La Porte...
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Ne plus jamais «tomber» malade
Le Docteur Ryke Geerd Hamer explique magnifiquement bien comment un «choc psychique dramatique, prenant à contre-pied et vécu dans l’isolement» peut déclencher un «SBS (aus der Natur)» ou «Programme Spécial Bien-Fondé de la Nature» (autrement appelé «maladie», une maladie telle que le cancer). À ce sujet, en dehors du fait de bien comprendre et expliquer tous les processus, il n’y a, sur le fond, pas grand chose de plus à dire après lui.
Le Dr Hamer propose de percevoir la maladie non plus comme une fatalité, un ennemi à combattre mais comme un réflexe biologique de survie, un programme spécial bien fondé de la Nature, par lequel la maladie serait, en fait, une amie nous voulant du bien. La maladie est alors perçue comme la solution parfaite du cerveau.
Lors d'un DHS (Dirk Hamer Syndrom, appellation choisie en mémoire à son fils Dirk grâce auquel il a pu découvrir l'origine psychique du cancer et des autres maladies), c'est à dire un choc générant un conflit aigu et dramatique vécu dans l'isolement, le cerveau donne alors l'ordre de trouver la meilleure solution jusqu’ici connue de lui, utilisée lors de l'évolution des espèces, afin de permettre la survie de celles-ci.
Le Dr Hamer a pu démontrer scientifiquement, grâce au scanner cérébral, la corrélation entre le DHS, une aire cérébrale précise perturbée par le choc et un organe spécifique du corps. Cette triade a été vérifiée dans 100% des cas qui ont été soumis à l'observation.
Ce qui, par contre, est jusqu’ici demeuré encore largement mystérieux c’est ce qui s’est passé avant le fameux choc psychique, permettant de comprendre pourquoi, dans certains cas, l’événement est un choc et pourquoi, dans d’autres, il ne l’est pas.
La compréhension du pourquoi est ici fondamentale, car, si l’on a compris pourquoi un choc psychique a lieu ou non, l’on peut aussi comprendre comment il est possible de l’éviter et donc de générer la maladie corporelle. L’on a alors compris comment il est possible d’éviter d’être physiquement malade, c’est-à-dire, par exemple, de développer un cancer ou quoi que ce soit d’autre.
Tout ce qui se passe dans l’Univers obéit à des Lois vivantes. Toutes les Lois sont immuables. Par exemple, la Pesanteur est une Loi. Rien ne lui échappe. Ce sont des Lois d’Airain (alliage d’une très grande solidité). Cela veut dire que, à chaque fois, les causes sont prévisibles et que les effets sont reproductibles. Ces Lois Universelles sont aussi souvent appelées «Lois de la Nature».
En ce qui concerne les corps, la santé et les maladies sont aussi déterminées par des Lois d’Airain biologiques. Une loi d’airain est d’une loi aussi solide - et donc inflexible - que l’airain, un alliage d’une résistance exceptionnelle [en allemand „ehernes Gesetz“]. Les lois d’airain du cancer découvertes et fort bien exposées par le Docteur Hamer sont des lois biologiques absolues; tout comme la Loi de la Pesanteur, elles s’accomplissent dans toutes les situations et dans tous les cas.
La maladie n’arrive jamais «par hasard». Selon les explications fournies par le Docteur Hamer, s’il n’y a pas, auparavant, de «choc biologique», alors il ne peut pas y avoir, non plus, de maladie. Alors, est-il possible d’éviter les chocs biologiques? Voilà la question fondamentale – et même vitale - à se poser. Car s’il on évite les chocs biologiques, l’on évite aussi, dans le cerveau, les «foyers de Hamer» (ou «cibles») et les maladies corporelles que, autoactivement, simultanément, ils déclenchent.
Pour pouvoir répondre à cette question il faut tout d’abord bien comprendre ce qu’est un choc biologique. Au départ, le choc est psychique, mais ensuite, par répercussion, il devient biologique. Un choc biologique est
donc un choc seulement psychique, qui, au lieu de demeurer purement psychique, s’est - si ce néologisme permet de mieux
comprendre -, en quelque sorte, au départ «biologisé». La Nature a, en effet, sa propre
Bio-Logique. Le choc, du fait d’une connexion particulière entre le psychisme et le corps physique terrestre, a pénétré jusque dans le corps physique.
Ceci ne se passe ordinairement pas parce que, d’ordinaire, le mental – donc l’intellect - agit comme un «isolant»,
au sens électrique du terme. Mais lorsque, du fait du caractère non seulement brutal mais soudain et imprévisible de l’événement déclenchant le choc,
l’intellect perd le contrôle, l’«influx psychique» arrive alors à passer et, à la vitesse de l’éclair, déclenche, dans le corps, via le cerveau, la réaction
bio-logique correspondante.
Dans la conscience ordinaire de jour – ou «diurne» -, en effet, à cause de la prédominance du mental - donc de la domination de l’intellect -, les chocs psychologiques restent dans le psychisme et n’arrivent pas jusque dans le physique. Par contre, lorsque le mental – donc l’intellect - est dépassé par les événements, alors l’impact psychique se répercute à plein dans le physique et c’est pourquoi de seulement psychique le choc devient aussi biologique.
À la suite de ce choc devenu biologique, le Docteur Hamer explique que le cerveau primitif ou «reptilien», en tant que «solution parfaite» au problème à lui posé, développe un «SBS» [«Sinnvolles Biologisches Sonderprogramm der Natur»] soit, en français, un «Programme Spécial Sensé (Bien-Fondé) de la Nature», donc un «programme spécial de survie».
L’on peut se demander pourquoi, en ce cas, c’est, en l’être humain, le cerveau reptilien – et non une autre partie du cerveau plus «moderne» - qui commande. Ce cerveau est, en effet, le plus primaire, le plus primitif, celui qui est sous la gouvernance de l’instinct.
La raison pour cela est, en fait, simple à comprendre. Beaucoup de fonctions, dans le corps, sont gérées de façon automatique
et inconsciente, et - du reste - heureusement! Heureusement, car cela nous évite de devoir réfléchir en permanence, donc à chaque
instant, pour savoir combien de fois et avec quelle intensité, pour pouvoir continuer à vivre, il nous faut respirer ou faire battre notre cœur ou bien ce que notre corps doit mettre en œuvre
pour activer le processus d’oxygénation des cellules, etc. …
Ou bien, entre des milliers d’importants autres processus biologiques nécessaires à la survie, la quantité de telle enzyme bien déterminée qui va être nécessaire pour assurer la digestion correcte de tel aliment faisant partie du repas que nous venons de prendre. Ou bien encore ce que doit faire notre corps pour réparer les conséquences du choc physique que nous venons de recevoir, etc., etc.
Le cerveau reptilien est donc, entre autres, celui qui, fortement lié à l’instinct et en particulier à l’instinct
de survie, commande, dans toutes les situations qui l’exigent, les réflexes de survie du corps. Ce cerveau primitif, à l’inverse du «grand cerveau» qui s’est développé par la
suite, ne réfléchit pas mais il agit! Et il agit vite! Il répond d’une façon efficace et automatique mais pas forcément
nuancée.
Il lui manque le discernement; en particulier, il ne sait pas faire la différence entre le psychique et le physique. Cela veut donc dire - qu’une agression soit physique ou «seulement» psychique - qu’il réagira, dans les deux cas, de la même manière. Il ne sait pas faire la différence. Dans le vécu, pour lui, il n’y a, du reste, pas de différence. Et, lorsque le choc psychique est devenu biologique, le corps traite l’événement, au niveau biologique, comme s’il s’agissait d’une agression physique. Il est, en effet, programmé dans un seul but: la survie biologique! Et, pour cela, il est capable de faire de gros sacrifices!
En effet, dans la Nature – laquelle obéit à sa propre logique -, ce qui compte c’est de survivre à tout prix. En outre, plus que la survie de l’individu, dans cette logique bio-logique, la survie de l’espèce prime sur celle de l’individu. Cela signifie donc que la Nature – et donc le cerveau reptilien – est capable, s’il le faut - c’est-à-dire, par exemple, si la survie de l’individu menace celle de l’espèce -, de sacrifier l’individu!
Obéir à l’instinct, chez un animal, est parfaitement naturel. Car l’animal est porteur d’un noyau animateur qui, à l’évidence, fait partie de la Nature. Mais l’être humain, lui, même s’il est plongé dans la Nature, ne fait pas, pour autant, partie de la Nature. Il appartient à un «Règne» - ou à un genre – qui se tient «naturellement» - ou le devrait - au-dessus de la Nature.
L’animal obéit à son instinct, mais, chez l’être humain, porteur d’un Noyau animateur de genre différent pouvant, lui, être qualifié de spirituel, ne devrait-il donc pas, de ce fait, en aller autrement?
Si un être humain développe un cancer, quel qu’il soit, ou quelque autre maladie que ce soit, cela veut dire que, en lui, c’est encore le cerveau reptilien qui commande et qui a barre sur tout le reste. Cela veut donc dire que son noyau spirituel s’exprimant normalement en lui par l’intuition est largement ou même complètement inopérant.
