2009: Une bonne année!
Prenez le temps de lire ce courriel et de le méditer, ainsi que d’examiner les nombreuses références que j’y ai placées.
Donc, si vous voulez savoir:
- pourquoi l’année 2009 fut finalement une excellent année
- comment la vérité est en train d’éclater à propos de la pandémie de grippe H1N1, du réchauffement climatique, des attentats du 11 septembre et des médias
- pourquoi nous avons réussi à saboter, tous ensemble, les projets de vaccination obligatoire
- pourquoi on ne nous parle pas des centaines de morts provoqués par la vaccination (et ce n’est qu’un début, malheureusement)
- pourquoi on peut craindre que le Tamiflu ait tué davantage que la grippe H1N1 elle-même
- pourquoi nous allons assister à une épidémie de problèmes de fertilité et de stérilité dans les trois ans qui viennent
- ce qui nous attend en 2010 et quels sont les scénarios probables qui risquent de nous tomber dessus
- pourquoi le puçage des populations va devenir un enjeu majeur dans les années à venir
Montréal, le 7 janvier 2010
Madame, Monsieur,
Chers amis,
2009: finalement, une excellente année!
Démonstration.
Le voile se lève sur le dossier de la vaccination
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la Russie, par la voix d’Igor Barinov, qui a même menacé de se retirer de l’OMS à cause de la corruption qui y règne
(voir: http://planeteattitude.ning.
com/forum/topics/la-russie- lance-un-serieux ); -
la Hollande, qui a lancé une enquête contre Albert Osterhaus, l’expert-clé numéro un auprès de l’OMS dans le dossier pandémie et qui a
gagné des centaines de millions d’euros personnellement grâce au déclenchement de cette alerte à la pandémie (voir: http://www.voltairenet.org/
article163315.html ); -
l’Italie, qui a exigé une enquête pour corruption
(voir: http://theflucase.com/index.
php?option=com_content&view= article&id=2451%3Aitalian- parliament-to-investigate- fraudulent-h1n1-vaccine- contracts&catid=1%3Alatest- news&Itemid=64&lang=en ); -
la France, par la voix de certains parlementaires de l’opposition (voir: http://www.tdg.ch/depeches/
people/h1n1-gouvernement- francais-critique-gestion- vaccins ); -
le Comité santé du Parlement européen, présidé par le docteur Wolgang Wodarg, qui a l’unanimité, a exigé une enquête sur la corruption
au sein de l’OMS (voir :http://www.nbiou.com/science-
et-sante/loms-est-elle- soumise-aux-industries- pharmaceutiques/ ) ; -
la Pologne, qui, par la voix de sa ministre de la Santé, Ewa Kopacz et de son premier ministre, a refusé de commander et d’imposer des vaccins à sa population (voir: http://www.dailymotion.com/
video/xb5o8d_ministre-de-la- sante-polonaise-sur_news ). -
À noter aussi que Roselyne Bachelot a été
convoquée (voir le texte complet de la demande en référé sur http://www.politiquedevie.net/
index.htm ) devant le tribunal de grande instance de Paris (TGI) ce lundi 4 janvier, pour répondre à une plainte de tentative d’empoisonnement (voir: http://francoiseblanche. hautetfort.com/archive/2010/ 01/05/roselyne-bachelot-hier- au-tribunal-c-est-parti.html ). Mais curieusement, en avez-vous entendu parler à la télévision???
- les variations de la température de la Terre sont liées, depuis des centaines de milliers d’années, aux variations de l’activité solaire (cycle rapide, de ± 11 ans) et aux variations de la trajectoire de la Terre autour du soleil (cycle lent, plusieurs dizaines de milliers d’années);
- depuis que les hommes consignent par écrit l’activité solaire (à travers le nombre de taches solaires), c’est-à-dire depuis l’époque de Galilée (± 1600), il est possible d’observer une corrélation forte entre le nombre de taches (indicateur de l’intensité du soleil) et la température du globe (mesurée dans l’épaisseur des anneaux des troncs d’arbre et dans les couches sédimentaires). Autrement dit, quand le soleil est plus chaud, il fait plus chaud sur Terre. Et inversement. Rien à voir avec l’activité des hommes, autrement dit…;
-
le CO2 d’origine humaine ne représente qu’un faible pourcentage (3 %) des émissions de CO2 totales. À côté de cela, les océans et
les forêts contribuent respectivement pour 40 % et 57 % du CO2 émis (voir le point 2 du résumé: http://www.globalclimatescam.
