Vers une Nouvelle Santé...



A
vec l'arrivée de l'Ere Nouvelle
l'être humain saisit les Trésors de la Terre

et leur utilisation pour le maintien en bonne Santé.


S'ils s'adaptent à l'immense Mouvement des Courants Vitaux sacrés,
alors les êtres humains retrouveront la Santé.


L'Art de la Santé
consiste notamment à trouver

la Force de Guérison dans toutes les plantes.

La Santé Naturelle, ça s'apprend ... Naturellement!

Le véritable Art de Guérir ne s'apprend pas.

S'installer sur une Hauteur peut aider à retrouver la Santé.

Vivre en plein air confère Fraîcheur et Santé.

"Fais du bien à Ton corps
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9 février 2013 6 09 /02 /février /2013 16:40

 L'invention du virus du sida

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Voilà déjà des décennies qu'est largement contestée la thèse officielle sur le sida et ce n'est pas la première fois que nous abordons le sujet: Non le sida n'est pas provoqué par le VIH; non tous ceux qui ont le VIH n'ont pas le sida. Non les médicaments anti-sida ne guérissent pas du sida. Oui, les médicaments anti-sida donnent, au contraire, les symptômes du sida. Oui, le professeur Luc Montagnier, "nobelisé" pour avoir trouvé le virus (VIH) du SIDA (sic) dit maintenant (ce qui - vu que "Errare humanum est, perseverare diabolicum" - est tout à son honneur!) qu'avoir le VIH ne suffit pas pour avoir le SIDA. Non le sida n'est pas sexuellement transmissible (d'où il ressort que toutes les campagnes "Sortez "couvert"", "Le sida ne passera pas par moi", etc. sont "bidon"). Oui, l'on peut guérir du SIDA sans chimie, par exemple gâce à la cure Dr Clark anti-sida. Oui, le Dr Tal Schaller conteste complètement la thèse officielle sur le sida. Oui, le Dr Hamer affirme hait et fort que le sida, tel qu'officiellement défini, n'existe pas, et que les décès sont principalement dus à la peur, etc., etc.

Et voilà que paraît maintenent, sous la plume d'un éminent microbiologiste américain, Peter H. Duisberg, paraît un livre qui, à son tour, affirme clairement que le VIH n'est pas la cause du sida. Un pavé dans la mare du "bien pensant" en matière de sida? 

 

L'invention du virus du sida

Livre de Peter H. Duesberg

 

Présentation

Le Scoop: Le VIH n’est pas la cause du SIDA… Le SIDA n’est pas sexuellement transmissible… Les médicaments antirétroviraux provoquent des maladies symptomatiques du SIDA…

Tels sont les assertions du Dr. Peter Duesberg, un des plus prestigieux microbiologistes du monde, membre de la National Academy of Sciences des États-Unis, pionnier de la virologie et de la rétrovirologie.

• Si le VIH est la cause du SIDA, pourquoi des milliers de victimes du SIDA n’ont-elles jamais été infectées par le VIH? Le courant scientifique dominant a éludé cela en inventant une autre nouvelle maladie afin de désigner ces cas de SIDA séronégatif: le manque de lymphocytes CD4 T dû à une cause inconnue.

• Pourquoi des centaines de milliers de personnes ayant été, depuis de nombreuses années, infectées par le VIH, sont-elles demeurées en parfaite santé? Le courant dominant a appelé ces personnes des «contrôleurs d’élite» mais n’a jamais été en mesure de fournir la moindre explication à ce phénomène qui pourrait conduire au vaccin depuis longtemps promis.

• Pourquoi Luc Montagnier, le découvreur du virus VIH, affirme-t-il désormais que ce virus ne peut être la seule cause du SIDA?

• Pourquoi n’a-t-on encore pu mettre au point aucun vaccin, après plus de vingt-sept années de recherches ayant englouti plusieurs dizaines de milliards de dollars, alors que Jenner avait produit le premier vaccin antiviral contre la variole au départ d’une vache atteinte de la vaccine. Cela en 1796 (!), en moins d’une année et pour une somme ne dépassant pas 60 livres sterling?