À chaque fois qu’un être humain développe un tel «Programme Spécial Bien-Fondé de la Nature» il se soumet donc inconditionnellement à la Nature, à l’ordre du Naturel. Ce qui veut dire qu’il n’agit pas en tant qu’esprit mais qu’il réagit instinctivement, comme un animal, sans, toutefois, pouvoir avoir, en cela, le naturel de l’animal.
La différence c’est que, bien souvent, l’animal va rapidement régler son problème, de sorte que la situation de surstress (sympathicotonie) ne durera pas trop longtemps. Et que la phase de réparation (vagotonie) sera courte et ne laissera pas trop de séquelles. Il n’y a que l’être humain à – avec son entêtement intellectuel – faire, de façon irresponsable, autant durer les conflits…
Le problème, c’est que, plus un conflit dure, et plus – de logique manière – la phase de réparation, si, d’une manière ou d’une autre, elle n’est pas sensiblement abrégée, va, elle aussi, durer «plus que de raison» – souvent des années et parfois même des décennies -, avec tous les risques encourus au cours de cette phase certes réparatrice mais néanmoins fort délicate…
L’observation montre, en effet, que, paradoxalement, c’est souvent au cours de la phase de réparation que, en cours de guérison, les corps humains, ne pouvant surmonter l’épreuve de la réparation, succombent…
Moralité: Plus un conflit est rapidement surmonté - et donc résolu - et mieux cela vaut! Mais si l’on peut carrément éviter la «biologisation» du conflit c’est encore bien mieux, car il ne s’agira - en ce qui concerne le corps – plus, à proprement parler, de guérison mais seulement de prévention!
Ce n’est donc plus de la médecine – sauf, peut-être de la «Médecine de l’Âme!» - mais, tout simplement, de l’entretien de la Santé! Ce point est, à tous points de vue, d’une très grande importance, car non seulement c’est tout bon pour les Conseillers en Santé Naturelle, qui peuvent ainsi se limiter à faire de la Prévention sans nullement courir le risque d’empiéter sur le domaine de la médecine (reproche qui, dans les annales, revient régulièrement lorsqu’il s’agit de guérir quelqu’un de corporellement malade!), mais c’est aussi et surtout très bon pour les candidats à une bonne Santé eux-mêmes puisqu’ils veut ainsi concrètement vivre le sage adage: «Mieux vaut prévenir que guérir!».
À notre époque ou tant de thérapies nouvelles sont offertes à chacun «en libre service», chacun ayant besoin de moyens pour guérir peut trouver une approche thérapeutique en harmonie avec son niveau de conscience. En effet, aussi longtemps qu’un ressenti de culpabilité n’a pas été intégré par un être humain, subjectivement parlant, cette culpabilité n’existe pas encore pour lui.
Ainsi que l’a dit Jean Cocteau: «Les aveugles [que sont les malades] ne savent pas qu’ils sont aveugles, jusqu’à ce qu’un jour une bonne vérité leur crève les yeux!».
Par la suite, seront à examiner quels sont les principaux événements générateurs de «conflits» - et donc de maladies -, et comment il est donc possible de les éviter en intervenant sur les points qui se trouvent sous la dépendance du vouloir de l’être humain.
Source: http://santenaturelle.over-blog.net/article-il-vaut-mieux-prevenir-que-guerir-46220612.html
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Madame, Monsieur, Chers amis,
Vous êtes nombreux à m'avoir manifesté votre joie à l'annonce de mon passage en Europe. Pour moi aussi, ce sera un grand plaisir de venir vous partager l'expérience et l'expertise que je veux mettre à votre service. Pour que votre vie soit meilleure, mais surtout plus autonome, plus pleine, plus souveraine. Prenez le temps d'inscrire dans vos agendas les activités qui vous intéressent. Et inscrivez-vous suffisamment tôt. Les places partent vite, et cela nous facilite beaucoup la vie de connaître vos intentions à l'avance.
Programme de mars-avril 2010
(mis à jour le 3 février 2010)
Classement par dates
Vous trouverez tout le détail de ces différentes activités sur mon site Internet (http://www.jean-jacques-
Classement par type d'activité
Conférence: Comprendre le système immunitaire et les microbes (3 heures)
Conférence: Vaccination: histoire et perspectives d'avenir (3 heures)
Conférence: Pièges, difficultés et impasses des processus de guérison (3 heures)
Atelier thérapeutique: Les sentiers de la guérison (4 jours)
Atelier thérapeutique: Relations et jeux de pouvoir (3 jours)
Séminaire professionnel: Formation aux processus d'accompagnement et de changement (1ère partie) (2 x 3 jours)
Cours théorique: Vaccination et immunisation (1 jour)
Au plaisir de vous y retrouver très nombreux. Ne tardez pas - les inscriptions ont déjà dépassé 50 % du maximum de participants en moins d'un mois, pour les ateliers. Et pour conserver la qualité de mes interventions, je ne prends personne en surnombre. Restons debout, éveillés et conscients.
Fraternellement et cordialement
Jean-Jacques Crèvecœur
Montréal (Québec)
PS: Et n’oubliez pas de transférer ce courriel à tous ceux que ces sujets concernent ou intéressent. Il vous en prendra quelques minutes, mais ça pourrait changer la vie de certains d’entre eux.
Les prochaines activités, en résumé
Les sentiers de la guérison (4 jours)
Relations et jeux de pouvoir (3 jours)
Formation aux processus d’accompagnement et de changement (2 x 3 jours)
Formation pluridisciplinaire: vaccination et immunisation (1 jour)
Conférences grand public sur le système immunitaire et la vaccination (3 heures)
Conférence: Pièges, difficultés et impasses des processus de guérison
Ce 11/3/2009
Bonjour!
C’est encore moi, décidément!
Je voudrais vous rappeler le stage de formation qui débute le 26 mars à Agullana. Il y a encore de la place!
Ce stage permet non seulement d’acquérir la capacité d’accompagner des malades à leur processus de guérison, mais il est aussi un travail personnel de guérison pour chacun des participants - y compris d’ailleurs pour moi à votre contact!
Aperçu du programme:
MODULE I (26 au 29 mars)
1ère partie: La Biologie ou Science du Vivant. Les bases de la Psychosomatique.
2ème partie : Les programmations inconscientes: Projet-Sens et Généalogie.
MODULE II (23 au 26 avril)
1ère partie: Les lois biologiques de Hamer. Les cycles biologiques mémorisés (Marc Frechet). Un logiciel fonctionnant avec EXCEL vous est offert pour faire les calculs.
2ème partie: Les 7 étapes du deuil pour entrer en guérison. L’E.F.T.. Interaction entre “terrain” et pathologies. Le cerveau droit et le cerveau gauche.
MODULE III (21 au 24 mai)
1ère partie: Les pathologies les plus courantes.
2ème partie: Le travail de DÉCODAGE.
MODULE IV ( 18 au 21 juin)
1ère partie: Pathologies particulières. Fonctionnement du cerveau. Notions de psychologie. Psychiatrie à la lumière de la médecine psychosomatique.
2ème partie: L’accompagnement – La visualisation créatrice - Travail pratique.
Les modules doivent être suivis obligatoirement dans l’ordre: I => II => III => IV…
100 € par personne et par jour, soit 1600 € pour la formation complète / possibilité de facilités de paiement.
Cette formation de base s’adresse à TOUS. Elle ouvre sur les réalités de la VIE et, je le répète, elle permet de
faire un travail d’auto guérison. Elle est indispensable pour devenir «Accompagnateur-Thérapeutes»
Couplée aux perfectionnements pour acquérir les bases d’embryologie, d’anatomie et de physiologie, elle permet d’acquérir une compétence «médicale» indéniable.
S’il vous plaît, faites suivre l’information à vos contacts !
Merci.
Alain Scohy
«La reconnaissance des démons
et des fantômes
est la base de tout travail psychothérapeutique,
et même simplement thérapeutique,
car nul ne peut prétendre durablement guérir le corps
si l’âme qui l’habite n’est pas préalablement
guérie.»
"Que dit-il?"
Oui, je sais, en me lisant ou m’écoutant, votre réaction risque de ressembler à celle-là:
- «Qu’est-ce qui dit, celui-là? Moi, j’aurais des démons? Il n’est pas un peu givré cet homme-là? Et d’abord c’est quoi des démons?»
Oui, je sais, le mot «démons» défrise. Ce n’est pas un truc sympa, dans la mentalité courante, plutôt une superstition moyen-âgeuse, bonne pour les obscurantistes!
Bref, pour beaucoup de gens, les démons, au même titre que les êtres de la Nature (korrigans, lutins, farfadets, etc.), font partie du folklore à reléguer dans le domaine des contes et légendes mais n’existent tout simplement pas.
