Pourquoi? Comment?
Selon la «CIM» (Classification Internationale des Maladies) il y a à peu près 5200 manières différentes fondamentales (sans compter toutes les variantes!) de mourir de maladie...!!!
Il n'y en a, toutefois, qu'une seule de mourir en bonne santé !
À titre d'exemple, et pour rester simples, considérons seulement le cancer:
«En 2005, 7,6 des 58 millions de décès survenus dans le monde ont été dus au cancer. (Cela fait aussi 7,6 % de l'ensemble des décès.)
Le nombre annuel des décès par cancer devrait passer, dans le monde, à 9 millions en 2015 et à 11,4 millions en 2030.»
Concrètement, cela fait quoi, comme probabilités, dans la vie des gens?
Par exemple, sur le site http://www.cancer.ca/, à la page: http://www.cancer.ca/ccs/internet/standard/0,2939,3172_14423__langId-fr,00.html l'on peut voir que: «Au Canada, d'après les taux d'incidence actuels, 38 % des femmes risquent d'être touchées par le cancer au cours de leur vie; la proportion est de 44 % chez les hommes.»
Bien sûr, les proportions dans les autres pays sont, hélas, dans la plupart des cas, tout à fait comparables, voire pires...
38 %, c'est plus d'une femme sur 3; 44% c'est près d'un homme sur deux!
D'ailleurs, cela semble être le cas en France, En effet, sur le site http://ecoetsante2010.free.fr/, à la page http://ecoetsante2010.free.fr/article.php3?id_article=206 «Statistiques du cancer en France» l'on peut lire:
«La probabilité, d'avoir un cancer au cours de sa vie, est estimée à une sur 2 pour un homme et à une sur 3 pour une femme.»
N'est-ce pas terrible?
Une femme sur trois et un homme sur deux mourant prématurément de ce mal, sans parler des autres...
Que penser? Y aurait-il quelque chose à faire - ou pas?
Un sursaut de conscience peut-être?
Réfléchissons:
Les importants facteurs environnementaux extérieurs considérés à part,
il n'y a plus que deux possibilités:
1) Ou bien la maladie survient «par hasard»....
2) Ou bien la maladie survient avec un précis et rigoureux processus que les candidats à une bonne santé ont tout intérêt à bien connaître et bien comprendre...
Il va sans dire que la première hypothèse est largement la plus répandue. Et si c'est elle qui est juste, les bras vous en tombent; à part agir sur la nutrition, le mode de vie, l'environnement (et il faut déjà le faire!!!) il n'y a, après cela - en particulier en regard de la pollution généralisée, dépendant, pour une large part, pas de soi - plus rien d'autre à faire... C'est la «fatalité»...,
Mais si c'était la deuxième hypothèse qui était la bonne?
Si, tout simplement, l'être humain devenait mal-ade parce qu'il avait mal agi?
Certes, quelqu'un ne tombe pas immédiatement mal-ade parce qu'il a, par exemple, commis un meurtre, un vol, ou un mensonge.
Il y a donc un processus, conforme aux Lois de l’Univers, à reconnaître et à comprendre.
À vrai-dire, ce n'est, d'ailleurs, vraisemblablement pas le fait en lui-même qui rend mal-ade, ce serait plutôt la confrontation ultérieure du mal-faisant avec, vis-à-vis de cela, son propre ressenti de culpabilité ayant pris forme...
Ceci expliquerait, du reste, probablement pourquoi les plus grands mal-frats, sauf d'avoir largement abusé de l'alcool, de la drogue ou du reste, ne tombent pas forcément mal-ades ...
En ce cas, ce ne serait – et c'est loin d'être toujours le cas! - que si la conscience arrive à suffisamment «travailler» que la répercussion peut alors aussi atteindre le corps...
Dans le cadre de cet article introductif, il n'en sera pas dit davantage ici...
Pour aller plus loin, il est, par contre, possible de découvrir l'e.book: