Vers une Nouvelle Santé...



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S'ils s'adaptent à l'immense Mouvement des Courants Vitaux sacrés,
alors les êtres humains retrouveront la Santé.


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8 mars 2010 1 08 /03 /mars /2010 23:03

Grippe A H1N1 - Extrait

Grippe A: «Ils ont organisé la psychose»


Révélation: Président de la commission santé du Conseil de l’Europe, l’Allemand Wolfgang Wodarg accuse les lobbys pharmaceutiques et les gouvernants.

Il a obtenu le lancement d’une enquête de cette instance sur le rôle joué par les laboratoires dans la campagne de panique autour du virus. Entretien sans détour. Ex-membre du SPD, Wolfgang Wodarg est médecin et épidémiologiste. Il a obtenu à l’unanimité des membres de la commission santé du Conseil de l’Europe une commission d’enquête sur le rôle des firmes pharmaceutiques dans la gestion de la grippe A par l’OMS et les états..

Question: Qu’est ce qui a attiré vos soupçons dans la prise d’influence des laboratoires sur les décisions prises à l’égard de la grippe A?

Wolfgang Wodarg. Nous sommes confrontés à un échec des grandes institutions nationales, chargées d’alerter sur les risques et d’y répondre au cas où une pandémie survient. En avril quand la première alarme est venue de Mexico j’ai été très surpris des chiffres qu’avançait l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pour justifier de la proclamation d’une pandémie.


J’ai eu tout de suite des soupçons: les chiffres étaient très faibles et le niveau d’alarme très élevé. On en était à même pas mille malades que l’on parlait déjà de pandémie du siècle. Et l’alerte extrême décrétée était fondée sur le fait que le virus était nouveau. Mais la caractéristique des maladies grippales, c’est de se développer très vite avec des virus qui prennent à chaque fois de nouvelles formes, en s’installant chez de nouveaux hôtes, l’animal, l’homme etc. Il n’y avait rien de nouveau en soi à cela. Chaque année apparaît un nouveau virus de ce type «grippal».


En réalité rien ne justifiait de sonner l’alerte à ce niveau. Cela n’a été possible que parce que l’OMS a changé, début mai, sa définition de la pandémie. Avant cette date il fallait non seulement que la maladie éclate dans plusieurs pays à la fois mais aussi qu’elle ait des conséquences très graves avec un nombre de cas mortels au dessus des moyennes habituelles. On a rayé cet aspect dans la nouvelle définition pour ne retenir que le critère du rythme de diffusion de la maladie. Et on a prétendu que le virus était dangereux car les populations n’avaient pas pu développer de défense immunitaires contre lui. Ce qui était faux pour ce virus. Car on a pu observer que des gens âgés de plus de 60 ans avaient déjà des anticorps. C’est-à-dire qu’ils avaient déjà été en contact avec des virus analogues. C’est la raison pour laquelle, d’ailleurs, il n’y a pratiquement pas eu de personnes âgées de plus de 60 ans qui aient développé la maladie. C’est pourtant à celles là qu’on a recommandé de se faire vacciner rapidement.

Dans les choses qui ont suscité mes soupçons il y a donc eu d’un côté cette volonté de sonner l’alerte. Et, de l’autre, des faits très curieux. Comme, par exemple, la recommandation par l’OMS de procéder à deux injections pour les vaccins. Ca n’avait jamais été le cas auparavant. Il n’y avait aucune justification scientifique à cela. Il y a eu aussi cette recommandation de n’utiliser que des vaccins brevetés particuliers. Il n’existait pourtant aucune raison à ce que l’on n’ajoute pas, comme on le fait chaque années, des particules antivirales spécifiques de ce nouveau virus H1N1, «complétant» les vaccins servant à la grippe saisonnière. On ne l’a pas fait ,car on a préféré utiliser des matériaux vaccinaux brevetés que les grands laboratoires avaient élaborés et fabriqués pour se tenir prêts en cas de développement d’une pandémie. Et en procédant de cette façon l'on n’a pas hésité à mettre en danger les personnes vaccinées.

Quel danger?

Wolfgang Wodarg. Pour aller vite dans la mise à disposition des produits l'on a utilisé des adjuvants dans certains vaccins, dont les effets n’ont pas été suffisamment testés. Autrement dit: On a voulu absolument utiliser ces produits brevetés nouveaux au lieu de mettre au point des vaccins selon des méthodes de fabrication traditionnelles bien plus simples, fiables et moins coûteuses. Il n’y avait aucune raison médicale à cela. Uniquement des raisons de marketing.

 

Pour lire la suite (fichier PDF) cliquer ici.

 

Entretien réalisé par Bruno Odent

L'Humanité - 07/01/2010.

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