Dans L’Invention du Virus du SIDA, Peter Duesberg soutient que le SIDA est une épidémie de nature toxique (chimique) et non virale. N’étant, par conséquent, pas contagieux, il ne peut être traité par un vaccin, et se trouve en corrélation avec une consommation à long terme de drogue et/ou de médicaments antiviraux, ou encore avec les conséquences biochimiques de la pauvreté et de la malnutrition.


Début du livre: "Le sida: une guerre perdue d'avance".

"On peut dire que la guerre contre le SIDA a été, dans tous les sens du terme, une défaite colossale. Dans les douze années qui ont suivi l’annonce que le Virus d’Immunodéficience Humaine (VIH) serait la cause du SIDA (Syndrome d’ImmunoDéficience Acquise), nos scientifiques et décideurs les plus éminents n’ont pu démontrer que leurs efforts avaient sauvé une seule vie humaine. Cette situation lamentable s’applique autant aux Etats-Unis qu’à l’Europe et l’Afrique.

Cette guerre a été menée en vertu de l’hypothèse virale du SIDA qui soutient que le VIH, virus du SIDA, est la nouvelle cause d’une trentaine d’anciennes maladies, parmi lesquelles le sarcome de Kaposi, la tuberculose, la démence, la pneumonie, la perte de poids, la diarrhée, la leucémie et quelques vingt-trois autres (voir chapitre 6). Dès que l’une de ces maladies se déclare chez un patient qui présente des anticorps contre le VIH (mais rarement le VIH lui-même), sa maladie est diagnostiquée comme SIDA et attribuée au VIH. Si la même affection se produit chez un patient qui ne présente pas d’ anticorps contre le VIH, sa maladie est diagnostiquée sous son ancienne appellation et attribuée à des causes chimiques ou microbiennes conventionnelles.

Ceci est illustré par les exemples suivants:
1. Sarcome de Kaposi avec anticorps VIH = SIDA
Sarcome de Kaposi sans anticorps VIH = Sarcome de Kaposi
2. Tuberculose avec anticorps VIH = SIDA
Tuberculose sans anticorps VIH = Tuberculose
3. Démence avec anticorps VIH = SIDA

Démence sans anticorps VIH = Démence

Aucun scientifique ni aucun médecin n’a jusqu’ici revendiqué la découverte d’un vaccin contre le SIDA; aucun vaccin n’étant prévu avant au moins plusieurs années. Alors que l’épidémie de poliomyélite s’était terminée en un peu moins d’une décennie dès que les vaccins de Jonas Salk et d’Alfred Sabin furent rendus disponibles à grande échelle, aucun médicament utile et efficace n’a jusqu’ici été produit pour traiter le SIDA. Les malades du SIDA n’ont que le choix entre la Zidovudine (AZT) et, selon le cas, la dideoxyinosine (ddI) ou la dideoxycitidine (ddC). Tous ces médicaments ont initialement été mis au point pour détruire les cellules humaines cancéreuses et comportent tous les effets secondaires de la chimiothérapie tels que perte des cheveux, dégénérescence musculaire, anémie, nausées et vomissements: un prix lourd à payer pour des résultats très discutables. En fait ces médicaments occasionnent par eux-mêmes des symptômes semblables à ceux du SIDA. Les médecins peuvent tout au plus réconforter leurs patients mourants, surveiller leur état de santé en simulant l’optimisme.

Les fonctionnaires de la santé publique ne peuvent toujours pas démontrer que leur effort ait tant soit peu contribué à infléchir le cours de l’épidémie ni qu’ils aient même empêché qui que ce soit de contracter le SIDA. En dépit des divers programmes d’éducation préventive ayant cours dans les écoles ou dans l’ensemble de la communauté, de même que les divers programmes, officiels ou non, de distribution de préservatifs ou de seringues hypodermiques stériles pratiqués en Europe et aux Etats-Unis, aucune diminution notable du nombre des nouveaux cas de SIDA n’a pu être observée où que ce soit. Au contraire, chaque année amène son nouveau lot de malades du SIDA. Plus incroyable encore, les analyses de dépistage pratiquées à l’échelle nationale, auprès des donneurs de sang n’ont montré aucune diminution des cas de maladies associées au SIDA (telles que pneumonie, candidose et lymphome) ni du taux de mortalité parmi les receveurs de transfusions, hémophiles y compris. (1)

Pire encore, les experts ont dû constater que leurs estimations et projections se révélaient d’une inexactitude on ne peut plus embarrassante. La soi-disant période de latence (le temps s’écoulant entre l’infection par le virus et l’apparition des symptômes cliniques du SIDA chez un patient) avait d’abord été évaluée à dix mois en 1984. (2) Depuis, cette période d’incubation a été presque annuellement réévaluée vers le haut. Elle est actuellement de dix années ou plus. Même au niveau clinique, le pronostic des médecins s’avère, pour chaque patient séropositif, désespérément imprévisible. Ils ne peuvent prévoir quand une personne séropositive saine tombera malade ni quelle maladie l’affectera, une infection mycosique, une pneumonie, un cancer du sang, la démence, ou peut-être aucune maladie du tout.

Les estimations concernant la propagation du virus ont entre-temps suscité un autre problème: La science officielle a continuellement annoncé une propagation exponentielle du SIDA au sein de l’ensemble de la population par transmission sexuelle du VIH, frappant les hommes et les femmes de manière égale, les homosexuels aussi bien que les hétérosexuels. Cette explosion de la maladie devait être suivie d’une augmentation correspondante du taux de mortalité. Cependant, en dépit d’un recours extensif à des tests anticorps pour le VIH (appelés communément tests SIDA) qui conduisirent les autorités à déclarer qu’en 1985 un million d’Etats-uniens étaient déjà contaminés par le virus, le nombre de séropositifs états-uniens est demeuré le même qu’en 1985, c’est-à-dire un million. (3) En bref, cette prétendue maladie virale qui a déjà contaminé un million d’Etats-Uniens ne semble pas se propager aux 250 millions restants. Le SIDA lui-même n’a pas encore affecté un grand nombre de femmes et, mis à part les toxicomanes, n’a pas atteint la population hétérosexuelle. Neuf patients du SIDA sur dix sont toujours de sexe masculin et plus de 95 pour cent d’entre eux tombent dans les catégories à risque: homosexuels, usagers de drogues dures et, dans certains cas, hémophiles. (4) En Afrique, les six à huit millions censés être contaminés par le VIH ne se sont traduits que par 250.000 cas de SIDA, c’est-à-dire 3 à 4 pour cent de la population séropositive. Haïti, où 6 pour cent de la population étaient reconnus séropositifs en 1985, a été jusqu’ici relativement épargnée par l’épidémie du SIDA. (5)

Il y a quelque chose d’entièrement faux dans cette situation. Comment est-il possible que l’institution scientifique la plus vaste et la plus évoluée de l’histoire humaine ait pu échouer aussi misérablement alors qu’il s’agissait de sauver des vies et de prévoir le nombre de victimes de cette épidémie? Certainement pas par manque de ressources. Avec un budget fédéral de 7 millions de dollars US, le SIDA est devenu l’épidémie la mieux subsidiée (au point de vue recherche) de tous les temps. Non seulement y a-t-il des milliers de scientifiques employés 24 heures sur 24 dans une course permanente pour dénouer les mystères de ce syndrome, mais les chercheurs disposent des technologies les plus sophistiquées de l’histoire. Grâce à ces techniques, ils sont parvenus à détecter et manipuler des molécules particulières, une chose qui aurait paru inimaginable aux savants qui combattaient la variole, la tuberculose et la polio quelques années auparavant. Jamais non plus, les chercheurs du SIDA n’ont manqué d’information scientifique. Avec plus de cent mille communications publiées sur ce seul syndrome, la littérature consacrée au SIDA est seulement surpassée par l’ensemble des littératures consacrées à tous les types de cancers au cours de ce siècle. L’épreuve décisive quant à la validité d’une hypothèse médicale réside dans le bénéfice qu’elle apporte au point de vue de la santé publique. L’hypothèse virale du SIDA n’a produit aucun résultat bénéfique de ce genre. Devant pareille débâcle médicale, les scientifiques devraient se poser cette question simple mais essentielle: Quelle est donc la véritable cause du SIDA?