com/documents/FiveFacts.pdf ). Quand on sait, de plus, que le CO2 n’est pas le gaz à effet de serre le plus important présent dans l’atmosphère, mais que c’est la vapeur d’eau (la vapeur d’eau est présente dans l’atmosphère en quantité 25 à 100 fois plus importante que le dioxyde de carbone), on peut commencer vraiment à douter de l’impact des activités humaines sur le réchauffement planétaire. Un petit calcul vous permettra de comprendre que le CO2 d’origine humaine représente 0,06 % des gaz à effet de serre émis. Quand on parle de réduire de 10 % nos émissions, cela revient à dire qu’on diminue de 0,006 % notre contribution! Bien entendu, cet argument ne doit pas nous autoriser à continuer de polluer comme nous le faisons et à détruire l’écosystème de manière dramatique. C’est clair; -
enfin, ces scientifiques suggèrent et
démontrent que c’est le réchauffement qui provoque une augmentation des émissions de carbone, et non
l’inverse. Puisque plus il fait chaud, plus les océans et les forêts libèrent du CO2. Plus il fait froid, plus ils en absorbent.
Le voile commence à se lever sur le dossier du 11 septembre 2001
Dans ce livre ennuyeux, mais très documenté, il reconnaît que la plupart des conclusions du rapport officiel sont basées sur des informations mensongères émanant du gouvernement américain et de l’armée. Il ne va pas jusqu’à dire qui a organisé les attentats, ni qui a permis que les choses se passent comme elles se sont passées, mais ça n’a pas d’importance : le mal est fait. Il affirme et il prouve que ce rapport est basé sur un tissu de mensonges pour masquer leur désorganisation et leur incompétence (c’est sa version).
Le voile est définitivement levé sur la vraie nature des médias
- d’entretenir le mensonge et la peur dans la population (peur des virus, peur du réchauffement climatique, peur des terroristes, etc.);
- de cacher à la population les corruptions et les scandales (à part ARTE, le Parisien, Der Spiegel, France 24, et quelques médias indépendants, qui a osé poser la question des conflits d’intérêts, des corruptions, des divergences d’avis dans la communauté scientifique dans le dossier de la grippe, du réchauffement ou du 11 septembre?);
- de discréditer, de lyncher, d’injurier, de ridiculiser les individus et les groupes de personnes qui osent ramer à contre-courant et qui osent poser les questions que tous devraient se poser;
-
de détourner l’attention de la population des questions essentielles en lui
servant des divertissements et des non-informations insipides et stupides.
Les enseignements à tirer de cette année 2009
- tout d’abord, par rapport aux projets des gouvernements occidentaux de nous imposer une campagne de vaccination obligatoire, nous pouvons être très fiers de ce que nous avons réussi. Avec nos faibles moyens financiers, grâce au temps investi en recherche et en lecture, grâce aux communications écrites envoyées et relayées, nous avons fait reculer TOUS les gouvernements dans leur projet. À un point tel qu’à présent ils ont abandonné leur objectif de vaccination de toute la population et essaient tous de refiler leurs vaccins toxiques et mortels à d’autres pays;
- Je ne le cache pas, je suis très heureux de m’être investi corps et âme dans cette bataille. Même si, comme d’autres, j’y ai perdu quelques plumes (manque à gagner financier, injures, lynchage médiatique, menaces), j’ai la certitude d’avoir contribué à sauver de nombreuses vies (j’ai reçu des milliers de lettres de témoignages à ce sujet). J’ose dire «sauver des vies», car les courriels que je reçois me dévoilent une réalité beaucoup moins drôle pour ceux qui se sont fait vacciner. Parmi tous les témoignages des effets secondaires négatifs et mortels, je ne citerai que deux exemples vécus ici au Québec (voir plus bas). En lisant ces témoignages, il est évident que plus personne n’aurait l’envie d’aller se faire vacciner. Et beaucoup risquent de vivre dans la peur des effets qui pourraient apparaître dans les mois à venir…
-
l’analyse des centaines de déclarations faites par les responsables de santé
publique dans différents pays (sauf la Pologne) m’a convaincu d’une chose: notre santé est le dernier des soucis de
ces gens. Car chaque fois qu’un doute était émis sur la sécurité ou l’efficacité des vaccins, celui-ci était balayé d’un revers de la main, sans même se poser la
question: y a-t-il un danger dans l’acte vaccinal? Par contre, chaque fois que des effets secondaires graves apparaissaient dans les minutes, les heures ou les jours suivant la vaccination, la
même litanie était répétée systématiquement (je ne l’ai jamais entendue ne pas être prononcée): "le lien avec la vaccination ne peut être prouvé"; cette personne était probablement atteinte
d’une pathologie sous-jacente et serait, de toute façon, décédée.
Mais ne nous attardons pas sur ces considérations. Étudions plutôt les
facteurs qui nous ont permis de remporter cette victoire, malgré un rapport de forces et de moyens tout à fait disproportionné? Une partie de ceux qui ont choisi de ne pas se faire
vacciner:
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soit avaient connu, personnellement ou dans leur entourage, des effets secondaires reliés à une vaccination antérieure. Ce qui les avait convaincus de préférer la voie naturelle de l’immunisation que les complications (parfois graves) liées à cet acte moins anodin qu’on nous le présente;
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soit s’étaient déjà informés sur les dangers de la vaccination (en général) depuis longtemps. Leur position face à la soi-disant menace de grippe n’a pas changé, car ils considéraient le danger des vaccins comme supérieur à celui de la grippe;
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soit avaient déjà une connaissance de l’imposture que représente la vaccination, en général, depuis son invention par Pasteur. Eux, rien ne pourrait les faire changer d’avis, même si la pandémie avait été réelle, puisqu’ils savent que les vaccins n’apportent pas les bénéfices annoncés;
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soit avaient une attitude critique par rapport aux médias, ou n’écoutaient ni ne lisaient pas les informations émanant des médias dominants depuis longtemps. Du coup, ils n’ont pas pu être conditionnés par cette propagande agressive et quotidienne visant à créer une psychose collective face à cette grippe;
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soit ont eu une attitude active face à l’information. Au lieu de la laisser venir à eux (toute mâchée), ils ont été la chercher eux-mêmes (dans des livres, dans des conférences ou sur les sites d’informations disponibles sur Internet);
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soit ont développé un scepticisme sain en réaction au battage médiatique exagéré. Et sans rien connaître à la question de la vaccination, sans même vouloir s’informer, ont choisi, par principe, de ne pas faire confiance aux injonctions gouvernementales. Comme disait une de mes amies: «Quand le gouvernement te dit d’aller à gauche, tourne à droite. Tu seras certain de faire le bon choix!».
Ai-je eu raison de faire des prédictions alarmistes?
Certains me l’ont reproché, me disant que la catastrophe sanitaire et l’hécatombe annoncées n’avaient pas eu lieu. J’avais aussi annoncé une campagne de vaccination obligatoire, qui, finalement, n’a eu lieu nulle part. Me suis-je trompé? Ai-je eu tort de faire de telles annonces? Avec le recul, je suis certain que j’ai eu raison d’agir comme cela.
Aujourd'hui (4 janvier 2010), nous ne sommes qu'une petite poignée à avoir refusé cette vaccination. Et aucun d'entre nous n'a été malade ou est présentement malade. Nous nous portons à merveille, à part la fatigue du temps des fêtes bien sûr! Le problème est plutôt dû au fait qu' au moins la moitié des «vaccinés» ont présentement des problèmes. Plusieurs toussent sans cesse, ont des symptômes d'allures grippales, des maux de tête persistants, des douleurs aux dents, mal de ventre, de l'insomnie... Une de mes collègues de travail, qui a déjà souffert d'anémie dans le passé, a commencé à saigner sous les ongles des pouces et a perdu quatre ongles d'orteil! Bien sûr, personne ne soupçonne le vaccin! Je commence à surveiller plus attentivement l'état de mes collègues qui sont parmi les premiers vaccinés au Québec. À ma connaissance, nous sommes le premier hôpital à avoir reçu les vaccins (l’Arepanrix de GSK avec le «maudit» squalène ASO3, bien indiqué sur la boîte, en plus du thimérosal).»
Ce qui nous attend en 2010?