Pour les croyants, par contre, cela veut dire davantage. Ils savent que les démons existent mais croient qu’il s’agit d’esprits mauvais. Au singulier, le démon c’est le diable en personne!!! Rien de bien attirant!
Quant à «fantômes», ce n’est guère mieux! L’on croit, en général qu’il s’agit d’âmes désincarnées mais liées à la Terre qui s’en viennent hanter, de préférence, les châteaux écossais…
Et vous allez surenchérir:
- «Alors, moi, des démons!?! Sûrement pas! Si vous croyez que je vais m’intéresser à votre truc! Vous faites erreur, mon ami!»
C’est pourquoi j’ai un certain mérite à poursuivre…, car, forcément, je ne vais pas me faire que des amis à vouloir convaincre autour de moi que les gens – dont probablement vous-même - ont des démons et qu’ils auraient tout intérêt à les considérer en face!
Démons sans merveilles
D’abord, je désire que vous sachiez que je ne me place pas, d’emblée, au-dessus de vous, car, moi aussi, il a bien fallu que je commence par considérer mes propres démons droit dans les yeux; cela j’en ai déjà parlé dans «Mon démon et moi».
Et puis j’en ai aussi parlé à quelques Amis et certains ont bien voulu reconnaître qu’ils en avaient aussi… Notamment l’un d’eux, qui a vécu une forte expérience après avoir lu le livre «Le Chemin de la Santé Parfaite»…
Alors, seriez-vous la «merveille», c’est-à-dire l’exception rarissime à ne pas avoir de démons!?!
Oui? Peut-être…, mais cela reste à prouver!!!
Car, partout où il y a de faux désirs il y a forcément des démons!
N’avez vous jamais eu de faux désirs? Mais alors, demanderez-vous, peut-être qu’est-ce qu’un faux désir? Un faux désir est, le plus souvent, un désir né non de l’esprit mais de l’intellect, ou, tout au moins, de l’esprit influencé par l’intellect.
Comment peut-on le reconnaître? Le faux désir est susceptible de causer du tort à autrui, de la peine, une souffrance imméritée.
Or il est des Commandements qui interdisent de satisfaire des désirs capables de causer indûment de la peine à autrui.
Par exemple, je ne dois pas envier ou jalouser autrui ni convoiter ce qui lui appartient. Rien que cela, sans même passer à l’acte, est déjà suffisant pour lui causer une oppression…
En tous cas, une chose est sûre, il n’est pas possible de construire quelque chose de durable avec des gens qui ont des démons… Tôt ou tard, les démons nés des faux désirs personnels finissent par s’insinuer entre l’Objectif à atteindre et la personne qui se laisse ainsi influencer. Faisant alors inévitablement capoter le projet commun, au moins en tant que projet commun.
Concrètement, cela veut dire que si vous avez des démons nous ne pouvons rien faire ensemble, mais si c’est moi qui les ai c’est la même chose, surtout si nous en avons des deux côtés…
Alors, avant de vouloir réaliser de grands projets communs, d’abord liquidons nos démons!
Puissance du vouloir
Pour cela, nous avons une arme absolue: notre vouloir!
Toutefois, avec le seul désir de bien faire rien n'est encore accompli, cela n'aboutit encore à aucun réel changement. Il y faut un vouloir.
Différence entre désir et vouloir: «Un désir non transformé en vouloir est évanescent; un vouloir est vivant et fort».
L'éveil d'un sérieux vouloir s’appelle une décision! Quant à la décision, même si (par exemple, parce qu’elle est contrariée) elle ne débouche pas encore sur un acte, elle entraîne autoactivement la responsabilité afférente.
Le vouloir est extrêmement puissant. À l’arrivée, c’est lui qui détermine tout ce qui nous arrive. C’est vrai dans le Bien, et c’est pourquoi, à tout moment, par un fort vouloir pour le Bien nous pouvons prendre la décision de nous affranchir de nos démons.
Rien que cela, vouloir très fort le Bien suffit à faire disparaître les démons, donc, faute de leur transmettre de la Force, à les faire mourir d’inanition.
Et c’est vrai dans le Mal. Et c’est pourquoi il n’est guère prudent de sous-estimer le pouvoir de nuisance d’un vieux démon.
En effet, plus un faux vouloir, donc un démon est ancien, plus ce démon a eu le temps de grossir et, par conséquent, plus il est fort, et plus il est devenu difficile de le vaincre.
Il faut, toutefois, bien sûr, considérer que le démon ne peut attaquer que là où il trouve une faiblesse, c’est-à-dire un genre semblable à lui-même. Sans genre semblable il est impossible à un démon d’attaquer.
Il y a une grande protection. Celui qui ne donne pas prise ne peut jamais être attaqué par un démon.
En résumé
Si vous me dîtes: «Je n’ai pas de démons!» et que ce soit vrai, ce qui est dit ici ne vous concerne pas. Mais, à ce sujet, ne vous imaginez pas pouvoir me berner, car, depuis le temps que je les observe, c’est comme si j’avais «un détecteur de démons intégré»!
Par contrez, si, comme probable, vous en avez, alors vous avez tout intérêt à grandement vous en préoccuper. Cela peut même sauver votre vie terrestre, c’est-à-dire vous empêcher de mourir de maladie grave, style cancer, avant l’heure naturelle du départ…
Mais cela peut surtout sauver votre vie «tout court», c’est-à-dire la vie de votre Noyau intérieur, qui doit s’affranchir de toute impureté – et donc de tous démons - s’il veut survivre pour toujours!
Par conséquent, à tous points de vue, cela en vaut vraiment la peine. Songez-y; libérez-vous!
Ce qui est transmis là revêt une particulière importance. L'état de Santé Parfaite est un état "enviable" à tous égards... Qui ne souhaite, pour lui-même comme pour les siens, une rayonnante Santé de l'âme et du corps? ("Mens sana in corpore sano!")
Ce qui est là offert est, en effet, la réponse fondamentale à une ou des questions que se pose tout être humain pensant, dès lors où il commence à s'interroger sur la Vie et l'Univers et aussi à réfléchir par lui-même..., donc depuis l'époque de l'adolescence.
C'est la réponse que beaucoup auraient bien aimé connaître depuis l’époque où, ainsi que le jeune Siddharta Bouddha, ils ont eu la possibilité de voir le monde et les êtres humains comme ils sont: accablés par la souffrance, la maladie et la mort, et qu'ils se sont alors nterrogés: Pourquoi la maladie? Pourquoi la souffrance? Comment y remédier?
Beaucoup ressentent, en effet, plus ou moins clairement ou plus ou moins confusément, depuis «toujours», qu’il doit bien y avoir une relation précise entre le mal et la maladie…, mais les choses semblent quand même se présenter avec une certaine "complexité", puisque, pour autant que l'on puisse en juger, l’on voit souvent de bons êtres humains tomber malades, alors de mauvais êtres humains semblent constamment jouir d’une bonne santé…
Le mystère se devait donc d'être éclairci…
Avec la découverte des travaux du Docteur Ryke Geerd Hamer mentionnant le fameux "choc psychique vécu dans l'isolement" il y avait déjà là de solides éléments d’explication dignes d’être pris en considération. Merci à ce nouveau "Galilée de la Médecine"!
Mais cela ne donnait pas encore de réponse à la question: Pourquoi le même événement génère-t-il une maladie chez l'un et non chez l'autre? La question fondamentale subsistait: "Pourquoi cet être humain-ci "tombe"-t-il malade plutôt que celui-là?"...
C'est ainsi que la quête devait se poursuitvre jusqu'à enfin trouver "le fin mot de l'histoire"... Chaque personne sérieusement malade est-elle une simple victime d'un sort arbitraire ou sa responsabilité personnelle est-elle engagée dans le fait d'être malade? Est-on responsable de sa maladie?
Est-on responsable de tout ce qui nous arrive?
Dr. med. Mag. theol. Ryke Geerd HAMER
Apartado de Correos 209
E-29120 Alhaurin el Grande
24. März 2006
Herrn
Paul Spiegel
Zentralrat der Juden in Deutschland
Comité Central des Juifs en Allemagne
Leo-Baeck-Haus
Tucholskystr. 9
D-10117 Berlin
Sehr geehrter Paul Spiegel,
aus der Presse habe ich entnommen, dass sie an Leukämie erkrankt sind.
Dans la presse j'ai appris que vous êtes atteint de leucémie.
Ich erlaube mir, Ihnen auf diesem Weg gute Besserung zu wünschen, denn mit den Erkenntnissen der Germanischen Neuen Medizin werden Sie ja exakt therapiert: Heilschlaf – keine Chemo – keine Panik – so kann man damit rechnen (wie die Presse berichtet hat), dass Sie im Herbst wieder arbeiten können.
Je me permets de vous souhaiter, par cette voie, une bonne amélioration, car avec les acquis (Erkenntnisse – connaissances, acquis) de la Médecine Nouvelle Germanique vous êtes soigné exactement comme il faut: cure de sommeil – pas de chimiothérapie – pas de panique – de sorte que l'on puisse s'attendre (ainsi que la presse l’a rapporté) à ce que vous puissiez retravailler en Automne.
