INCROYABLE N(P)OURRITURE!!!
Alex Jones est un journaliste d'investigation américain. Il aborde de nombreux sujets touchant à la politique, le nwo, la société, la santé, etc... Il parle ici (voir vidéo ci-dessous) de la nourriture de tous les jours, la nourriture quotidienne: la nourriture industrielle.
Effrayante de vérités, à voir absolument avant le toujours possible retrait de cette vidéo (sous-titrée en français) d'Internet. La fin de la vidéo, toutefois, met aussi en relief des faits incitant a espérer, et, surtout, à agir!
Face à cet incroyable constat de la pollution généralisée de la nourriture et de la boisson, la solution, pour, autant que possible, préserver sa santé et celle de ses proches, est de manger le plus naturel et BIO et le moins transformé possible (préférer les produits bruts aux produits élaborés).
A lire: Livre de France GUILLAIN: "Manger bio, c'est pas cher" - Editions Jouvence.
Elle a, avec de petits revenus, élevé 8 enfants en Bio. Il y a une façon de manger bio pour que cela ne coûte pas plus cher, et, surtout, vous ferez de plus en plus de grosses économies sur le fait d'être de plus en plus en bonne santé. Être malade coûte de plus en plus cher et, en plus, cela fait souffrir!
Lire aussi: "Manger Bio, ce n'est pas du luxe!" du
Docteur Lylian Le Goff. Voir présentation détaillée ci-dessous...
Manger Bio c{e n}'est pas du luxe!
La principale raison du surcoût des produits issus de l’agriculture biologique c’est le manque de soutien à la filière de la part des politiques. Alors que, partout dans le monde, la production bio augmente, en France, elle stagne depuis les années 1990.
Des pays comme l’Allemagne ou l’Autriche ont doublé leur surface agricole utile bio en deux ans grâce à des aides au maintien relayant les aides à la conversion. De plus, le prix des denrées issues de l’agriculture conventionnelle ne prend pas en compte les coûts environnementaux, médicaux et sociaux induits par ce coûteux et néfaste mode de production.
Le contribuable paie aussi à travers les grosses subventions accordées à l’agriculture intensive. Choisir des produits bio procède donc d’une vraie philosophie, d’une volonté de soutenir une agriculture respectueuse de l’environnement, qui fournit des emplois et participe au tissu économique local.
Comment peut-on se débrouiller pour que le bio revienne moins cher que le conventionnel? En fait, il s’agit là aussi d’accepter de modifier des comportements: éviter les plats cuisinés tout prêts, acheter local, éviter les emballages et le gaspillage, moins de viande et plus de végétaux.
La forte progression des élevages est une aberration économique, écologique et sanitaire. La FAO (Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture) le souligne dans un de ses derniers rapports. Le secteur de l’élevage émet des gaz à effet de serre, qui, mesurés en équivalent CO2, sont plus élevés que ceux produits par les transports.
L'élevage intensif est aussi une source principale de dégradation des terres et des eaux. Sans oublier les effets néfastes pour la santé d’une consommation de viande en excès.
Quoi manger, alors? Médecin, le Docteur Lylian Le Goff dispense un véritable cours de nutrition en rappelant les principes de base, en fournissant des tableaux comparatifs chiffrés entre différents menus et en proposant des idées pour varier les repas. Car ce n’est pas parce que l’on consomme bio pour protéger la planète qu’il faut pour autant oublier le goût et les plaisirs de la table.
Vient enfin la question fatidique: Toute la planète pourrait-elle manger bio? L’ingénieur Jean-Marc Jancovici s’est livré à un petit calcul et il arrive à la conclusion que oui, à condition là aussi de fortement modérer notre appétit pour la viande.
Lorsque l’on sait que 55% de la production mondiale de protéines végétales servent à nourrir le bétail, ça laisse songeur...
"Manger bio c’est pas du luxe", par Dr Lylian Le Goff – Editions Terre Vivante – 120 pages – 17 €.
Quant à la boisson, la qualité de l'eau est primordiale. Rappelons ici que l'eau en bouteille plastique, même si bonne en elle-même, (Rosée de la Reine, Mont Roucous), est, le plus souvent, polluée par le plastique (phtalates, bisphénol, etc.) et que l'eau du robinet doit impérativement être nettoyée par osmose inverse.
Toutefois, il faut aussi savoir qu'une eau osmosée, même si chimiquement pure est biologiquement morte; elle doit donc tout aussi impérativement être ré-informée et re-dynamisée (vortexée) avant d'être bue. Pour aller plus loin sur ce sujet, il est, par exemple, possible de lire le dossier "Quelle eau boire?".
Vu l'importance de la question de l'eau il en sera, bien sûr, encore question à
l'avenir...