la contestation vis-à-vis de tels dérangeants résultats ne manque pas et, le plus souvent, les
autorités sanitaires ne bougent pas...
Dans notre alimentation quotidienne, 5% seulement de l’aluminium que nous consommons proviennent de l’eau. Mais ces 5% passent intégralement la barrière intestinale
et présentent de ce fait une biodisponibilité supérieure aux autres 90 %.
Des alternatives techniques existent. L'on peut désinfecter par des sels de fer plutôt que du flocalu. Selon le lieu où chacun
habite ce n'est pas la même eau qui, à son robinet, lui est servie. Bien sûr, rien ne remplacera jamais l'eau d'une source pure...
Bien sûr, il est aussi opportun de rechercher les causes "environnementales" d'une pathologie donnée. Il n'empêche que ce qui serait le plus profitable aux êtres
humains toujours plus menacés par toutes osrtes de pathologies plus ou moins nouvelles, ce serait de se remettre en cause eux-mêmes dans leurs faux comportements vis-à-vis de la
Nature et des incontournables Lois...