Auch die Patienten der GNM sind schlapp und müde und schlafen den ganzen Tag.
Les malades de la MNG (Médecine Nouvelle Germanique), eux aussi, sont flappy et fatigués et dorment toute la journée.
Vielleicht ist dies ja auch ein Zeichen, das ich verstehen könnte oder sollte, dass nicht (mehr) verschwiegen wird – wie 23 Jahre lang geschehen – dass Sie und Ihre Glaubensbrüder sich offen zu der Therapie mit der Germanischen Neuen Medizin bekennen, die eine 98%ige Überlebenschance bietet, gegenüber Chemo, die eine 98%ige „Therapie-Mortalität“ hat – laut Prof. Abel, Deutsches Krebsforschungszentrum Heidelberg.
Peut-être est-ce aussi un signe que je pourrais ou devrais comprendre, le fait que l'on ne taise pas (plus) – ainsi que cela s’est passé 23 années durant – le fait que vous et vos frères de foi confessent ouvertement la thérapie {qu’ils suivent} avec la thérapie de la Médecine Nouvelle Germanique, qui offre 98% de chances de survie, face à la chimiothérapie avec un taux de mortalité par thérapie de 98% selon le professeur Abel, Centre allemand de Cancérologie de Heidelberg.
An Zufall mag ich eigentlich nicht glauben, wenn man so freimütig veröffentlicht, dass Sie nach dem System der „Germanischen Neuen Medizin“ behandelt werden – ohne Chemo bei Leukämie!!
à un hasard je ne peux véritablement pas croire lorsque l’on rend aussi franchement public {le fait} que vous êtes traité selon la Médecine Nouvelle Germanique - sans chimiothérapie, pour {une} leucémie!
Auch wenn bei israelischen Patienten meist nicht mehr von Krebs sondern von einer Entzündung oder wie hier, von einer Vorstufe der Leukämie gesprochen wird.
Même si, dans la majorité des cas, pour les patients israéliens, l'on ne parle plus de cancer mais d'une inflammation, ou, comme ici, d'un stade préliminaire de la leucémie.
Herr Spiegel, ich weiß es ja nicht, wenn der Selbstwerteinbruch – der stets der Leukämie vorangeht – durch meine Person bzw. die Germanische Neue Medizin ausgelöst worden ist (die, wie Sie ja wissen, sich rasend weiterverbreitet), täte mir das persönlich leid. Jedenfalls müssen Sie eine Lösung Ihres Konfliktes erfahren haben, sonst hätten Sie jetzt keine Leukämie. Und vielleicht können Sie nun anhand Ihres eigenen Konfliktgeschehens nachvollziehen, wie exakt die Germanische Neue Medizin funktioniert und dazu beitragen, dass der Boykott gegen die GNM aufgehoben wird. Denn ich würde mir nichts so sehr wünschen, als dass jeder Patient mit der Germanischen Neuen Medizin wieder gesund werden dürfte. Ich erinnere noch mal daran, dass – allein in Deutschland – täglich ca. 1500 Patienten (nach amtlicher Statistik) durch Chemo und Morphium zu Tode kommen.
Monsieur Spiegel, je ne sais pas si l'effondrement de l'estime de soi-même (Selbstwerteinbruch), qui précède toujours {l'apparition de} la leucémie, a été déclenché par ma personne relativement à la Médecine Nouvelle Germanique (laquelle, comme vous le savez, se répand à très grande vitesse). Si c'était le cas, je le regretterais personnellement. En tout cas, vous avez dû expérimenter une solution de votre conflit, sinon vous n’auriez, présentement, pas de leucémie. Et peut-être pouvez maintenant, à l’aide de votre propre vécu de conflit, comprendre de façon combien exacte fonctionne la Médecine Nouvelle Germanique et ainsi contribuer à ce que le boycott contre la MNG soit levé. Car je souhaiterais de tout mon cœur que chacun patient puisse redevenir sain grâce à la Médecine Nouvelle Germanique. Je vous rappelle encore une fois que (selon les statistiques officielles) rien qu'en Allemagne, quotidiennement environ 1500 patients meurent du fait de la chimiothérapie et de la morphine.
Verbunden mit dieser Hoffnung, dass Sie unseren Patienten nunmehr bald helfen werden, verbleibe ich mit den besten Wünschen zu Ihrer Genesung – mit der Germanischen Neuen Medizin.
Ihr
Dr. Hamer
Dans l'espoir que vous aiderez maintenant bientôt nos patients, je demeure, avec mes meilleurs vœux pour votre rapide guérison grâce à la Médecine Nouvelle Germanique.
Votre
Dr. Hamer
CHOC PSYCHO-BIOLOGIQUE
Au
cours de sa propre expérience vécue le Docteur Ryke Geerd Hamer reconnaît l'existence d'un lien entre la perte brutale de son fils Dirk, dans les conditions précises dans lesquelles
cela s'est apssé, et l'apparition de sa maladie (cancer des testicules).
La Loi n°1 s'énonce ainsi:
«Tout cancer résulte d'un choc psychique,
conflictuel, dramatique,
vécu dans l'isolement».
qu'il nomme, en l'honneur de son fils disparu lui ayant inspiré sa découverte, DHS pour Dirk Hamer Syndrome.
Choc psychique, car il s’agit d’une réaction neuro-organique de survie. Sujet à des situations de dévalorisation, des frustrations, des intériorisations négativesnon entièrement solutionnables par l'intellect, l’être humain va développer une sorte de langage de survie, ici appelé une «maladie».
La conception de la genèse de la maladie s’en trouve toute renouvelée:
DE LA REVERSIBILITE DES MALADIES1) Il ne peut y avoir de cancer sans DHS, stress organique destiné à survivre au conflit biologique.
2) Il n'y a alors, de fait, de façon déterminante, ni déterminisme génétique du cancer, ni virus oncogène, ni facteur extérieur autre.
3) Loi du système ontognétique du cancer
POURQUOI UNE TUMEUR APPARAIT-ELLE DANS UN ORGANE PRECIS?
- Endoderme - Commandé par le tronc cérébralChacun aura donc une sensibilité et un comportement caractéristiques en fonction de la zone du cerveau atteinte par le conflit (foyer de Hamer).
- Mésoderme - Commandé par le cervelet.
- Ectoderme - Commandé par le cortex.
Dans {le mot} maladie il y a {le mot} mal. Remonter jusqu’à la maladie, écouter ce que le mal-a-dit, c’est donc remonter jusqu’au mal, lui-même, dont la maladie est l’inévitable et logique conséquence. Dans cette quête du sens et donc de la cause, il nous faut donc remonter jusqu’à la racine du mal, et, si possible, jusqu’à la plus profonde racine.
Lorsque l’on est malade et que l’on souffre et l’on dit: «J’ai mal». «J’ai mal» veut donc dire: «je souffre», et si je souffre c’est parce que j’ai le mal en moi. Mais comment ce mal est-il donc parvenu à pénétrer en moi? Qui, à part moi, aurait-il donc pu le faire pénétrer en moi? Ne serait-ce donc pas moi-même qui l’y aurais introduit?
En effet, quelqu’un peut-il entrer dans ma maison si je - à moins qu’il ne l’enfonce - ne lui en ouvre pas la porte?
En bref et en résumé: Si je suis mal-ade ne serait-ce pas parce que j’ai mal agi, parce qu’ayant fait le mal, j’ai donc ouvert la porte au mal, parce que je l’ai ainsi laissé entrer en moi, parce que je l’ai donc fait mien et parce que, par le fait même, je me suis aussi ainsi fait du mal.
Lorsque l’on a compris cette évidence (l'évidence n'est pourtant évidente que pour celui qui la voit!) que la maladie vient du mal commis, le plus grand pas vers la Guérison est ainsi déjà fait.
La diversité des maladies dont un corps physique terrestre peut être atteint est telle qu’elle pourrait faussement donner l’illusion que la maladie n’aurait rien à voir avec le fait de mal agir. Pourtant, de même qu’il y a de nombreuses manières de faussement agir se répercutant sur le corps animique, il y a aussi, de logique manière, autant et plus de nombreuses sortes de répercussions sur le corps physique.
Une seule manière d’agir juste, mais des milliers de mal agir. Une seule manière d’être en bonne santé et des milliers d’être malade!
Un lecteur de cet article sur deux sera touché par le cancer au cours de sa vie. C’est la triste réalité que l’Institut Curie a décidé de rappeler avec le lancement de sa nouvelle campagne sur le thème «Ensemble prenons les cancers de vitesse».
Ce message sera rappelé dans les bus, le métro, les cinémas, la télévision, Internet et la presse magazine sous la forme de slogan tels «un voyageur de ce bus sur deux sera touché par le cancer», «un téléspectateur sur deux…», etc.