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Margaret Chan, directrice générale de l’Organisation Mondiale de la Santé, nous a annoncé que la pandémie se poursuivrait jusqu’au moins en 2011 (comme quoi, le ridicule ne tue pas) (référence : http://tempsreel.nouvelobs.
com/speciales/societe/la_ ) ;grippe_a/20091229.OBS2023/ loms_ne_veut_pas_crier_ victoire_avant_2011.html -
L’Ukraine a connu une épidémie de maladies pulmonaires extrêmement mortelles et fulgurantes (décès survenant 24 heures après le début de la maladie), en novembre 2009. D’après les autopsies effectuées sur les cadavres des victimes, les symptômes étaient différents de ceux de la grippe H1N1 et le virus qui s’attaquait aux poumons était un virus différent du virus H1N1, mais qui, en se combinant avec lui, devenait extrêmement mortel (référence: http://newsoftomorrow.org/
spip.php?article6802 et http://www.agoravox.fr/actualites/international/ );article/mutation-grippe-a- h1n1-l-65043#pagination_forums -
Or, ce qui est troublant dans ce dossier de l’Ukraine, c’est que deux mois auparavant (à Varsovie, en Pologne, les 29 et 30 septembre 2009), Interpol avait proposé un exercice à six pays d’Europe Centrale et de l’Est, simulant une attaque bioterroriste contre l’Ukraine, attaque dont le mode opératoire des terroristes était d’épandre un virus de peste pulmonaire par voie aérienne (voir: http://www.interpol.int/
Public/BioTerrorism/tabletop/ ). Deux mois, plus tard, des milliers de témoignages venant de la population ukrainienne rapportaient que des avions avaient volé à basse altitude pendant la nuit, quelques jours avant l’explosion de l’épidémie mortelle qu’on a qualifiée, tout d’abord, de peste pulmonaire. Un hasard?;default.asp -
Le professeur Taubenberger, dont j’ai parlé dans plusieurs de mes conférences, est le chef du laboratoire de pathologie moléculaire des Forces Armées Américaines. C’est lui qui a prélevé en 2004 sur le cadavre d’une inuit, morte en 1918 de la grippe espagnole, des tissus pulmonaires, pour ressusciter et recombiner (avec l’aide du laboratoire du CDC (Center for Desease Control)) le virus mortel de cette fameuse grippe pandémique. Ce que j’affirme est tout sauf des ragots d’Internet : ce travail a fait l’objet de plusieurs publications scientifiques dans Nature (Taubenberger, Jeffrey. «Characterization of the 1918 influenza virus polymerase genes». Nature. 437, pp 889-893 (2005)) et dans Science (Tumpey, Terrence. « Characterization of the reconstructed 1918 Spanish influenza pandemic virus ». Science. 310, pp 77-80 (2005)). On peut déjà trouver suspect que les Forces Armées et le CDC investissent des moyens importants pour recombiner un virus disparu responsable de la morts de 20 à 60 millions de personnes;
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Ce même professeur Taubenberger vient de rendre public le résultat des autopsies qu’il a effectuées sur les premiers morts de la grippe H1N1, dans la région de New-York, entre mai et juillet 2009. Deux questions me sont venues à l’esprit : pourquoi accorde-t-on à ce Monsieur le privilège d’autopsier les premières victimes de la grippe nouvelle, alors que ce secteur géographique ne correspond ni à sa juridiction, ni à ses fonctions habituelles ? Et pourquoi a-t-il attendu fin novembre pour rendre publiques ses conclusions concernant des observations faites en mai ? Surtout que ses conclusions montraient que les victimes n’étaient pas mortes de la grippe (tiens, donc), mais d’une pathologie pulmonaire très similaire à ce dont meurent les Ukrainiens actuellement!!! (Référence: http://ww.examiner.com/x-
29228-LA-Health-Technology- ). L’Ukraine aurait-elle été le terrain de test d’une contamination à plus large échelle, pour plus tard?Examiner%7Ey2009m12d7-NIH- Bulletin-says-New-York-swine- flu-victim-autopsies-show- lung-damage-similar--to-1918- Spanish-flu -
L’OMS persiste à recommander le Tamiflu comme moyen de lutte contre la grippe et les états grippaux. En bonne élève, Roselyne Bachelot, a recommandé la prescription systématique de ce poison inutile, dangereux et mortel, chez toute personne souffrant d’états grippaux ou de grippe (http://www.formindep.org/IMG/