La solution que réclame cette épidémie ne réside pas dans l’augmentation des subsides à la recherche ni dans des efforts visant à rendre la science plus productive. La solution relève plutôt d’une réinterprétation de l’information existante. La plus importante tâche à laquelle la science doit s’atteler est, non pas de mettre sans cesse à jour de nouvelles connaissances, mais d’apporter un sens aux connaissances que l’on possède déjà. Sans un retour en arrière pour vérifier le bien-fondé de ses suppositions sous-jacentes, la science risque de ne pouvoir jamais donner de sens à son accumulation d’informations brutes. L’échec colossal de la guerre contre le SIDA est une conséquence prévisible lorsque des scientifiques opèrent leur recherche au départ d’une supposition défectueuse sur laquelle ils ont construit un gigantesque édifice d’idées erronées. L’unique faille qui a déterminé le destin catastrophique de la recherche sur le SIDA depuis 1984 était la supposition que le SIDA était de nature infectieuse. Une fois engagés dans la mauvaise direction, les chercheurs ne pouvaient qu’en arriver à davantage de fausses présomptions et élaborer un gigantesque édifice d’idées fausses.

La seule solution serait de remettre en question l’hypothèse selon laquelle le SIDA est de nature infectieuse et occasionné par le virus VIH. Mais le déluge providentiel des subventions fédérales et industrielles a mobilisé une armée d’experts en VIH-SIDA qui comprend des scientifiques, des journalistes et des activistes qui ne peuvent se permettre de remettre en cause le bien-fondé de leur croisade. Ils sont des milliers à se disputer une plus grosse tranche du gâteau que représentent les subventions et les publicités accordées au SIDA, et à produire pour cela de plus en plus le même genre de science, en quantité dépassant même les exigences de la compétition. Dans ce climat, remettre en question les principes fondamentaux pourrait être fatal au gagne-pain et à la prospérité de milliers d’entre eux.

Avant de devenir un partisan du VIH-SIDA, John Maddox, l’éditeur de Nature, la plus ancienne revue scientifique du monde, exposait le dilemme:

Existe-il un danger, en biologie moléculaire, de voir que l’accumulation de connaissances puisse prendre le pas sur leur assimilation de telle manière que ces connaissances finissent par constituer une entrave à la compréhension scientifique? Le problème est en partie dû au fait que l’excitation qui accompagne cette course laisse peu d’espace à la réflexion et qu’il y a toujours des subventions pour la production de connaissances mais jamais aucune pour la prise de recul et la méditation. (6)

 

Pour lire la suite cliquer sur le lien ci-dessous (1er chapitre entier du du livre "L'invention du virus du sida":

 

Le sida: une guerre perdue d'avance

 

Notes:

1 – P.H.Duesberg, “AIDS Acquired by Drug Consumption and Other Noncontagious Risk Factors, ”Pharmacology and Therapeutics, 55 (1992): 201-277.

2 – D.M.Auerbach, W.W.Darrow, H.W.Jaffe and J.W.Curran, “Cluster of Cases of the Acquired Immune Deficiency Syndrome Patients Linked by Sexual Contact”, American Journal of Medicine, 76 (1984) 487-492.

3 – National Institute of Allergy and Infectious Diseases, NIAID Backgrounder: How HIV Causes AIDS (National Institutes of Health, 1994).