«Ce chiffre, qui a de quoi effrayer, correspond à la réalité», explique Claude Huriet, le président de l’Institut Curie.» La bonne nouvelle, c’est que les traitements sont de plus en plus efficaces et que les progrès de la recherche sauvent de plus en plus de vies.»
Objectif de la campagne: «interpeller l’ensemble de la société». L’Institut Curie estime qu’en tant que premier centre français de recherche et d’innovation en cancérologie, il a le devoir d’informer le public et de rappeler l’urgence de la situation en appelant à la responsabilité de chacun.>>
Pourquoi? Comment?
Selon la «CIM» (Classification Internationale des Maladies) il y a à peu près 5200 manières différentes fondamentales (sans compter toutes les variantes!) de mourir de maladie...!!!
Il n'y en a, toutefois, qu'une seule de mourir en bonne santé !
À titre d'exemple, et pour rester simples, considérons seulement le cancer:
«En 2005, 7,6 des 58 millions de décès survenus dans le monde ont été dus au cancer. (Cela fait aussi 7,6 % de l'ensemble des décès.)
Le nombre annuel des décès par cancer devrait passer, dans le monde, à 9 millions en 2015 et à 11,4 millions en 2030.»
Concrètement, cela fait quoi, comme probabilités, dans la vie des gens?
Par exemple, sur le site http://www.cancer.ca/, à la page: http://www.cancer.ca/ccs/internet/standard/0,2939,3172_14423__langId-fr,00.html l'on peut voir que: «Au Canada, d'après les taux d'incidence actuels, 38 % des femmes risquent d'être touchées par le cancer au cours de leur vie; la proportion est de 44 % chez les hommes.»
Bien sûr, les proportions dans les autres pays sont, hélas, dans la plupart des cas, tout à fait comparables, voire pires...
38 %, c'est plus d'une femme sur 3; 44% c'est près d'un homme sur deux!
D'ailleurs, cela semble être le cas en France, En effet, sur le site http://ecoetsante2010.free.fr/, à la page http://ecoetsante2010.free.fr/article.php3?id_article=206 «Statistiques du cancer en France» l'on peut lire:
«La probabilité, d'avoir un cancer au cours de sa vie, est estimée à une sur 2 pour un homme et à une sur 3 pour une femme.»
N'est-ce pas terrible?
Une femme sur trois et un homme sur deux mourant prématurément de ce mal, sans parler des autres...
Que penser? Y aurait-il quelque chose à faire - ou pas?
Un sursaut de conscience peut-être?
Réfléchissons:
Les importants facteurs environnementaux extérieurs considérés à part,
il n'y a plus que deux possibilités:
1) Ou bien la maladie survient «par hasard»....
2) Ou bien la maladie survient avec un précis et rigoureux processus que les candidats à une bonne santé ont tout intérêt à bien connaître et bien comprendre...
Il va sans dire que la première hypothèse est largement la plus répandue. Et si c'est elle qui est juste, les bras vous en tombent; à part agir sur la nutrition, le mode de vie, l'environnement (et il faut déjà le faire!!!) il n'y a, après cela - en particulier en regard de la pollution généralisée, dépendant, pour une large part, pas de soi - plus rien d'autre à faire... C'est la «fatalité»...,
Mais si c'était la deuxième hypothèse qui était la bonne?
Si, tout simplement, l'être humain devenait mal-ade parce qu'il avait mal agi?
Certes, quelqu'un ne tombe pas immédiatement mal-ade parce qu'il a, par exemple, commis un meurtre, un vol, ou un mensonge.
Il y a donc un processus, conforme aux Lois de l’Univers, à reconnaître et à comprendre.
À vrai-dire, ce n'est, d'ailleurs, vraisemblablement pas le fait en lui-même qui rend mal-ade, ce serait plutôt la confrontation ultérieure du mal-faisant avec, vis-à-vis de cela, son propre ressenti de culpabilité ayant pris forme...
Ceci expliquerait, du reste, probablement pourquoi les plus grands mal-frats, sauf d'avoir largement abusé de l'alcool, de la drogue ou du reste, ne tombent pas forcément mal-ades ...
En ce cas, ce ne serait – et c'est loin d'être toujours le cas! - que si la conscience arrive à suffisamment «travailler» que la répercussion peut alors aussi atteindre le corps...
Dans le cadre de cet article introductif, il n'en sera pas dit davantage ici...
Pour aller plus loin, il est, par contre, possible de découvrir l'e.book:
Désir et vouloir
Il est aujourd’hui possible d’affirmer avec une grande force de conviction que celui qui, malade, veut guérir peut guérir. Mais voilà, le veut-il vraiment? «Qui veut peut!» dit le proverbe et c’est tout à fait juste mais il est tout aussi exact de dire que celui qui veut peu obtient peu. C’est que rien n’est encore obtenu par le seul désir de guérir, c’est uniquement dans le vouloir-guérir que se trouve le levier pouvant déclencher la transformation le conduisant à la guérison. Car ce vouloir doit déjà porter en lui l’action pour cela; sinon ce n’est pas un vouloir mais seulement un désir. . .
Si fort le désir puisse-t-il être, s’il n’est qu’un désir de l’intellect et non un désir de l’esprit devenu vouloir, il n’est pas suffisant pour trouver un contact avec là où se trouve la solution du problème. Comme Albert Einstein l’a déjà pertinemment fait remarquer: «La {fausse} manière de penser qui a engendré le problème ne peut pas être celle qui va résoudre le problème»; il y faut autre chose.
Le Chemin de la Guérison Parfaite est le Chemin inverse de celui qui a conduit à la maladie. Il suffit donc de parcourir ce chemin dans l’autre sens pour retrouver l’état initial normal qui est celui de la Santé Parfaite.
Seul celui qui s’approche avec conviction doit être aidé. La conviction doit ici déjà être la conviction dans le fait qu’il est tout aussi possible de guérir que de tomber malade, à partir du moment où l’on oriente son vouloir dans la direction de la guérison.
Ainsi ce n’est pas la vertu ou la volonté du thérapeute qui joue le premier rôle mais bien la volonté du malade. Le thérapeute ne peut ici qu’aider et accompagner et seul celui qui, avec la volonté de se remettre en cause, s'approche de lui l’âme ouverte pour recevoir l’aide doit, par lui, être aidé. Sinon, toute action est vaine.
Le Christ disait à ceux qui s’approchaient de Lui pour guérir: «Qu’il te soit fait selon ta foi!» et, lorsqu’Il les avait guéris, Il leur disait: «Va, ta foi t’a sauvé». En ce cas tout à fait exceptionnel, il s’agissait, bien sûr, de la capacité du Christ à transmettre la Force Divine pour la Guérison, ce qu’un simple thérapeute ne peut, tout naturellement, pas faire. Aujourd’hui, il s’agit, pour le malade, d’avoir foi dans le fait qu’il peut guérir s’il remet en cause le faux comportement qui l’a conduit à la maladie.
Il lui faut donc changer le mal-vouloir qui l’a rendu mal-ade par un bon vouloir.
Mais qui est réellement prêt à cela? La plupart des êtres humains, y compris les malades, prennent beaucoup trop d’égards pour eux-mêmes. Cela veut dire que, même souffrants dans la maladie, ils évitent soigneusement de se remettre en cause, de remettre en cause leur faux comportement, leur fausse pensée, leur faux vouloir. Déjà ils sont malades, sur leur lit de douleur – ce qui, forcément, à leurs yeux, constitue la plus grande «injustice» qui soit! – et il faudrait, encore en plus, que ce soit de leur faute! Ils se révoltent rien qu’à cette seule pensée! Ils préfèrent rechercher les causes à l’extérieur, invoquer la fatalité, le destin, ou même parfois s’imaginer qu’avec leur souffrance «humblement acceptée» comme étant une grâce divine, ils participent à la co-rédemption de l’humanité!
Sortir de l’irresponsabilité
Car la société fait tout, en effet, pour que la pensée de se remettre en cause ne leur vienne jamais. Et, alors que l’être humain n’a pas de plus grand ennemi que lui-même, la maladie est forcément un ennemi extérieur à vaincre! Et on va le vaincre avec de l’argent, des téléthons, de la recherche «scientifique»! L’on va trouver à quel endroit la Nature s’est montrée déficiente afin de réparer, grâce au savoir et au pouvoir humains, ce qu’elle a si mal fait. Considérons le symbole de l’«ARC» («Association pour la Recherche contre le Cancer») L’ennemi – le cancer - est présenté comme se tenant à l’extérieur, en face de la victime, et alors, avec ce bel arc, on lui décoche une flèche en plein cœur, afin de le tuer. Youpeee!: L’ennemi est mort, le cancer est vaincu! Je suis guéri! (Ce qui reste à vérifier...)
C’est, d’ailleurs, ce que l’on fait avec ces traitements lourds que sont la radiothérapie et la chimiothérapie; l’on déclenche la grosse artillerie contre l’«ennemi», mais comme l’ennemi est à l’intérieur de soi-même c’est soi-même que l’on détruit! CQFD.
