un des mensonges des autorités
"Que la vaccination soit obligatoire ou non, vacciner de force, c'est violer. Y collaborer
est meurtrier."
Dr Ghislaine Lanctôt, M.D
- Extrait du livre LA MAFIA MÉDICALE (La Trilogie du
Mensonge), pages 115 à 133.
Les vaccins préviennent-ils les
maladies ou ... les donnent-ils?
Les vaccins nous protègent contre les virus et microbes agresseurs éventuels et préviennent ainsi les maladies contagieuses et les épidémies, nous enseignent les autorités. L'énorme
mensonge.
Cet énorme mensonge se perpétue depuis cent cinquante ans en dépit de:
1. L'INEFFICACITÉ des vaccins à protéger contre les maladies:
- la vaccination peut provoquer la
maladie qu'elle est censée prévenir.
- la personne vaccinée peut transmettre la maladie, même sans être malade elle-même.
- la vaccination peut sensibiliser la personne à la maladie.
En 1905, le taux de mortalité due à la variole s'élevait, aux Philippines, à 10%. Après une vaccination massive, se déclara une épidémie qui frappa mortellement
25% de la population - dûment vaccinée. Malgré cet échec, les autorités intensifièrent les vaccinations. En 1918, la pire épidémie tua 54 % des gens, alors que la population était vaccinée à
95 %. Manille, la capitale, où les habitants étaient tous vaccinés et revaccinés, fut la plus touchée: 65,3 %. L'île de Mindanao, où les indigènes avaient refusé la vaccination, fut la moins
touchée: 11,4 %. Malgré ces évidences, la vaccination antivariolique continua et l'O.M.S. lança, en 1966, une campagne mondiale qui dura 10 ans et fut abandonnée en raison de son
inefficacité.
2. L'INUTILITÉ évidente de certains vaccins, notamment pour les maladies telles que:
- la tuberculose et le tétanos qui
ne confèrent pas d'immunité, jamais. Le fait d'avoir eu la tuberculose ne nous empêche pas de récidiver. Au contraire, une première tuberculose (parfois causée par le vaccin) rend la personne
beaucoup plus vulnérable à un second épisode, souvent mortel.
- la rubéole où 90% des femmes d'une population sont naturellement protégées et que les risques de contracter la maladie sont limités aux 3 premiers mois de la grossesse. Or on vaccine toute
la population, y compris les garçons.
- la diphtérie qui, au moment des plus grandes épidémies, ne touchait que 7 % des enfants. Or, on les vaccine tous. Plus encore, on vaccine de façon répétée enfants et adultes, bien qu'on
prétende qu'un seul vaccin reçu dans l'enfance assure l'immunité ad vitam.
"L'enfant vacciné est un enfant contaminé." - Kalmar
"Vacciner, c'est remplacer une immunité naturelle par une immunité artificielle." - Simone Delarue
- La grippe et l'hépatite B dont les virus deviennent rapidement et fortement résistants aux anticorps des vaccins. Ces deux vaccins sont alors totalement inutiles, outre le fait qu'ils
soient extrêmement dangereux.
La meilleure immunité, c'est l'immunité naturelle. Elle se retrouve normalement dans 80 à 90% de la population avant l'âge de 15 ans.
Parce que la contamination d'une personne par une maladie mobilise tous les systèmes de défense de l'organisme, l'immunisation naturelle se fait dans l'ordre. Au contraire, la contamination
vaccinale court-circuite toutes les premières défenses. L'immunisation artificielle se fait dans le désordre. Pas étonnant qu'elle exige des rappels fréquents... aussi inutiles que les
vaccins eux-mêmes!
3. Les innombrables COMPLICATIONS dues aux vaccins
- allant des troubles mineurs (allergiques, neurologiques ... ) à la mort (mort subite du nourrisson);
- de courte durée ou permanentes;
- d'apparition immédiate, retardée ou tardive;
- passagères ou irréversibles;
- connues et inconnues.
Au cours de mes lectures, j'ai fait une liste des complications des vaccins, au fur et à mesure que je les voyais mentionnées. Je vous la soumets telle quelle. Je les ai disposées en trois
colonnes, suivant qu'elles apparaissent:
- rapidement (1 jour à 1 mois après la vaccination) À COURT TERME;
- lentement (quelques mois à quelques années) À MOYEN TERME;
- tardivement (quelques années à quelques générations) À LONG TERME.
Les complications à court terme et à moyen terme sont connues et documentées. Les complications à long terme sont déjà évidentes dans certains cas. Mais nous n'avons pas encore les preuves
vivantes pour toutes. Les désirons-nous vraiment? Voulons-nous attendre de constater l'apparition d'ailes de poulet sur nos petits enfants pour commencer à nous poser des questions sur les
bienfaits de la vaccination?