4 – Centers for Disease Control and Prevention, “U.S. HIV and AIDS Reported Through December 1993; Year-End Edition, ”HIV/AIDS Surveillance Report, 5 (1993): 1-33.

5 – P.H.Duesberg, “AIDS Acquired by Drug Consumption”, 201-277; P.H.Duesberg, “Human Immunodeficiency Virus and Acquired Immunodeficiency Syndrome: Correlation but Not Causation, ”Procedings of the National Academy of Sciences, 86 (1989): 755-764.


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22 janvier 2013 2 22 /01 /janvier /2013 12:32

 

La Cure de tous les cancers avancés

      Livre de Hulda Clark

Après la parution, dans la francophonie, du livre  "La Cure de tous les cancers" en français, le livre du Docteur Hulda Clark "The Cure for all the advanced cancers", depuis sa parution en langue anglaise, n'était disponible qu'en édition originale anglaise.

Depuis peu, l'ouvrage "La Cure de tous les cancers avancés", éditée au Togo par les éditions Cité de Lomé, est maintenant également disponible en français.

Certainement, cette édition française était, depuis longtemps, par beaucoup, attendue. En effet, bien que confirmant ce qui était déjà dit dans "La Cure de tous les cancers" Hulda Clark va encore plus loin dans cette nouvelle édition qui permet même à ceux dont la maladie est déjà bien avancée de retrouver aussi l'espoir...

En effet, en page 4 de couverture, la Doctoresse Hulda Clark déclare:

"Le cancer peut maintenant être guéri. Pas seulement les premiers stades de la maladie mais aussi les cancers avancés, les stades 4 et 5 de la maladie, incluant la mort imminente.

Nous ne sommes pas habitués à penser à une guérison. Nous pensons qu'une rémission est la seule possibilité. Mais ce livre ne parle pas de rémission. Il parle de guérison. C'est possible parce que la véritable cause du cancer a été découverte."

L'ouvrage "La Cure de tous les cancers avancés" du Dr Hulda Clark est présenté et commandable sur cette page.

 

Sourcehttp://cancer-soinsalternatifs.over-blog.net/article-la-cure-de-tous-les-cancers-avances-114386224.html.


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4 janvier 2013 5 04 /01 /janvier /2013 15:50

Message relayé

 

L'impasse génétique

 

 

Yves-Razir.jpg

Yves Razir

 

Il fallait s'y attendre: l'étude du professeur Séralini sur les rats nourris aux OGM a provoqué une levée de boucliers dans la communauté scientifique. L'image des rongeurs perclus de tumeurs géantes a eu un tel impact médiatique et politique que les défenseurs de la malbouffe transgénique ont bien saisi l'urgence de monter au créneau. Et les voilà rivalisant de mauvaise foi et de malhonnêteté intellectuelle pour dénigrer des recherches pourtant menées avec rigueur et rectitude. Le plus amusant, c'est de voir de prétendus hommes de science tenir des propos fort peu rationnels, et même foncièrement antiscientifiques. Ainsi, dans le flot de critiques, on a pu lire qu'il était «difficile d'imaginer intuitivement» [NDLR: Déjà, l'imagination, produit de l'intellect, et l'intuition, voix de l'esprit, sont incompatibles] ou qu'il était «scientifiquement peu crédible» que le maïs trafiqué de Monsanto puisse provoquer de tels dégâts chez l'animal. Face au faits, les «experts» pro-OGM ont donc choisi d'opposer leurs croyances et leurs intuitions!