À sujet, fort pertinemment, Michel Dogna, thérapeute, lors de ses stages, déclare:
«Il faut arrêter avec l’assistanat.»
Et, en particulier, «un assistanat qu’il faut tout de suite arrêter: la médecine!»
Et il ajoute:
«On fait tout pour que vous ayez un cancer».
«Chaque cancéreux accomplit son devoir civique en rapportant 1 milliard de nouveaux francs aux labos. Après seulement, il a le droit de mourir.»
«Le taux - indiqué par l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) - de survie après une chimiothérapie est de seulement 2% de survie après 5 ans.»
«C’est juste une rémission sur le coup, pour «mieux sauter» après. C’est terrible.»
«La chimio est notamment faite à partir de gaz moutarde utilisé pendant la guerre 14-18.»
«Il faut savoir dire NON à cela.»
«Malheur à celui qui ne sait pas dire NON!»
Un patient ayant subi une radiothérapie déclare: «Avec cela l’on met le feu dans le corps!». Certes l’on bombarde les «cellules malades», mais les saines, par la même circonstance, se trouvent aussi atteintes.
Alors, si le malade, plutôt que de se remettre en cause, veut continuer à croire, avec l’idéologie dominante, qu’il n’y est pour rien dans sa maladie et persister à se soumettre à de telles destructrices «thérapies», c’est son choix, un choix qui peut lui coûter sa vie.
Certes, en d’assez vastes cercles, l’on veut bien admettre, maintenant, que l’alimentation et le mode de vie influent sur la santé et que dans le fait de bien se nourrir ou pas, de se bouger suffisamment ou pas, de fumer ou non, de boire de l’alcool ou non, etc., réside une certaine responsabilité de l’être humain vis-à-vis de sa santé. Mais il ne s’agit toujours ici que de responsabilité à l’égard de facteurs extérieurs: De ce que l’on fait pénétrer dans son corps et comment on le traite.
Mais qui parle de la responsabilité totale de l’être humain en regard de sa propre intériorité? De ses choix en matière de vouloir et de penser, de parole et d’action? Des choix qui, à l’arrivée, s’ils sont faux ou mauvais, se répercutent en maladie! Bien peu en parlent…
Et, parmi ceux qui en parlent et qui essayent d’aider dans ce sens, qui connaît le processus réel et complet ici à l’œuvre? Ce processus qui est d’une totale simplicité!
Le Processus de la maladie et de la Santé
Redonnons-le ici en quelques mots: Ainsi que l’être humain le veut ainsi cela lui arrive! C’est son vouloir qui détermine son sort. Mais la plupart ne savent pas ce qu’ils veulent! Les maladies, en tant que conséquences du vouloir sont là pour aider chacun à prendre conscience de ses vouloirs.
Beaucoup rétorqueront: Mais cela est faux, car moi je n’ai jamais voulu être malade! Sans doute, mais c’est pourtant bien ce que vous avez voulu {de faux} qui vous a rendu malade!
Naturellement, dans le processus, entre le vouloir et la répercussion dans le corps terrestre il n’y a pas rien mais ils y a des formes, car le vouloir humain, à chaque fois, prend forme, et même si ces formes demeurent invisibles aux yeux terrestres, elles n’en sont pas moins très réellement existantes! C’est pareil, par exemple, pourle vent, personne ne le voit mais tous en perçoivent les effets!
Ce sont ces formes, qui, bien que connues depuis des millénaires, demeurent aujourd’hui méconnues de beaucoup quant à leur rôle pourtant déterminant dans le déclenchement des maladies. En attendant de pouvoir leur donner leur nom définitif, nommons-les provisoirement «entraves intérieures» une expression ayant l’avantage d’être assez neutre mais l’inconvénient de ne pas donner d’image claire de ce dont il s’agit.
Reconnaître pour Guérir
Le Travail à accomplir vers la Guérison va, tout d’abord, consister à reconnaître ces formes auquel l’être humain malade demeure lié et ce sera une étape importante vers la Guérison totale, d’abord celle de l’âme, puis, par répercussion, si le point de non-retour n’est pas encore atteint, aussi le corps terrestre. C’est la Guérison par la Reconnaissance.
Peu d’êtres humains sont, en effet, d’emblée, capables de reconnaître, sans autre démarche, le faux vouloir qui est à l’origine de leur maladie. C’est pourquoi la reconnaissance par eux-mêmes de leurs entraves intérieures s’avère, la plupart du temps, être une étape indispensable. Bien que cela soit en soi d’une extrême simplicité - ou peut-être même à cause de cela -, remonter jusqu’au faux vouloir initial, en tant que la plus profonde racine de la maladie, s’avère, pour la plupart des êtres humains, amèrement difficile.
Certains pourront peut-être y arriver seuls mais cela sera l’exception et non la règle. Dans la plupart des cas, la personne malade aura besoin d’un accompagnement lui offrant un «effet miroir» - un «miroir» tendu par l’accompagnant - pour parvenir à l’indispensable reconnaissance ou prise de conscience d’abord des entraves intérieures auxquelles le patient est lié, entraves qui le rendent malade d’abord animiquement ou psychiquement (c’est la même chose) puis se répercutent aussi physiquement dans son corps terrestre, puis du faux vouloir ayant donné naissance à ces formes.
Lorsque la reconnaissance s’est produite, le malade peut alors changer le vouloir qui l’avait rend malade et ainsi entamer son processus de guérison. Dès que le mauvais ou faux vouloir se transforme en bon ou juste vouloir, de manière complètement autoactive le processus de Guérison se met alors en branle. Il peut, bien sûr, être terrestrement aidé par divers adjuvants terrestres (tels que remèdes naturels, compléments alimentaires, jeûne, magnétisme, etc.), mais le processus intérieur de guérison, de toutes façons, est en route… et, si un nouveau faux vouloir n’intervient pas dans l’intervalle, ne s’arrêtera que par le retour à une Santé Parfaite de l’âme et du corps.
Ceux qui, malades, ayant reconnu comme juste le processus ici décrit et sont en quête d’un accompagnement sous forme d’aide à la reconnaissance pour parcourir ce Chemin de la Guérison ou du retour à la Santé parfaite d’abord de leur âme puis de leur corps peuvent, à cette fin, demander à être mis en relation avec quelqu'un pouvant apporter une aide.
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Dans {le mot} maladie il y a {le mot} mal. Remonter jusqu’à la maladie, écouter ce que le mal-a-dit, c’est donc remonter jusqu’au mal, lui-même, dont la maladie est l’inévitable et logique conséquence. Dans cette quête du sens et donc de la cause, il nous faut donc remonter jusqu’à la racine du mal, et, si possible, jusqu’à la plus profonde racine.
Lorsque l’on est malade et que l’on souffre et l’on dit : «J’ai mal». «J’ai mal» veut donc dire: «je souffre», et si je souffre c’est parce que j’ai le mal en moi. Mais comment ce mal est-il donc parvenu à pénêtrer en moi? Qui, à part moi, aurait pu le faire pénêtrer en moi? Ne serait-ce donc pas moi-même qui l’y aurais introduit?
En effet, quelqu’un peut-il entrer dans ma maison si je – à moins qu’il ne l’enfonce - ne lui en ouvre pas la porte?
En bref et en résumé : Si je suis mal-ade ne serait-ce pas parce que j’ai mal agi, parce qu’ayant fait le mal, j’ai donc ouvert la porte au mal, parce que je l’ai ainsi laissé entrer en moi, parce que je l’ai donc fait mien et parce que, par le fait même, je me suis aussi ainsi fait du mal.
Lorsque l’on a compris cette évidence que la maladie vient du mal commis, le plus grand pas vers la Guérison est ainsi déjà fait.
La diversité des maladies dont un corps physique terrestre peut être atteint est telle qu’elle pourrait faussement donner l’illusion que la maladie n’aurait rien à voir avec le fait de mal agir. Pourtant, de même qu’il y a de nombreuses manières de faussement agir se répercutant sur le corps animique, il y a aussi, de logique manière, autant et plus de nombreuses sortes de répercussions sur le corps physique.
Une seule manière d’agir juste, mais des milliers de mal agir. Une seule manière d’être en bonne santé et des milliers d’être malade!
La Conscience:
- Le «monstre» - comme Tu dis – guette Tes failles, et dès que Tu en fais une il s’engouffre…
Le malade:
- Comment fait-il?
La Conscience:
- Ceci n’est pas la bonne question…
Le malade:
- Et c’est quoi la bonne question?
La Conscience:
- C’est, plutôt: «comment fais-Tu, Toi, pour lui ouvrir des brèches?»
Le malade (méditatif):
- Je vois…
Puis, après un silence d’intériorisation, questionnant de nouveau:
- Peut-être est-ce, par exemple, quand je m’impatiente, que je m'irrite, que je me mets en colère et que je perds le contrôle de moi-même?
La Conscience (avec un sourire):
- Je crois que Tu as bien répondu…
Le malade (réjoui, puis, en y pensant, de nouveau exaspéré):
- Cela arrive quand les autres m’agacent!
