23 octobre 2009
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Implantation de puces microscopiques invisibles?
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«Je suis convaincu, maintenant, que l'implantation de puces microscopiques, invisibles, par le biais d'une injection est la clé de cette opération de vaccination à une échelle planétaire.
Le problème de l'alimentation en énergie de ces micro-gadgets n'en est pas un. Modulo la nano-technologie, ces systèmes peuvent utiliser l'énergie du corps, ou une foule d'autres énergies.
Je me souviens d'une pendule qui, il y a trente ans, fonctionnait parfaitement en exploitant les variations de la pression atmosphérique. Vous rappelez-vous de ces montres automatiques, qui se remontaient avec un balancier, au gré du mouvement du bras?
Le problème de l'alimentation en énergie de ces micro-gadgets n'en est pas un. Modulo la nano-technologie, ces systèmes peuvent utiliser l'énergie du corps, ou une foule d'autres énergies.
Je me souviens d'une pendule qui, il y a trente ans, fonctionnait parfaitement en exploitant les variations de la pression atmosphérique. Vous rappelez-vous de ces montres automatiques, qui se remontaient avec un balancier, au gré du mouvement du bras?
J'avais été averti de l'existence d'un tel projet d'injection de micro-puces à travers une vaste opération de
vaccination, il y a sept ans. Pour réaliser une telle opération à une échelle planétaire il fallait envisager une opération de vaccination "pandémique", contre un virus capable de s'étendre à la planète toute entière. La grippe
faisait l'affaire. C'était même le seul candidat, semble-t-il. La grippe saisonnière est une affection intrinsèquement pandémique. Il n'y a qu'un seul problème: c'est une affection qui reste
bénigne.
Il fallait donc lui attacher une connotation dramatique, quitte à utiliser des virus bricolés en
laboratoire, à fort taux de létalité, mais quand même pas trop contaminants, pour ne pas que cette arme bactériologique retombe sur
la tête de ceux qui la mettent en oeuvre.
Que le virus de la grippe aviaire H5N1 soit naturel, ou fabriqué, il a permis de créer ce climat d'inquiétude, alors qu'en quatre ans le nombre total des morts n'a pas excédé quelques centaines. Il y avait de par le
monde bien d'autres affections mortelles, épidémies de toutes sortes, dont on aurait pu parler…».
Lire la suite de l'article sur:
Grippe A (H1N1): Le feuilleton -
http://www.jp-petit.org/
Voir aussi:
Jamais avec la puce
Refus-Puce
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