pdf/Grippe_A-H1N1-v_ ). Quand on sait que le Tamiflu n’a aucune efficacité prouvée (voir les articles sur mon site consacrés au Tamifl: http://www.jean-jacques-prescription_d-antiviraux-2. pdf crevecoeur.com/index.php? ), on peut s’interroger sur la motivation d’une telle mesure. Mais quand on sait, en plus, que le Tamiflu provoque souvent en quelques heures une surinfection et une détresse respiratoire aiguë entraînant la mort (http://www.agriculture-option=com_content&view= category&layout=blog&id=117& Itemid=155 environnement.fr/spip.php? ), on est en droit de s’interroger sur les intentions criminelles d’une telle mesure (voir aussi: http://newsoftomorrow.org/article56 spip.php?article6968 ). Depuis lors, j’ai eu connaissance d’une étude in vitro qui explique que l’antiviral a pour effet de booster la virulence du H1N1 ( http://www.sciencedirect.com/science?_ob=ArticleURL&_udi= ). Sur base de cela, je suis convaincu que ces soi-disant nouvelles catégories de victimes de la grippe (ceux que le virus ne touche habituellement pas) étaient plutôt des victimes du Tamiflu, tout simplement. Et c’est comme cela qu’on nous a fait croire que la grippe s’attaquait aux jeunes et aux adultes en bonne santé!B6WBK-4XJWD10-8&_user=10&_ rdoc=1&_fmt=&_orig=search&_ sort=d&_docanchor=&view=c&_ acct=C000050221&_version=1&_ urlVersion=0&_userid=10&md5= a8153dfa12c5aefb7a2d7f3fee12b7 e2 -
Des projets de loi sont à l’étude dans plusieurs pays de la planète (dont les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, et d’autres) pour autoriser les gouvernements à censurer ou interdire les sites Internet subversifs (voir: http://www.infowars.net/
articles/december2009/ );171209Internet.htm -
La firme Verichip a annoncé qu’elle avait gagné la course au brevet, pour mettre sur le marché une micro-puce implantable dans le corps dont la fonction était de détecter la présence de virus H1N1 dans le corps. Cette annonce date du 21 septembre 2009 (http://www.verichipcorp.com/
092109.html ). Depuis lors, cette firme a pris le nom de Positive ID (histoire de faire oublier sa sinistre réputation de faire de nous du bétail pucé) et se prépare à élargir la gamme de ses services dans le domaine médical ( http://industry.bnet.com/pharma/10005641/positiveid- );deal-advances-use-of- microchip-implants-in-florida- health-system/?tag=content; selector-perfector -
Lors du sommet de Copenhague, sur le réchauffement climatique, une des recommandations qui a été discutée tout au long des réunions était la nécessité de réduire la population de la planète (voir: http://www.larouchepac.com/
node/12763 ) -
Le 25 décembre 2009, un passager nigérien, bien connu du FBI et de la CIA, a été embarqué sur le vol 253 reliant Amsterdam à Detroit, en ne passant pas par les procédures de sécurité habituelles, et sans présenter son passeport au personnel d’embarquement, grâce à l’intervention d’un homme d’origine indienne qui l’accompagnait (voir le témoignage d’un avocat qui était passager sur le même vol: http://www.mlive.com/news/
detroit/index.ssf/2009/12/ ). Comme par hasard, ce passager VIP tentait de faire sauter l’avion, quelques heures plus tard (ou faisait semblant de tenter de faire sauter l’avion). Réaction immédiate des gouvernements : mise en place de procédures encore plus intrusives de contrôle des passagers et des bagages, où maintenant, des scanners nous foutront à poil, pour le grand plaisir des agents (voyeurs) de sécurité des aéroports.flight_253_passenger_kurt_ hask.html
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Tout d’abord, veiller à ce qu’aucune fuite ne soit relayée par les médias dominants concernant les effets secondaires des vaccins. Histoire de rassurer la population non vaccinée dans les pays de l’hémisphère nord, ainsi que dans les pays en voie de développement et dans les pays de l’hémisphère sud. Ce serait très mauvais pour le commerce que les rumeurs des morts et des handicapés arrivent aux oreilles des populations de ces pays, avant qu’eux-mêmes ne soient vaccinés;
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Dans le même temps, veiller à accélérer le vote des lois permettant la censure des sites Internet inconvenants. En attendant, les bonnes vieilles méthodes d’intimidation et de menaces de mort peuvent toujours être appliquées (elles ont été utilisées par la DCRI (Direction Centrale du Renseignement Intérieur) en France contre deux sites Internet: www.artemisia-college.org et www.spreadthetruth.fr, qui tous les deux diffusaient des informations essentielles contre la campagne de vaccination H1N1);
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Continuer à communiquer régulièrement sur les dangers et les morts de la grippe H1N1, histoire d’entretenir la peur de la grippe (qui pourrait devenir aussi virulente et mortelle que la grippe espagnole - remarquez que l’argument a déjà été utilisé en 1976, lors de la première alerte à la grippe porcine et en 2004, lors de l’alerte à la grippe aviaire). Continuer à mentionner les morts attribuables à la grippe H1N1, histoire de maintenir dans l’esprit du public que la grippe est une maladie mortelle (faisant, par là-même, oublier que beaucoup de maladies sont beaucoup plus mortelles que la grippe, même en Occident) ;