La Conscience (doucement):
- Facile d'accuser les autres, mais cela ne Te fait aucunement progresser! La bonne attitude c'est plutôt de Te demander: "Mais que trouvent-ils donc à agacer en moi?".
Le malade (il réfléchit):
- Mes défauts? Mes insuffisances? Mes faiblesses?
La Conscience (enseignant) :
- Oui, les autres trouvent et ouvrent, même sans le vouloir, les failles par où Tes démons peuvent ensuite entrer! Eux, souvent, ceux qui ont – la plupart du temps involontairement – provoqué ces failles ne s’en soucient pas, du moins pas forcément, sauf de les provoquer exprès – ce qui serait du vice -, mais ils Te laissent juste ensuite Te débattre avec eux… Et c’est là que Tes "enfants" Te font du mal…
Le malade (ayant subitement compris):
- Et c’est là qu’ils me rendent malade!
La Conscience (plus précise):
- éh oui! Les formes négatives attendent tranquillement que les circonstances leur procurent des failles pour s’engouffrer… Une fois que Tu es connecté avec elles, elles peuvent rétro-agir sur Toi qui les as si longtemps nourries… Cette fois, c’est elles qui peuvent déverser en Toi ce qu’elles portent – et cela n’est toujours que du mauvais - en elles… D’abord, dans Ton âme, puis, si cela ne suffit pas à Te réveiller, dans Ton corps… Et, mon pauvre Ami, c’est précisément ce qui T’est arrivé!
Le malade (soudainement convaincu et se prenant la tête):
- Oh! la la, la la…
La Conscience (doucement réprobatrice):
- Il ne sert à rien de se lamenter, maintenant…
Le malade (avec un sursaut, brusquement résolu):
- D’accord! Alors, comment puis-je faire pour guérir?
La Conscience (apaisante):
Cela, je Te le dirai une autre fois… Cela sera l’objet de notre prochain entretien [1]. Pour le moment, médite tranquillement sur ce que Tu as appris aujourd’hui…>>
[1] La clef fondamentale pour une parfaite compréhension de l’Entretien du malade avec sa Conscience ayant pour objet: «Comment puis-je guérir?» se trouve clairement et complètement exposée dans l’ouvrage «Le Chemin de la Santé Parfaite».
La Question
<<Le malade (tourmenté et implorant, s’exclamant vers le Ciel):
- Ah! Je souffre! Je n’aime pas être ainsi. Pourquoi suis-je alité? Pourquoi n’ai-je plus de forces? Pourquoi suis-je tout pâle? Dîtes, pourquoi suis-je malade?, je vous le demande. Quelqu’un peut-il me répondre?
La Réponse
La Voix de la Conscience:
- Oui, moi je peux Te répondre!
Le malade (étonné et reprenant espoir):
- Quelqu’un m’a entendu? Alors, qui que vous soyez, parlez, je vous écoute! Où êtes-vous?
Voici la Réponse à Ta question:
Je suis en Toi.
Tu es malade pour que Tu puisses
reconnaître Ton faux vouloir!
La suite du dialogue
Le malade (indigné):
- Mon faux vouloir! Quel faux vouloir? Vous ne croyez pas que vous exagérez un peu beaucoup? Non seulement j’ai la malchance d’être malade (je voudrais bien vous voir à ma place!) mais, en plus, vous avez l’impudence de me dire que ce serait de ma faute!
La Voix de la Conscience:
- Je suis déjà à Ta place! Et, en plus si je suis ici pour T’aider c’est parce que Tu m’as appelée! Mais si Tu refuses mon Aide, il n’y a pas de problème, je peux repartir!
Le malade (affolé):
- Non, reste là! Qui va me secourir si Tu T’en vas?
La Conscience:
- Personne! Car c’est moi Ta meilleure Amie! Alors, si Tu veux comprendre et surtout guérir, Tu dois d’abord bien m’écouter, me comprendre et accepter ce que je Te dis.
Le malade (résigné, avec un soupir):
- Oui, d'accors; alors, parle, je T’écoute!
La Conscience:
- Alors, voilà. Il y a deux Processus à bien comprendre. Le premier, c’est comment l’on devient malade (c’est mieux que de dire «devenir malade» que «tomber malade», car «tomber malade» peut, en donnant l’idée de quelque chose de fortuit et d'arbitraire, facilement introduire un faux concept). Le deuxième, c’est comment l’on peut guérir.
Le malade:
- Oui. Jusque là, je Te suis. Dis-moi vite comment je peux guérir!
La Conscience:
- Non, pas trop vite, justement! D’abord, Tu dois d’abord comprendre comment Tu es devenu malade. Alors, continuons. Le deuxième processus, celui de la Guérison, c’est l’inverse du premier. C’est pourquoi en comprenant comment l’on est devenu malade l’on peut aussi comprendre comment revenir à l’état initial, c'est-à-dire guérir!
Le malade:
- Bon, alors comment suis-je tombé – euh…, je veux dire «devenu» - malade?
La Conscience:
- éh bien voilà: à un moment donné Tu as commencé à vouloir quelque chose de faux et c’est ainsi que Tu es devenu malade.
Le malade (tout d’abord, s’exclamant):
- Moi, j’ai voulu quelque chose de faux!?!
(puis soupirant:)
- Qu’est-ce que cela veut dire «faux»?
La Conscience:
- C’est un vouloir qui est non conforme aux Lois.
Le malade:
- Aux Lois? Quelles Lois?
La Conscience:
- Les Lois. C’est-à-dire les Lois de Dieu ou Lois de la Vie ou Lois de la Création ou Lois de la Nature, tout cela c’est pareil!
Le malade:
- Les Lois de Dieu!?! Suis-je obligé de reconnaître qu’il y a un Dieu?
La Conscience:
- Cela vaudrait mieux pour Toi, surtout si Tu veux guérir, parce que c’est ainsi.
Le malade:
- Mais pourquoi le saurais-Tu mieux que moi?
La Conscience:
- Précisément parce que je suis Ta conscience, c’est-à-dire la meilleure partie de Toi-même. Cette partie-là, à cause de son genre spirituel, sait que Dieu existe, même si une autre partie de Toi le nie.
Le malade:
- Tu voudrais me dire qu’au fond de moi je sais déjà que Dieu existe?
La Conscience:
- Bien sûr que Tu le sais! Tout esprit humain est bien obligé de le savoir puisque c’est à Lui qu’il doit sa vie!
Le malade (avec une moue):
- J’aurais préféré qu’il n’y en eût pas…
La Conscience (mi-ironique, mi-indignée):
- Tu «m’étonnes»! Il n’y en a que trop des comme Toi! La fuite devant ses responsabilités, c’est du «joli»!, le fallacieux «espoir» qu’il n’y aurait de comptes à rendre à personne, c’est du «propre»!
Le malade (capitulant):
- Bon! D’accord! Admettons que Dieu existe. De toutes façons, Tu as toujours raison! Alors pourquoi m’a-t-Il rendu malade?
La Conscience:
- Mais ce n’est pas Lui qui T’a rendu malade!
Le malade :
- Et c’est qui alors?
La Conscience (le regardant fixement droit dans les yeux):
- à Ton avis?
Le malade (penaud, baissant la tête):
- Est-ce que Tu voudrais dire… (un silence…)
La Conscience (poursuivant, indignée):
- Oui, Tu as bien raison de baisser la tête! Toi-même! Uniquement Toi-même! Dieu n’y est absolument pour rien!
Le malade:
- Mais n’est-Il pas Tout-Puissant?
La Conscience:
- Si, Il l’est!
Le malade (triomphant):
- éh bien alors!
La Conscience (implacable):
- Ce n’est pas parce qu’Il est Tout-Puissant qu’Il est capable d’arbitraire! Dieu, pour punir le mal n’a qu’à le laisser faire!, dit le proverbe avec justesse.
Le malade (après un silence):
- Donc ce que Tu veux me faire dire c’est que c’est moi qui suis responsable de mon état maladif!
La Conscience:
- Je ne veux pas Te le faire dire; je veux que Tu le reconnaisses!
Le malade (après un long silence):
- J’ai retourné toutes les possibilités; je vois que je n’ai pas d’autre choix; si je refuse de reconnaître cela Tu T’en vas et me laisse seul, n’est-ce pas?
La Conscience (impérieuse):
- éh Oui. C’est moi qui commande!
Le malade (révolté):
- Et pourquoi?
La Conscience (patiente):
- Je Te l’ai déjà dit: Je suis – et de loin! - la meilleure part de Toi-même, la seule qui puisse encore Te sauver, corps et âme! Mais Tu as préféré T’identifier à la plus mauvaise! L’être humain n’a pas de pire ennemi que lui-même!
Le malade (après un très long silence):
- Bon, d’accord!, je veux bien admettre l’idée que Dieu existe, qu’Il n’est pas la cause de ma maladie et que j’en serais le seul responsable.
