Y a-t-il un complot mondial contre la Santé?
L'on se souvient des sommes colossales dépensées
pour tenter de sauver le système bancaire. Elles sont dérisoires à côté du pactole que se partagent les 4 grands cartels mondiaux: chimie, biotechnologie, agro-alimentaire et
médico-pharmaceutique (big pharma).
Les consortiums de l’agro-alimentaire ont réussi à faire disparaître toute l’agriculture vivrière, tout l’artisanat des métiers de bouches,
toutes les particularités gastronomiques régionales, tout ce que les êtres humains pouvaient mettre dans leurs assiettes sans passer à leur caisse, avec la complicité des grand
groupes de la distribution. Comment la sinistre farce des "normes alimentaires" a-t-elle pu parvenir à transformer notre nourriture en
poison? À quoi - pu qui - sert réellement le Codex
Alimentarius, et pour qui roule réellement l’OMC?
Depuis des décennies les grands groupes pharmaceutiques sont les financiers des plus grandes écoles et des formations de médecins, ils occupent en sous-main les commissions sanitaires des pays et des instances internationales, ils sont partout, mais on ne les voit nulle part, comment opèrent-ils? Comment étouffent-ils les scandales sanitaires? De la naissance à la mort chaque individu est une mine d’or pour eux, les pandémies sont des périodes fastueuses! Et la vraie-fausse pandémie de grippe A en est juste un exemple de plus.
Pour comprendre les interconnexions de ces systèmes mafieux il fallait dresser leurs portraits et pratiques dans un même ouvrage. C’est désormais chose faire: après des mois d’enquête, Claire Séverac démontre, dans cet implacable réquisitoire pourquoi et comment notre santé est en danger.
"Le déclencheur ça a été ce qui se passait sur la grippe H1N1 où j'ai trouvé que là, ils nous prenaient vraiment pour des imbéciles et que ce n'était pas supportable. Mais il ne suffit pas de crier, il faut aussi chercher les preuves. Donc je me suis embarquée dans quelque chose que je croyais relativement simple et, en fait, c'est une pelotte d'intrigues, c'est un vrai polar. C'est une pelotte d'intrigues de gens qui touchent, d'experts qui sont achetés, de politiques qui ferment les yeux, de multinationales qui font leurs choux gras sur notre crédulité. Et donc quand on rentre là-dedans, c'est un truc incroyable. Donc, voilà, j'ai mis des mois et des mois à essayer de démêler une partie de l'écheveau."
"Personnellement, j'ai trouvé la réponse qui fait que j'ai commencé, à mesure que j'écrivais ce livre, à changer complètement de vie. Parce que ce sont des prises de conscience qui font très mal mais ce sont des évidences, parce que j'ai recherché tous les documents, les documents du Sénat, les documents de la Commission européenne, les communiqués des laboratoires, les procès intentés par Monsanto et par les agrochimistes. J'ai retrouvé les documents originaux. Donc, effectivement, quand tu as les preuves sous le nez... Au début, quand on commence les recherches, l'on se dit "ce n'est pas possible", "j'hallucine", "je suis folle", "je n'ai pas compris", "c'est trop gros!"."
"Il y a aussi beaucoup de gens, sur le net, qui parlent de complot et qui vont très, très loin. Je ne peux pas aller aussi loin, je ne sais pas s'il y a vraiment une vélléité d'eugénisme et de tuer une partie de la population mondiale parce qu'on est trop nombreux, ça c'est des thèses qui vont très loin. Je ne sais pas si c'est vrai, je n'ai aucune preuve là-dessus."
"Ce que je sais, c'est qu'ils se foutent royalement de ce qui peut nous arriver à partir du moment où ils remplissent leurs caisses, ça c'est clair".
"Ce qui fait que nous, lorsque l'on est "citoyen normal", l'on ne comprend pas très bien pourquoi telle décision, pourquoi on nous pousse à la vaccination, pourquoi quand on sait qu'un médicament est mauvais ou qu'un pesticide est cancérigène, il continue à être vendu. On apprend des tas de trucs complètement aberrants. Le purin d'orties est interdit en France. On peut avoir une amende et même de la prison si on fait du purin d'orties, alors que c'est un truc naturel, et, par contre, les pesticides sont autorisés. Les OGM, ils ont fait passer une loi avant, qui est l'"équivalence en substances", qui fait que l'on n'a pas besoin d'étiqueter quelque chose quand il comprend un OGM, mais, par contre, si un agriculteur ou un éleveur dit que son lait ne contient pas d'hormones, ou que sa semence ne contient pas d'OGM, il se fait attaquer, parce qu'on n'a pas le droit. C'est assez bizarre!"
"Toutes les lois sont faites pour protéger les multinationales et pas les citoyens. [...] Oui, j'ai fini par reprendre le terme de complot, parce que je pense qu'il y a REELLEMENT un complot, parce que, comme on le dit dans l'armée américaine, "une fois, c'est un hasard, deux fois c'est une coïncidence, trois fois c'est UN COMPLOT". Quand tu fais trois fois la même connerie, c'est plus une connerie, c'est voulu, sinon tu ne la refais pas. Au bout du bouquin, l'on ne peut pas dire autrement, au bout de l'enquête, on ne peut pas dire autre chose que: SI CE N'EST PAS UN COMPLOT, C'EST UNE BANDE ORGANISEE, PIRE QUE LA MAFIA, qui organise TOUT de A à Z, pour se faire du fric, à grande échelle."
"Je l'ai appelé sciemment le "complot" à la fin, en sachant vraiment ce qui m'attendait, parce qu'effectivement les médias préfèrent rejeter en bloc la "théorie du complot", parce que c'est confortable de ne pas avoir à enquêter et de ne pas avoir à se poser des questions.
Et puis, il y a quand même aussi beaucoup de journalistes, qui sont mouillés. Ce n'est pas la majorité, mais, enfin, tu les vois très rapidement quand tu fais une enquête."
"D'abord, ça ne se passe pas que dans les médicaments ou que dans la médecine, c'est la même chose avec les pesticides, la même chose avec l'élevage... Enfin, c'est le même plan qui est appliqué PARTOUT. C'est à dire: "on n'en a rien à foutre de détruire les écosystèmes, on n'en a rien à foutre de détruire la nourriture, la santé... De toute façon, plus ils détruisent, plus on est clients de leurs substances."
C'est un livre qui raconte simplement ce qui se passe en s'appuyant sur des preuves irréfutables, parce qu'elles sont à la portée de tout le monde, sur Internet ou en allant fouiller sur les sites des organisations et des institutions de santé."
"Il faut commencer à dire: NON! Non, on n'achetera pas de produits contenant des pesticides, Non on n'achètera pas des produits qui ont trois fois plus que nécessaire de sel ou de sucre. [..]
Ne pas se laisser avoir par leur campagne, en laquelle ils viennent, la main sur le coeur, nous dire: "il faut absolument vous faire vacciner". En plus, c'est dégueulasse, parce que souvent ils disent "si ce n'est pas pour vous, faites leur pour protéger vos proches. Quelle est la mère qui n'a pas envie de protéger son enfant? Donc, c'est quand même limite quoi! Quand on regarde, en plus, ce qu'il y a dans les vaccins, etc., etc., etc...
Claire Séverac
0
0