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Depuis la mise en place de la dictature vaccinaliste en France, soit, pour les nourrissons, depuis le 01/01/2019 (11 vaccins obligatoires et beaucoup plus de valences!), les parents conscients de leur devoir vis-à-vis de leur progéniture cherchent comment protéger efficacement leurs bébés de cette épouvantable agression contre le système immunitaire de leurs enfants.
Voici une solution présentée par le Dr Tal Schaller, à partir de 12'40" jusqu'à environ 15'05'', dans la vidéo ci-dessous...:
Le Dr Tal Schaller révèle comment s'opposer efficacement aux vaccins "obligatoires" à base d'aluminium.
Le Dr Tal Schaller explique donc que le Professeur Jean-Bernard Fourtillan, un grand toxicologue et pharmacien, a découvert que "l'aluminium contenu dans les vaccins est à des doses d'une toxicité effroyable", ce qui ne peut pas être contesté. "Dans une dose de vaccin obligatoire en France il y a ... 80 ou même 100 fois la dose comme étant la dose tolérable et admise par l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé)"!
"Ce n'est pas possible, c'est de l'empoisonnement généralisé, c'est un génocide!" s'exclame alors le Docteur Tal Schaller.
Un document établi par le Pr Jean-Bernard Fourtillan établit cela de façon irréfutable. Ce document est à la disposition de chacun(e) et peut être téléchargé, en cliquant sur le lien ci-dessous:
Certificat d'expertise relatif aux vaccins à base d'aluminium.
Il suffit ensuite de produire ce document devant le pédiatre - ou toute autorité voulant imposer les "vaccins obligatoires" aux bébés - et là "le pédiatre ne peut plus rien dire"! Il suffit d'ajouter: "Je voudrais que vous me signiez un papier reconnaissant que je vous ai remis ce document en mains propres", en ajoutant "Regardez, ce document est la preuve qu'il y a des doses d'aluminium hyper-toxiques dans les vaccins que vous voulez administrer à mon bébé!", et/ou encore: "Après avoir lu cela et sachant donc maintenant cela, voulez-vous encore, sous votre propre responsabilité, administrer cette toxicité à mon enfant, sachant que vous pourrez ensuite être poursuivi pour administration d'un produit toxique à un petit enfant dans l'incapacité de s'y opposer par lui-même?". Dans presque tous les cas, vous pourrez ressortir du bureau du pédiatre avec un certificat de contre-indicatiuon et votre bébé indemne!
La Charte Européenne des Droits des Patients est téléchargeable ici. Sur le plan juridique c'est naturellement un texte important, sur lequel les citoyens peuvent se baser pour s'opposer aux grossiers abus couramment pratiqués à leur endroit.
Certains articles sont régulièrement violés par des pratiques abusives. En particulier l'article 4 intitulé "Droit au consentement éclairé":
"Chaque personne a le droit d’accéder à toute information qui pourrait lui permettre de participer activement aux décisions concernant sa santé; cette information est un préalable à toute procédure ou traitement, y compris la participation à la recherche scientifique."
La formulation de l'article est toutefois timide et assez vague. Les auteurs semblent avoir pratiqué la "langue de plomb". Que signifie, en effet, "participer activement aux décisions"? Prenons, par exemple, les vaccinations imposées à des personnes non malades? La "participation" s'arrête-t-elle là où commence les décisions autoritaires des autorités de santé? Ou donne-t-elle, au contraire, réellement, au patient le droit de s'opposer efficacement à des interventions non voulues de lui sur son propre corps (ou celui de ses enfants)? Car à quoi sert-il d'être informé au sujet des possibles nuisances ou effets secondaires d'une thérapie si, en droit, le patient ou le citoyen n'a pas réellement la possibilité de s'y opposer?
C'est exactement la même chose pour l'article 5: "Droit à la liberté de choix":
"Chaque personne a le droit de choisir librement parmi les différentes procédures de traitement, structures de soin et personnels soignants, sur la base d’informations appropriées.".
Là aussi la formulation est ambigüe et semble également procéder de la langue de plomb. Que signifie: "choisir "librement" parmi les différentes procédures de traitement". Choisir "librement" parmi des procédures imposées, c'est, à l'évidence, une fausse "liberté"! Car la liberté c'est aussi - et même avant tout! - pouvoir refuser toutes les procédures de traitement!
Considérons maintenant l'article 13: "Droit de réclamation":
"Chaque personne a le droit de faire une réclamation toutes les fois qu’elle subit un dommage et a le droit de recevoir une réponse en retour".
Que signifie un tel "droit de réclamation" dans un pays où les laboratoires sont dispensés par la loi de répondre eux-mêmes des préjudices provoqués par leurs vaccins le plus souvent "administrés" par la contrainte aux victimes, et donc à leur corps défendant?
Ce ne sont que quelques exemples montrant que les citoyens ayant le droit de "participer à l'élaboration des politiques de santé" ont - rien déjà que pour la reformulation de cette charte en vue de reconnaître les réels droits fondamentaux naturellement déjà existants des citoyens et des patients - encore beaucoup de "pain sur la planche"!
Beaucoup mieux qu'"Octobre rose" ... "Octobre ... Arc-en-Ciel"!: