Vers une Nouvelle Santé...



A
vec l'arrivée de l'Ere Nouvelle
l'être humain saisit les Trésors de la Terre

et leur utilisation pour le maintien en bonne Santé.


S'ils s'adaptent à l'immense Mouvement des Courants Vitaux sacrés,
alors les êtres humains retrouveront la Santé.


L'Art de la Santé
consiste notamment à trouver

la Force de Guérison dans toutes les plantes.

La Santé Naturelle, ça s'apprend ... Naturellement!

Le véritable Art de Guérir ne s'apprend pas.

S'installer sur une Hauteur peut aider à retrouver la Santé.

Vivre en plein air confère Fraîcheur et Santé.

"Fais du bien à Ton corps
pour que Ton âme ait le désir d'y demeurer..."

- Proverbe Indien -



Rechercher Sur L'art De Vivre Sain

Newsletter L'Art de Vivre Sain

Découvrez les Lois et les Principes de L'Art de Vivre Naturellement en Bonne Santé!

Archives

10 avril 2007 2 10 /04 /avril /2007 21:37
Vouloir Guérir

Désir et vouloir

Il est aujourd’hui possible d’affirmer avec une grande force de conviction que celui qui, malade, veut guérir peut guérir. Mais voilà, le veut-il vraiment? «Qui veut peut!» dit le proverbe et c’est tout à fait juste mais il est tout aussi exact de dire que celui qui veut peu obtient peu. C’est que rien n’est encore obtenu par le seul désir de guérir, c’est uniquement dans le vouloir-guérir que se trouve le levier pouvant déclencher la transformation le conduisant à la guérison.  Car ce vouloir doit déjà porter en lui l’action pour cela; sinon ce n’est pas un vouloir mais seulement un désir. . .

 

Si fort le désir puisse-t-il être, s’il n’est qu’un désir de l’intellect et non un désir de l’esprit devenu vouloir, il n’est pas suffisant pour trouver un contact avec là où se trouve la solution du problème. Comme Albert Einstein l’a déjà pertinemment fait remarquer: «La {fausse} manière de penser qui a engendré le problème ne peut pas être celle qui va résoudre le problème»; il y faut autre chose.


Le Chemin de la Guérison Parfaite est le Chemin inverse de celui qui a conduit à la maladie. Il suffit donc de parcourir ce chemin dans l’autre sens pour retrouver l’état initial normal qui est celui de la Santé Parfaite.


Seul celui qui s’approche avec conviction doit être aidé. La conviction doit ici déjà être la conviction dans le fait qu’il est tout aussi possible de guérir que de tomber malade, à partir du moment où l’on oriente son vouloir dans la direction de la guérison.


Ainsi ce n’est pas la vertu ou la volonté du thérapeute qui joue le premier rôle mais bien la volonté du malade. Le thérapeute ne peut ici qu’aider et accompagner et seul celui qui, avec la volonté de se remettre en cause, s'approche de lui l’âme ouverte pour recevoir l’aide doit, par lui, être aidé. Sinon, toute action est vaine.


Le Christ disait à ceux qui s’approchaient  de Lui pour guérir: «Qu’il te soit fait selon ta foi!» et, lorsqu’Il les avait guéris, Il leur disait: «Va, ta foi t’a sauvé». En ce cas tout à fait exceptionnel, il s’agissait, bien sûr, de la capacité du Christ à transmettre la Force Divine pour la Guérison, ce qu’un simple thérapeute ne peut, tout naturellement, pas faire. Aujourd’hui, il s’agit, pour le malade, d’avoir foi dans le fait qu’il peut guérir s’il remet en cause le faux comportement qui l’a conduit à la maladie.


Il lui faut donc changer le mal-vouloir qui l’a rendu mal-ade par un bon vouloir.