Le problème n'est pas qu'ils aient des convictions, mais que celles-ci, de leur propre aveu, s'appuient sur leur manque d'imagination. Ces scientifiques «intuitifs» ne peuvent tout bonnement pas imaginer l'ampleur de la complexité de la vie. Ils s'imaginent que le bout d'ADN qu'ils ajoutent dans le génome d'une plante va faire tout ce qu'on attend de lui sans interférer avec le reste du végétal, avec l'organisme qui le consomme et avec l'environnement qui l'entoure. Comme le souligne très justement le biologiste Christian Vélot, l'humilité ne fait visiblement pas partie de la formation de ces supposés savants qui prétendent pouvoir maîtriser le vivant à défaut de le comprendre. Or, on ne maîtrisera jamais avec un ou deux gènes manipulés en laboratoire ce que la nature a mis des milliers, voire des centaines de millions d'années à élaborer. Croire à la toute-puissance du gène isolé en éprouvette, c'est croire puérilement à sa propre toute-puissance. Comme le souligne encore Christian Vélot, la technoscience du vivant est devenue une religion dont les curés sont prêts à tout en espérant que le miracle se produise. Et ce sont ces mêmes curés qui prétendent incarner la «vraie science» et lutter contre les charlatanismes…


Le rêve prométhéen de contrôler le vivant et le fantasme infantile du gène tout-puissant dominent également la recherche médicale, laquelle nous bassine depuis des lustres avec la thérapie génique. L'Europe vient même de donner son feu vert à l'essai du «premier médicament génique» censé réparer un gène défectueux et guérir ainsi de la maladie qu'il provoque. Comme si on ne savait pas qu'il n'y a jamais un seul gène impliqué dans une pathologie! Comme si on ne savait pas que les phénomènes épigénétiques – autrement dit le vécu d'une personne et son mode de vie – pèsent bien plus lourd que son bagage génétique! Comme l'écrit toujours Christian Vélot, ces deux technologies (thérapie génique et manipulation génétique des plantes) reposent sur une vision totalement obsolète du vivant. Dépassées, elles mènent forcément dans une impasse.

 

 

Yves Rasir
Rédacteur en chef de la revue Néosanté

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21 novembre 2012 3 21 /11 /novembre /2012 17:28

"The Cure for all diseases" offert!

Un Internet-publisher américain fondateur d'un Institut de Santé naturelle offre cinq cent livres (en anglais) "The Cure for all diseases" du Dr Hulda Clark gratuitement (seul le port est à régler):

Cliquez ICI

 

Sur cette page, outre tous les bienfaits des Cures proposées par Hulda Clark (c'est le plus important!) il raconte aussi les injustes persécutions subies par Hulda Clark (arrêtée comme une malfaisante à l'âge de 71 ans, alors qu'elle mériterait le prix Nobel!) pour avoir menacé, par ses protocoles simples et naturels, les gigantesques profits des marchands de maladies. Toutefois, elle a gagné tous les procès qui lui étaient intentés par les soi-disant "crève-charlatans".

A la suite de quoi elle écrivit au "Mouvement pour la Liberté dans la Santé" une lettre-déclaration-profession-de-foi lisible, en français, sur cette page.

Voici aussi quelques extraits de ses déclarations sur la nécessaire Autonomie dans la Santé, à lire sur le journal Soleil Levant de ce mois-ci (Novembre 2012):  "La Santé par soi-même".

Hulda Clark n'est plus de ce monde (après une vie de recherches et de labeur, elle est décédée le 3 septembre 2009), mais elle a laissé en héritage son œuvre derrière elle, à l'intention de tous ceux qui, de façon entièrement naturelle, sont prêts à prendre eux-mêmes en charge leur destin et leur santé.

C'est pourtant simple de bien se porter, il convient de nettoyer son corps et aussi son environnement, sans oublier l'intérieur, ce qui peut être fait grâce à des lavements au Lugol ou au Brou de noix.

C'est ainsi que la Vérité - tel un ballon dans l'eau, qui plus on l'enfonce plus il remonte à la surface - progresse inéluctablement et fait, année après année, de nouvelles émules, parmi lesquelles se trouvent parfois des célébrités comme l'actrice italienne Ornella Muti.

