DANS LE VACCIN H1NI!!!
Les vaccinations, c'est stupide!
par F. William Engdahl
Il s’avère, à présent, que des vaccins, dont l’usage est homologué en Allemagne et dans d'autres pays européens, contiennent des nanoparticules sous une forme qui attaquerait les cellules saines et pourrait être mortelle.
En 2007, des chercheurs de l'École Polytechnique Fédérale de Lausanne ont annoncé, dans un article de la revue Nature Biotechnology, la mise au point d’une «nanoparticule pouvant fournir des vaccins plus efficaces, avec moins d'effets secondaires et à une fraction du coût des technologies vaccinales actuelles».
L'article se poursuit en décrivant les effets de leur percée:
Il n'y a qu'un seul petit problème avec les vaccins contenant des nanoparticules, ils peuvent être mortels ou, du moins, provoquer de graves et irréparables préjudices à la santé.
Les nanoparticules, promues par les grands médias comme une nouvelle révolution prodigieuse de la science, sont des particules fabriquées, immensément plus petites que les particules mortelles de l'amiante à l’origine de graves dégâts pulmonaires et de décès avant qu’elle devienne interdite.
Ces particules de taille nanométrique (nm = 0,000.000.001 mètre) s’amalgament avec les membranes cellulaires de notre organisme et, selon des études récentes en Chine et au Japon, une fois introduites dans l’organisme, elles ne cessent de détruire les cellules.
Le fait que l'OMS, l'European Medicines Evaluation Agency, l’Institut allemand Robert Koch et d'autres organismes de santé permettraient aujourd'hui d’injecter à la population de nouveaux vaccins en grande partie non testés contenant des nanoparticules en dit plus sur le poids du lobby pharmaceutique dans la politique européenne que sur la santé mentale ou l'intégrité morale des fonctionnaires chargés de la santé du public en général.
Le numéro de septembre 2009 du respecté European Respiratory Journal, a exposé le 19 août, et mis en ligne depuis le 21 août, un article évalué par les pairs intitulé:
à l’épanchement pleural, à la fibrose pulmonaire
et au granulome».
L'article décrit des examens effectués en 2008 à l'hôpital d’élite Chaoyang de Beijing (Pékin) sur sept jeunes femmes. Âgées de 18 à 47 ans, toutes les sept ont été exposées à des nanoparticules pendant 5 à 13 mois sur leur lieu de travail ordinaire. Toutes ont été admises à l'hôpital pour dyspnée et épanchement pleural ou liquide en excès autour des poumons, et inhibition respiratoire.
Aucune des sept n'avaient jamais fumé et aucune n'appartenait à quelque groupe à risque. Les médecins ont examiné avec soin toutes les possibilités et ont confirmé que les problèmes pulmonaires avaient une origine commune: l'inhalation régulière de nanoparticules dans leur usine. Elles avaient été exposées à des nanoparticules de polyacrylate.
Les examens ont confirmé que les nanoparticules avaient déclenché une réaction de «super-fusion» (super-meltdown) chez les patientes. En dépit de tous les efforts héroïques des médecins, deux des sept sont mortes de complications pulmonaires.
Dans leur rapport, les scientifiques ont conclu par quelque chose de si alarmant qu'il est nécessaire de le citer en entier:
"Des tests immunologiques, des examens bactériologiques, virologiques et des marqueurs tumoraux, une bronchoscopie, une thoracoscopie interne et de la chirurgie thoracique assistée par vidéo ont été pratiqués. Des études sur le lieu de travail, des observations cliniques et des examens des patientes ont été menées. La présence de polyacrylate, consistant en nanoparticules, a été confirmée sur le lieu de travail. Les examens pathologiques des tissus pulmonaires des patientes montraient une inflammation pulmonaire non spécifique, une fibrose pulmonaire et des granulomes de corps étrangers sur la plèvre.
Grâce à la microscopie électronique en transmission, des nanoparticules ont été observées logées dans le cytoplasme et le nucléoplasme de cellules épithéliales et mésothéliales pulmonaires, mais elles ont aussi été localisées dans le fluide de la poitrine.
Ces cas suscitent l'inquiétude sur le fait que l'exposition de longue durée à certaines nanoparticules sans mesures de protection pourrait être liée à de graves dommages pulmonaires chez l'homme.
À ce jour, des études animales et des expériences in vitro ont montré que les nanoparticules peuvent provoquer des dommages pulmonaires et d'autres malignités chez l’animal, mais aucun rapport sur leur toxicité clinique chez l'homme n’avait été fait avant l'étude de Beijing.
L'étude de l'Hôpital Chaoyang de Beijing a confirmé de façon concluante que les nanoparticules provoquent aussi bien chez l'homme des dommages pulmonaires et d'autres malignités.
À partir de là, quand deux des vaccins homologués, prévus pour une distribution de masse en Allemagne et ailleurs, contiennent des nanoparticules, la défaillance des responsables compétents de la santé publique et des fonctionnaires épidémiologistes à ordonner d’urgence le gel immédiat de la distribution d’un tel vaccin ne peut être assimilée qu’à de la négligence criminelle.
Espérons que les autorités responsables réagiront à temps pour éviter l’éventualité d’une catastrophe sanitaire humaine d’un ordre de grandeur pire que les pires cas de grippe porcine signalés à ce jour.