Mais qui est réellement prêt à cela? La plupart des êtres humains, y compris les malades, prennent beaucoup trop d’égards pour eux-mêmes. Cela veut dire que, même souffrants dans la maladie, ils évitent soigneusement de se remettre en cause, de remettre en cause leur faux comportement, leur fausse pensée, leur faux vouloir. Déjà ils sont malades, sur leur lit de douleur – ce qui, forcément, à leurs yeux, constitue la plus grande «injustice» qui soit! – et il faudrait, encore en plus, que ce soit de leur faute! Ils se révoltent rien qu’à cette seule pensée! Ils préfèrent rechercher les causes à l’extérieur, invoquer la fatalité, le destin, ou même parfois s’imaginer qu’avec leur souffrance «humblement acceptée» comme étant une grâce divine, ils participent à la co-rédemption de l’humanité!


Sortir de l’irresponsabilité

 

Car la société fait tout, en effet, pour que la pensée de se remettre en cause ne leur vienne jamais. Et, alors que l’être humain n’a pas de plus grand ennemi que lui-même, la maladie est forcément un ennemi extérieur à vaincre! Et on va le vaincre avec de l’argent, des téléthons, de la recherche «scientifique»! L’on va trouver à quel endroit la Nature s’est montrée déficiente afin de réparer, grâce au savoir et au pouvoir humains, ce qu’elle a si mal fait. Considérons le symbole de l’«ARC» («Association pour la Recherche contre le Cancer») L’ennemi – le cancer - est présenté comme se tenant à l’extérieur, en face de la victime, et alors, avec ce bel arc, on lui décoche une flèche en plein cœur, afin de le tuer. Youpeee!: L’ennemi est mort, le cancer est vaincu! Je suis guéri! (Ce qui reste à vérifier...)


C’est, d’ailleurs, ce que l’on fait avec ces traitements lourds que sont la radiothérapie et la chimiothérapie; l’on déclenche la grosse artillerie contre l’«ennemi», mais comme l’ennemi est à l’intérieur de soi-même c’est soi-même que l’on détruit! CQFD.


À sujet, fort pertinemment, Michel Dogna, thérapeute, lors de ses stages, déclare:


«Il faut arrêter avec l’assistanat


Et, en particulier, «un assistanat qu’il faut tout de suite arrêter: la médecine!»


Et il ajoute:


«On fait tout pour que vous ayez un cancer».


«Chaque cancéreux accomplit son devoir civique en rapportant 1 milliard de nouveaux francs aux labos. Après seulement, il a le droit de mourir.»

«Le taux - indiqué par l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) - de survie après une chimiothérapie est de seulement 2% de survie après 5 ans.»


«C’est juste une rémission sur le coup, pour «mieux sauter» après. C’est terrible.»


«La chimio est notamment faite à partir de gaz moutarde utilisé pendant la guerre 14-18.»


«Il faut savoir dire NON à cela.»


«Malheur à celui qui ne sait pas dire NON!»


Un patient ayant subi une radiothérapie déclare: «Avec cela l’on met le feu dans le corps!». Certes l’on bombarde les «cellules malades», mais les saines, par la même circonstance, se trouvent aussi atteintes.


Alors, si le malade, plutôt que de se remettre en cause, veut continuer à croire, avec l’idéologie dominante, qu’il n’y est pour rien dans sa maladie et persister à se soumettre à de telles destructrices «thérapies», c’est son choix, un choix qui peut lui coûter sa vie.


Certes, en d’assez vastes cercles, l’on veut bien admettre, maintenant, que l’alimentation et le mode de vie influent sur la santé et que dans le fait de bien se nourrir ou pas, de se bouger suffisamment ou pas, de fumer ou non, de boire de l’alcool ou non, etc., réside une certaine responsabilité de l’être humain vis-à-vis de sa santé. Mais il ne s’agit toujours ici que de responsabilité à l’égard de facteurs extérieurs: De ce que l’on fait pénétrer dans son corps et comment on le traite.


Mais qui parle de la responsabilité totale de l’être humain en regard de sa propre intériorité? De ses choix en matière de vouloir et de penser, de parole et d’action? Des choix qui, à l’arrivée, s’ils sont faux ou mauvais, se répercutent en maladie! Bien peu en parlent…


Et, parmi ceux qui en parlent et qui essayent d’aider dans ce sens, qui connaît le processus réel et complet ici à l’œuvre? Ce processus qui est d’une totale simplicité!


Le Processus de la maladie et de la Santé

 

Redonnons-le ici en quelques mots: Ainsi que l’être humain le veut ainsi cela lui arrive! C’est son vouloir qui détermine son sort. Mais la plupart ne savent pas ce qu’ils veulent! Les maladies, en tant que conséquences du vouloir sont là pour aider chacun à prendre conscience de ses vouloirs.


Beaucoup rétorqueront: Mais cela est faux, car moi je n’ai jamais voulu être malade! Sans doute, mais c’est pourtant bien ce que vous avez voulu {de faux} qui vous a rendu malade!


Naturellement, dans le processus, entre le vouloir et la répercussion dans le corps terrestre il n’y a pas rien mais ils y a des formes, car le vouloir humain, à chaque fois, prend forme, et même si ces formes demeurent invisibles aux yeux terrestres, elles n’en sont pas moins très réellement existantes! C’est pareil, par exemple, pourle vent, personne ne le voit mais tous en perçoivent les effets!

 

Ce sont ces formes, qui, bien que connues depuis des millénaires, demeurent aujourd’hui méconnues de beaucoup quant à leur rôle pourtant déterminant dans le déclenchement des maladies. En attendant de pouvoir leur donner leur nom définitif, nommons-les provisoirement «entraves intérieures» une expression ayant l’avantage d’être assez neutre mais l’inconvénient de ne pas donner d’image claire de ce dont il s’agit.


Reconnaître pour Guérir

 

Le Travail à accomplir vers la Guérison va, tout d’abord, consister à reconnaître ces formes auquel l’être humain malade demeure lié et ce sera une étape importante vers la Guérison totale, d’abord celle de l’âme, puis, par répercussion, si le point de non-retour n’est pas encore atteint, aussi le corps terrestre. C’est la Guérison par la Reconnaissance.


Peu d’êtres humains sont, en effet, d’emblée, capables de reconnaître, sans autre démarche, le faux vouloir qui est à l’origine de leur maladie. C’est pourquoi la reconnaissance par eux-mêmes de leurs entraves intérieures s’avère, la plupart du temps, être une étape indispensable. Bien que cela soit en soi d’une extrême simplicité - ou peut-être même à cause de cela -, remonter jusqu’au faux vouloir initial, en tant que la plus profonde racine de la maladie, s’avère, pour la plupart des êtres humains, amèrement difficile.


Certains pourront peut-être y arriver seuls mais cela sera l’exception et non la règle. Dans la plupart des cas, la personne malade aura besoin d’un accompagnement lui offrant un «effet miroir» - un «miroir» tendu par l’accompagnant - pour parvenir à l’indispensable reconnaissance ou prise de conscience d’abord des entraves intérieures auxquelles le patient est lié, entraves qui le rendent malade d’abord animiquement ou psychiquement (c’est la même chose) puis se répercutent aussi physiquement dans son corps terrestre, puis du faux vouloir  ayant donné naissance à ces formes.


Lorsque la reconnaissance s’est produite, le malade peut alors changer le vouloir qui l’avait rend malade et ainsi entamer son processus de guérison. Dès que le mauvais ou faux vouloir se transforme en bon ou juste vouloir, de manière complètement autoactive le processus de Guérison se met alors en branle. Il peut, bien sûr, être terrestrement aidé par divers adjuvants terrestres (tels que remèdes naturels, compléments alimentaires, jeûne, magnétisme, etc.), mais le processus intérieur de guérison, de toutes façons, est en route… et, si un nouveau faux vouloir n’intervient pas dans l’intervalle, ne s’arrêtera que par le retour à une Santé Parfaite de l’âme et du corps.


Ceux qui, malades, ayant reconnu comme juste le processus ici décrit et sont en quête d’un accompagnement sous forme d’aide à la reconnaissance pour parcourir ce Chemin de la Guérison ou du retour à la Santé parfaite d’abord de leur âme puis de leur corps peuvent, à cette fin, demander à être mis en relation avec quelqu'un pouvant apporter une aide. 

 

0

0

Partager cet article
Repost0

commentaires