Les personnes qui travaillent un tant soit peu avec les enfants répugnent à vacciner. J'ai une amie
médecin qui, depuis toujours, refuse catégoriquement de vacciner contre la coqueluche. Elle préfère se faire réprimander par les autorités plutôt que d'avoir une mort ou une infirmité sur la
conscience. Les personnes qui travaillent avec les enfants autistiques et/ou les enfants ayant des problèmes de comportement ou d'apprentissage savent aussi qu'il y a presque toujours une
vaccination derrière le problème. Dernièrement, une gérontologue me racontait que ses patientes étaient malades pendant les 2 ou 3 mois qui suivaient le vaccin contre la grippe et que
plusieurs mouraient au cours de cette période.
4. Les nombreuses PROTESTATIONS continuellement répétées de la part de spécialistes en la matière, de
médecins consciencieux et de parents avertis ou ayant des enfants victimes de vaccins. De
très nombreux rapports de toutes sortes s'accumulent dans des dossiers et sont passés sous silence. Les autorités détiennent l'information, mais elles la verrouillent. Il leur faudra 45 ans
avant de divulguer la contamination de 175 000 à 600 000 soldats américains par l'hépatite B dont le virus était présent dans le vaccin contre la fièvre jaune!
5. Les LIGUES et les ASSOCIATIONS de parents dans les principaux pays occidentaux, telles que la DPT (Dissatisfied Parents Together), aux É.-U. et la Ligue
Nationale pour la Liberté des Vaccinations (qui oeuvre depuis 40 ans et possède une bibliothèque et une documentation remarquables), en France mettent les autorités en garde contre les
dangers des vaccinations et réclament le libre-choix des parents en matière de
vaccination.
6. Les POURSUITES LÉGALES tellement nombreuses qu'elles mettaient
en péril les fabricants de vaccins. Des fonds d'indemnisation aux victimes des vaccins furent établis par les gouvernements, tel le National Childhood Vaccination Compensation Law,
voté par le Congrès en décembre 1986. Ce fonds autorise le paiement par le gouvernement - avec nos dollars et non ceux des fabricants de vaccins - d'un dédommagement aux enfants gravement
handicapés par une vaccination.
7. Les conséquences catastrophiques et bouleversantes
d'une DÉFICIENCE NEUROLOGIQUE étendue à un grand nombre d'enfants suite aux vaccins. Aux U.S.A., 20 % des enfants souffrent "de désordres du développement" ("developmental
disabilities") consécutifs aux encéphalites causées par les vaccins. D'où bouleversement du système d'éducation incapable de scolariser un tel nombre d'enfants qui ne peuvent ni lire, ni
écrire, ni compter. D'où également cette vague de violence sociale et de crimes perpétrés par des "personnalités sociopathes" créées par les vaccins.
8. Les CONSTATATIONS EFFROYABLES:
- création de nouvelles maladies incontrôlables (dont le sida) et
- modification permanente et héréditaire de notre code génétique dont nous ne pouvons (et surtout n'osons pas) anticiper les conséquences.
Voici un exemplaire du RAPPORT D'INCIDENT ADVERSE RELIÉ À L'ADMINISTRATION D'UN VACCIN. Ce rapport est fourni aux institutions médicales par LE MINISTÈRE DE LA SANTÉ.
Des virus nouveaux se forment, se transforment, se multiplient, se transmettent d'une génération à l'autre par le sperme ou l'oeuf, le placenta et le lait
maternel. Or, plusieurs vaccins sont faits avec des virus et proviennent de cellules d'animaux eux-mêmes contaminés par toutes sortes de virus. C'est ainsi qu'on eut la désagréable surprise
de découvrir:
En 1960, que les cultures de cellules rénales de singes rhésus utilisées pour la fabrication du vaccin anti-polio étaient infestées du virus simien 40 (SV 40). Des millions d'enfants avaient
donc été contaminés par ce virus simien 40 avant qu'on ne s'aperçoive de sa présence. Or, nous savons maintenant que le SV 40 cause: une déficience du système immunitaire + des anomalies
congénitales + des leucémies (surtout chez les enfants de 2 à 4 ans) + des maladies malignes.
En 1973, des chercheurs démontrèrent que le taux de tumeurs cérébrales était des treize fois plus élevé chez les enfants nés de mères vaccinées contre la poliomyélite durant leur
grossesse.(La rançon des vaccinations - F. et S. Delarue)
En 1980, des chercheurs trouvèrent des fragments de SV 40 dans des tumeurs cérébrales humaines. Il semble y en avoir dans 25 % des cas.
En 1987, on confirma que le HTLV4 provient des singes verts d'Afrique. Or le virus de la leucémie humaine est le HTLVI et le virus du sida humain est le HTLV3. Il en est ainsi du virus de la
leucose aviaire qui contamina la plupart des vaccins contre la fièvre jaune et contre la rougeole jusqu'en 1962. Des millions de personnes les avaient déjà reçus à ce moment-là. Puis on se
demande D'OÙ VIENT L'ÉPIDÉMIE DU SIDA?
Réalisons que:
Les autorités nous tiennent un discours bien différent de la réalité: "La vaccination prévient les épidémies".