La Conscience (explicative):
- Le Créateur a juste fait des Lois qui fonctionnent autoactivement. Ses Lois sont parfaites et déclenchent les répercussions en fonctions des pensées paroles et actes des êtres humains.
Le malade (plaidant l’innocence):
- Alors, qu’ai-je fait de mal pour mériter ce qui m’arrive maintenant? Je ne vois pas.
La Conscience (pareille au Sphinx):
- Te souviens-Tu de tout ce que Tu as fait au cours de Tes vies antérieures?
Le malade (saisi):
- Au cours de quoi? Des vies antérieures!?! Quelles vies antérieures?
La Conscience:
- Les Tiennes, bien sûr! Sans doute, T’imagines-Tu que Ta vie a commencé il y a seulement quarante ans?
Le malade:
- Vu mon âge, c’est à peu près cela, en effet. Devrais-je croire autre chose?
La Conscience:
- La vie du corps n’est pas celle de l’esprit ni même celle de l’âme… Voilà bien longtemps que Ton germe d’esprit a, pour la première fois, plongé dans la matière …
Le malade (interloqué):
- Es-Tu sérieuse?
La Conscience (on ne peut plus sérieuse):
- J’ai l’air de plaisanter?
Le malade (sceptique):
- Voudrais-Tu me faire croire que je serais aujourd’hui coupable de quelque chose dont je ne me souvien{drai}s pas?
La Conscience (imperturbable):
- Ton intellect ne s’en souvient pas, mais Ton esprit si!
Le malade (indigné):
- Ce n’est pas un peu commode, ça? Tu n’essayerais pas de me faire gober n’importe quoi? Pourquoi serais-je coupable de ce dont je n’ai aucun souvenir?
La Conscience (grave):
- Parce que l’amnésie n’efface pas les fautes et n’excuse rien!
Le malade (inquisiteur):
- Et qu’est-ce qui les efface?
La Conscience:
- La reconnaissance consciente, l’expiation ou le rachat, et, liée à cela, la réparation!
Tu es précisément malade pour pouvoir reconnaître. Autrement cela n’arriverait plus pour Toi. Ta conscience de jour doit arriver à savoir ce que Ton esprit, lui, sait déjà.
Le malade (se grattant la tête):
- Et c’est qui, mon esprit?
La Conscience (avec un large sourire):
- C’est moi!
Le malade (interloqué):
- Veux-Tu dire que Tu es moi?
La Conscience (grave):
- Oui. Ou - si Tu préfères - que Je suis Toi. En fait, comme déjà dit, je suis Ton meilleur moi, c’est-à-dire Ton «Je».
Et maintenant, j’ai une question pour Toi.
Le malade (interrogatif):
- Oui?
La Conscience (attentive):
- M’aimes-Tu?
Le malade (ébahi):
- Moi, il faudrait que je T’aime!?! Alors que Tu n’arrêtes pas de me tourmenter!?!
La Conscience (compatissante):
- Cela vaudrait mieux pour Toi, car si Tu ne m’aimes pas, c’est Toi que Tu n’aimes pas! Et si quelqu'un ne s’aime pas lui-même il ne peut pas guérir!
Le malade (la considérant avec gravité):
- Il faudrait donc que je T’aime…
La Conscience (joviale):
- Et pourquoi pas? Je T’aime bien, moi! Et, bien que Tu sois dans un triste état, je T’aime même comme Tu es! Et, pourtant, je mérite plus d’être aimée que Toi!
Le malade:
- Tu veux donc dire que j’ai fait le mal?!?
La Conscience:
- Cela est fort possible, mais il n’est pas nécessaire d’avoir fait le mal pour être malade.
Le malade (implorant):
- S’il Te plaît, ne joue pas aux devinettes avec moi. Alors, l’ai-je fait ou pas?
La Conscience:
- Dès le début – si Tu voulais bien m’écouter! - je T’ai dit que c’est le faux vouloir qui rend malade. Le faux vouloir et non forcément la faute elle-même suffit à rendre malade. C’est-à-dire le faux vouloir, qu’il soit ou non suivi d’un acte. Car, ainsi que le dit justement le proverbe, d’un point de vue spirituel, «L’intention vaut l’acte».
Le malade (impressionné et songeur):
- Ah! Les Lois sont bien rigoureuses….
La Conscience (enseignant):
- Elles le sont, en effet. C’est que, lorsque Tu veux quelque chose avec {le vouloir de} Ton esprit, alors Tu actives la Force Divine…
Le malade (interpellé):
- La Force Divine!?!
La Conscience (poursuivant ses explications):
- Oui. Le vouloir de l’esprit humain (pas celui de son intellect!) a le pouvoir de se connecter à la Force Divine traversant la Création. Dès lors où il s’active, automatiquement il se connecte à la Force et avec Elle il «crée» une forme.
Le malade (dubitatif):
- Moi, je peux faire cela?
La Conscience:
- Oui, Toi comme tous les autres êtres humains. Non seulement Tu le peux mais Tu l’as fait. Souvent. Tous les êtres humains, qu’ils en soient ou non conscients, le font tout le temps.
Le malade:
- Alors, c’est normal?
La Conscience:
- Oui, lorsque c’est un bon vouloir.
Le malade:
- Donc selon Toi, si j’ai bien compris, si quelqu’un est malade, c’est qu’il a utilisé la Force Divine pour mettre en œuvre un mauvais vouloir…
La Conscience (se réjouissant):
- Exactement! Ah! Tu commences à comprendre…
Le malade (inexorablement logique):
- Donc, si je suis malade, c’est à cause d’un mauvais vouloir antérieur…
La Conscience (joyeusement):
- Voilà!
Le malade:
- C’est donc un châtiment!
La Conscience:
- Pas exactement. C’est juste l’effet auto-actif des Lois. Par Ton mauvais vouloir Tu as créé une forme de même genre, donc mauvaise elle aussi, et cette forme ainsi mise au monde par Toi est restée reliée à Toi et continue à agir…
Le malade (intéressé):
- Et que fait-elle?
La Conscience:
- Elle tourmente tous ceux qu’elle peut tourmenter et, en particulier celui qui est son «père» et à qui elle demeure reliée … Toi-même!
Le malade (surpris):
- C’est donc une mauvaise fille!
La Conscience (instruisant):
- C’est l’enfant de Ton vouloir et elle est l’image refoulée de Ta culpabilité…
Le malade:
- Pourquoi «refoulée»?
La Conscience:
- Parce qu’aucun être n’aime avoir un enfant lui rappelant constamment sa faute. Alors il s’efforce de l’oublier. Mais un tel enfant, comme les autres, ne se laisse jamais oublier. Il revient régulièrement rappeler son existence…
Le malade (exclamatif):
- Mais alors il est aussi tourmentant qu’un démon!
La Conscience:
- Tu l’as dit! Même si c’est - comme la plupart des êtres humains - sans le faire exprès. Et Tu ne crois pas si bien dire... Ce sont des formes de mauvais vouloir.
Le malade (à qui s’ouvre un Monde nouveau):
- Ce serait donc possible de mettre au monde une «créature» qui viendrait ensuite vous nuire, comme quelqu’un qui, à son insu, aurait nourri un serpent dans son sein?
La Conscience:
- C’est tellement possible que c’est bien ce que font, tous les jours, sur cette planète, des centaines de millions d’êtres humains! Et, après cela, ils s’étonnent de «tomber malades»!
Le malade (de plus en plus songeur…):
- Et des «enfants» comme cela, dis, est-ce que j’en ai beaucoup?
La Conscience:
- Oh! Tu devras tous les reconnaître, un par un. Pour l’instant, Tu en as surtout un gros qui T’étouffe, et c’est lui qui Te rend présentement si malade.
Le malade (intrigué):
- Et comment cela se passe-t-il?
La Conscience:
- Oh! c’est bien simple! L’on peut dire, en quelque sorte, qu’il Te rend régulièrement visite et Toi Tu lui ouvres "bien gentiment" la porte…
Le malade (abasourdi):
- Moi, j’ouvre la porte à ce monstre qui me rend malade?
La Conscience (convaincante):
- Oui, Tu la lui ouvres, à chaque fois qu’il trouve une brèche en Toi…
Le malade:
- Une brèche? Comment est-ce possible?
«Le médecin soigne, la Nature guérit.»
Proverbe chinois
"Il faut savoir écouter
ce que le mal-a-dit."
«Parfaite Santé et plein éveil sont, en réalité, la même chose.»
Tarthang Tulku
«Lorsque tous les nœuds
du corps sont dénoués, alors, même ici,
dans cette vie humaine,
le mortel devient immortel.
C’est l’Enseignement suprême.»
Kathupanishad
«La crise de guérison,
c’est une période
de régression,
ce qui veut dire, en réalité,
un processus
de retour à la santé,
vers la condition originelle
de l’être.»
Hippocrate
« La maladie est l'effort
que fait la Nature
pour guérir. »
Carl Gustav Jung