L'authentique science étudiant statistiquement les effets positifs du zapping ou mettant en évidence les dégâts occasionnés par des parasites comme le redoutable fasciolopsis buski n'est pas en reste, de sorte que l'on peut envisager l'avenir avec confiance: les sacrifices effectués par les pionniers ne sont pas vains; comme toujours, la Vérité finira par triompher!


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21 janvier 2012 6 21 /01 /janvier /2012 11:11

 

 

Soigner le diabète en 21 jours


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Le livre donnant à connaître la démarche pour complètement se guérir du diabète de type 2 (et bien améliorer le diabète de type 1) vient de paraître en français et est donc maintenant disponible pour les francophones, et en particulier pour les diabétiques!

Le diabète, qui se caractèrise notamment par un taux {trop} élevé de sucre dans le sang, et dont il existe donc deux formes principales - le diabète 1 et le diabète 2 - est une maladie relativement répandue, souvent très invalidante, pouvant provoquer différentes séquelles, plus ou moins graves, comme, par exemple, la cécité.


Dans son livre "La Guérison est possible" la Doctoresse Hulda Clark, ayant identifié le principal parasite et le principal polluant responsables du diabète, "promettait" déjà, pour cette maladie , sinon la guérison complète du moins une forte amélioration pouvant amener à pouvoir/devoir stopper les injections d'insuline dans un laps de temps assez rapide de deux à trois semainees.

 

Avec le Dr Gabriel Cousens, médecin américain promoteur d'une démarche de guérison holistique, c'est encore un pas important qui est, maintenant, franchi, car avec son régime spécial 100% végétal (sans aucune protéine animale), c'est la guérison complète du diabète de type 2 qui, selon ses dires, peut être atteinte dans ce même laps de temps de seulement trois semaines!

 

Soigner son diabète en 21 jours - "L'Arbre de la Vie"


 

Dr Gabriel Cousens


Le livre "Soigner son diabète en 21 jours" qui, en ce mois de Janvier 2012, est enfin disponible en français, est présenté par l'auteur comme un ouvrage destiné à démythifier le mythe de l'incurabilité du diabète. Le diabète (au moins celui de type 2) est donc entièrement guérissable!

Voici donc, avec ce livre, un guide essentiel pour combattre l'une des pathologies les plus répandues et les plus handicapantes de notre temps. Un programme révolutionnaire en 21 jours pour faire baisser le taux de glucose dans le sang et inverser le processus diabétique jusqu'à la guérison.


Le Dr Cousens détaille les facteurs de risques, les causes et surtout les traitements naturels de cette pathologie handicapante, qui concerne désormais des centaines de millions de personnes dans le monde entier.

Les traitements proposés reposent sur un régime végétalien excluant toute protéine d'origine animale. Le radicalisme de cette approche est compensé par les extra-ordinaires résultats qu'aucun autre genre de régime alimentaire ne garantit.


Cette méthode est, en effet, le fruit d'un travail médical collectif de 35 ans, qui en a largement prouvé l'efficacité. Le programme thérapeutique désigné sous le nom d'«Arbre de la Vie» est non seulement en mesure d'inverser le processus dégénératif du diabète de type 2 jusqu'à la guérison complète, mais également d'améliorer considérablement les troubles liés au diabète de type 1.


Le tout à travers une approche naturelle à 360°, qui tient compte de l'alimentation, des émotions, du style de vie et de remèdes naturels.


Le Dr Gabriel Cousens, médecin, homéopathe, et expert en médecines naturelles, a traité pendant trente ans et avec succès un grand nombre de patients souffrant de diabète. Il tient des séminaires sur la nutrition et les modes de vie à travers tout le continent américain, en Europe, en Israël et en Afrique du Sud. Il a publié différents ouvrages sur la médecine naturelle et sur le thème du bien-être.

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En savoir plus sur la Méthode du Dr Cousens

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Se procurer le livre "Se soigner du diabiète en 21 jours"

 

 

Source: http://www.lasantenaturelle.net/174/la-sante-naturelle.html

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