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Continuer à parler d’une troisième vague pandémique, d’une quatrième vague, d’une cinquième vague, d’un pic pandémique, enfin, tout le vocabulaire nécessaire pour justifier des actions préventives et des communiqués médiatiques;
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Recommander l’utilisation du Tamiflu, pour augmenter les chances de faire mourir les gens atteints de symptômes grippaux ordinaires. Bon pour les statistiques, ça, et bon pour les ventes de vaccins, aussi! Si je me réfère à l’expérience du Canada, 400 morts attribués à la grippe H1N1 ont convaincu 15 millions de Canadiens à se faire vacciner. Ça fait 37.500 vaccinés pour chaque mort! On comprend mieux pourquoi chaque mort était chouchouté comme il l’a été par les médias;
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Ensuite, provoquer artificiellement des foyers de grippe, mais cette fois, beaucoup plus virulents, en s’inspirant de l’expérience Ukrainienne. Provoquer quelques foyers épidémiques avec la nouvelle souche virale, balancée par les airs ou dans les eaux, auraient un effet de panique du meilleur goût. Suggestion: profiter de grands rassemblements internationaux pour mener les attaques biologiques et bactériologiques : première cible : les Jeux Olympiques d’hiver, à Vancouver (Canada), en février 2010. Deuxième cible : la coupe du Monde de Football, en Afrique du Sud, en juin - juillet 2010. Et peut-être d’autres cibles à déterminer si besoin. Ça devrait motiver les plus récalcitrants à se faire vacciner;
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Une fois la vraie pandémie installée, convaincre l’ensemble de la population de la nécessité de disposer d’une puce de détection du virus H1N1, pour éviter que sa propagation ne s’opère d’un pays à l’autre. Ainsi, ceux qui voudront quitter un pays seront obligés de porter cette puce fabriquée par Positive ID (anciennement Verichip), afin que les douaniers puissent vérifier s’ils sont porteurs ou non du virus mortel. Pour faire d’une pierre deux coups, et pour accélérer les procédures de sécurité dans les aéroports, on proposera aux mêmes personnes de faire enregistrer dans la même puce implantée les éléments de leur identité et de leur casier judiciaire. N’oublions quand même pas que de dangereux terroristes peuvent faire sauter à tout moment l’avion que nous prendrions (sauf qu’eux, même quand ils sont répertoriés par la CIA, passe à côté des contrôles de sécurité qu’on nous impose et qui nous font chier!);
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La présence de cette puce permettra aux autorités de faire un suivi absolu du programme de vaccination de chaque individu (la fameuse traçabilité vaccinale à laquelle Roselyne Bachelot tenait tellement). Autrement dit, pour circuler, il sera bientôt nécessaire d’être absolument en ordre de vaccination. Comme les sites Internet dénonçant les dangers et l’inutilité des vaccins ne seront plus là pour avertir les gens, il sera de plus en plus facile de convaincre la population de se faire vacciner contre toutes sortes de maladies, sous prétexte que le coût d’un vaccin est moindre que le coût du traitement d’un cancer (j’ai déjà entendu le docteur Poirier avancer cet argument pour justifier le prix du vaccin contre la papillomavirus). On pourrait imaginer un deal avec les assurés : soit ils participent à un programme vaccinal de manière coopérative, et ils peuvent continuer à bénéficier de la sécurité sociale ; soit ils refusent la vaccination, et dans ce cas, ils ne sont plus couverts pour leurs frais de soins de santé en cas de maladie (c’est ce qu’on impose déjà en France aux cancéreux qui refusent la chimiothérapie : OK, pas de chimio, mais alors, plus de couverture des frais de soins de santé);
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Et enfin, grâce à ce programme où progressivement, la vaccination aura été généralisée, la fertilité de la population aura chuté drastiquement jusqu’à devenir majoritairement stérile. Ce qui résoudra le problème de la surpopulation mondiale, en une génération, sans devoir recourir à un génocide (stratégie un peu trop voyante et un peu trop choquante). C’est pour cela qu’il est absolument impératif de maintenir le squalène comme adjuvant dans les vaccins, car sa présence interfère fortement avec la fabrication de nos hormones sexuelles, les stéroïdes.
Ce que nous devons faire en 2010?
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Ce qui est important de retenir, c’est que tout
indique, à travers les annonces des responsables de santé publique, qu’ils vont continuer à essayer de nous faire croire que nous sommes confrontés à une pandémie, là où le simple
bon sens nous prouve qu’il n’y a jamais eu de pandémie (12.000 morts en huit mois, alors que la grippe saisonnière qui n’a jamais déclenché le moindre programme d’urgence en fait 250.000 à
500.000 chaque année). À ce propos, vous souvenez-vous que j’avais prédit 13.000 morts pour le 31 décembre 2009, dans mon courriel n° 6 daté 13 octobre 2009 ( http://www.jean-jacques-
crevecoeur.com/index.php? ) ? Une fois de plus, j’avais visé juste !option=com_content&view= article&id=105:courriel-6& catid=65:grippe-a-h1n1&Itemid= 98 - Ce qui est important aussi de retenir, c’est que la probabilité de nous voir imposer de plus en plus de vaccins est loin d’être nulle.
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Ce qui est important de retenir, enfin, c’est
que derrière les faux attentats du 11 septembre, derrière les fausses origines du réchauffement climatique, derrière la menace de la fausse pandémie, la même logique sécuritaire est à l’oeuvre
: celle de restreindre de plus en plus nos libertés de choix, d’opinion, de déplacement, d’information, d’expression, de réunion, etc. Et la probabilité de nous
retrouver tous pucés dans quelques années est un des scénarios les plus plausibles, quand on voit la convergence de toute une série d’innovations technologiques se réaliser. Je rappelle que
presque toutes nos cartes d’identification se dotent à présent d’une puce RFID: carte d’identité, permis de conduire, carte d’assurance maladie, carte bancaire, carte de crédit, etc. De là à
transférer les informations de ces différentes puces dans un seule puce implantée dans le corps, il n’y a qu’un pas que nos dirigeants sont prêts à
franchir.
Si nous ne voulons pas d’un monde pareil, il ne nous reste que quelques mois pour transformer ce formidable éveil des consciences provoqué par les événements de 2009 pour mettre en place des actions concrètes. Si nous voulons contrecarrer définitivement les velléités totalitaires de l’élite mondiale, nous devons axer nos priorités sur les actions suivantes:
- continuer de nous informer personnellement et apprendre à décrypter les informations que les médias nous donnent, pour comprendre les scénarios qui se mettent en place à notre insu ;
- aller chercher des sources alternatives d’informations, pour mieux comprendre la logique qui se cache derrière les événements apparents;
- constituer des alliances citoyennes dans chaque ville, pour coordonner des actions d’information et de formation, mais aussi pour interpeller les responsables politiques, pour lancer des actions juridiques et pour organiser des manifestations et des actions de désobéissance civile non-violente ;
- faire pression sur chaque élu politique de notre région et de notre pays pour que les corruptions et les conflits d’intérêt soient dénoncés et condamnés ;
- faire pression sur chaque élu politique de notre région et de notre pays pour exiger que notre pays sorte définitivement de toutes les instances internationales qui lui ont volé sa souveraineté (à commencer par l’OMS, par la Communauté Européenne ou l’ALENA et par l’OTAN) ;
-
devenir, chacun et chacune, des diffuseurs d’information dans notre
entourage immédiat (collègues de travail, familles, voisins, amis). Car si nous ne réunissons pas une masse critique de gens bien informés, la prochaine offensive de soi-disant grippe ou de
soi-disant peste pulmonaire nous mettra en position minoritaire dans un troupeau apeuré, face aux actions gouvernementales et aux manoeuvres de l’OMS.
Cordialement et fraternellement
Jean-Jacques Crèvecœur
Montréal (Québec – Canada)
Courriel: info@jean-jacques-crevecoeur.
Site Internet: http://www.jean-jacques-