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Le prelevement d'organes empeche de mourir paisiblement

Le prélèvement d'organes empêche
de mourir paisiblement

Les authentiques Initiés savent que lorsqu'une personne est en train de décéder, si l'on ne veut pas cruellement lui causer de préjudices, il ne faut, quel qu'en puisse être le prétexte, jamais ne serait-ce que toucher à son corps, pour en faire quoi que ce soit, avant, pendant ou après le processus de la mort.

L’association «Elucidation critique sur le prélèvement d’organes» décrit ce qui suit en ce qui concerne le déroulement d’un don d’organes:

«On attache les bras et les jambes du "donneur" pour empêcher les mouvements (NDLR: Depuis quand un "mort" bouge-t-il?). Quand on ouvre le corps du cou jusqu’au pubis une augmentation de la tension artérielle et des pulsations du cœur apparaît (NDLR: Depuis quand les battements du cœur d'un "mort" s'accélèrent-ils?). Lors d’une opération, ces signes sont considérés d’habitude comme des réactions de douleur."

Si vous aimez vraiment votre défunt, ne le laissez pas entre les mains des transplanteurs! Et, puisque, maintenant, "tout le monde" est "donneur" (quelle hypocrisie!) par défaut (un véritable scandale, qui n'a pourtant suscité aucune réaction!), pensez à vous inscrire et à faire inscrire vos proches aimés dans le "registre des refus"!

S'inscrire en ligne au registre national des refus

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A
j'aime me promener ici. un bel univers.
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M
Je suis choquée par cet article.. Reprenez la définition de la mort cérébrale ... Et puis pensez à tous ces gens malades qui recommencent une vie nouvelle grâce au don d'organes.. Chacun a le droit de refuser mais il fait savoir que le corps de la personne prélevée est respecté et rendu à la famille qui est très entourée au cours de cette épreuve ... Ne vous laissez pas impressionner par ces discours négatifs et pensez plutôt aux côtés positifs...
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F
Je suis heureuse que l'on parle enfin de ce sujet qui est extrêmement grave. Les connaissances relayées par les civilisations anciennes nous enseignent toutes le danger du don d'organe pour l'âme et les conséquences réelles pour sa future ré-incarnation. Bien sûr, l'on peut très bien nier l'existence de l'âme ainsi que réfuter le principe de la réincarnation, mais il faut tout de même prêter une grande attention à ces enseignements. La médecine est devenue un business et la perte des valeurs a permis leur "inversion" l pour justifier ce tournant mercantil. Non, faire un don, n'est PAS un signe d'altruisme, c'est du grand n'importe quoi ! Il y a entre autre des informations que la médecine vous cache bien et qui va dans le sens de la connaissance spirituelle du vivant, c'est le fait que les transplantés se mettent à avoir des phénomènes de concordances avec leurs donneurs (traits de caractère, phobies, problèmes de santé etc ....). Voilà qui est dit et pour agir correctement il faudrait choisir pour soi mais ne surtout pas décider pour l'autre car dans le doute on s'abstient ....
F
Je suis heureuse que l'on parle enfin de ce sujet qui est extrêmement grave. Les connaissances relayées par les civilisations anciennes nous enseignent toutes le danger du don d'organe pour l'âme et les conséquences réelles pour sa future ré-incarnation. Bien sûr, l'on peut très bien nier l'existence de l'âme ainsi que réfuter le principe de la réincarnation, mais il faut tout de même prêter une grande attention à ces enseignements. La médecine est devenue un business et la perte des valeurs a permis leur "inversion" l pour justifier ce tournant mercantil. Non, faire un don, n'est PAS un signe d'altruisme, c'est du grand n'importe quoi ! Il y a entre autre des informations que la médecine vous cache bien et qui va dans le sens de la connaissance spirituelle du vivant, c'est le fait que les transplantés se mettent à avoir des phénomènes de concordances avec leurs donneurs (traits de caractère, phobies, problèmes de santé etc ....). Voilà qui est dit et pour agir correctement il faudrait choisir pour soi mais ne surtout pas décider pour l'autre car dans le doute on s'abstient ....
A
Justement!, la "mort cérébrale" - concept récemment inventé pour rendre possible toutes les manipulations possibles et impossibles sur les corps des mourants - n'est pas la mort! En tous cas, par la mort réelle! Et entre la mort cérébrale et la mort réelle il y a - de nombreux cas de "réveils" le prouvent! - la possibilité de revenir à la vie! Appelez-vous "respecter un corps" - pas encore réellement mort (puisqu'un réveil - donc un retour à la vie! - est encore possible) - que de le découper pour en retirer des morceaux?<br /> Comme côtés positifs il y a, du côté de cette conception du respect de la vie des personnes blessées ou mourantes, justement le fait de leur laisser jusqu'au bout la possibilité de revenir à la vie. Il y a aussi - et ce qui n'est pas le moindre! - le fait de ne pas troubler la séparation entre l'âme et le corps. Il est très cruel de ramener ainsi de force, même si pour un temps limité, une âme dans un corps profondément mutilé! La deuxième séparation sera nécessairement beaucoup plus pénible!
M
Je suis choquée par vos propos, vous laissez croire ainsi que l'on prélèverait des organes alors que la personne est encore en vie?
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A
Oui, Michel Dogna le dit aussi très clairement. C'est, d'ailleurs, "techniquement" impossible autrement. Des organes prélevés sur une personne réellement décédée sans aucune possibilité de retour ne seraient tout simplement plus utilisables. Même si le cerveau est, à ce moment-là, quant à lui, inactif, le corps doit encore être en vie pour que les organes soient eux-mêmes encore suffisamment vivants pour pouvoir être ré-utilisés dans un autre corps.
A
Oui, c'est bien cela!<br /> Plus à ce sujet, par exemple:<br /> http://www.lasantenaturelle.net/252/la-sante-naturelle.html
A
Bonjour.<br /> J'ai essayé cette inscription en ligne et impossible de se faire enregistrer ???
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A
Alors il faut prendre contact avec le site officiel, en faisant part de votre volonté et de la difficulté technique rencontrée. Il est, bien sûr aussi possible de faire connaître sa volonté par courrier recommandé.
A
Exactement, des gens se sont réveillés alors qu'ils étaient considérés comme étant morts. Je m'y inscrire à de registre.
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L
Autrefois, un mort ne respirait plus..., son cœur ne battait plus... C'était la mort.<br /> Depuis le 24 janvier 1968, pour le "business", il a été inventé un nouveau mot: la mort cérébrale... La mort cérébrale n'est pas une mort définitive ou absolue. ..car ce n'est pas pour le plaisir qu'il y a peu, une loi a été voté en France, pour obliger l'anesthésie -du décédé !- avant "l'intervention du ou des prélèvements" ! ... Comme quoi, le progrès a ses faiblesses pour rester simple ! Il y a aussi ce registre du refus. Sans compromis. https://www.registrenationaldesrefus.fr/#etape-1 ouf !
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A
Bonsoir,<br /> Je dois vous remercier pour ce rappel. Je n'étais pas certaine que les dons d'organes soient devenus obligatoires. J'en avais vaguement entendu parlé. Bien sûr je viens de signer mon refus. Merci encore. J'espère que beaucoup liront bien vôtre article afin qu'il refusent cette abbération. Namasté
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M
Bonjour <br /> Je ne comprend pas très bien votre article, j'ai l'intention de donner un organe à ma mort et étant mort je ne vois pas pourquoi il faut être attaché !!!! un peu bizzare cet article
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A
Est-ce l'article qui est bizarre ou plutôt le fait de devoir attacher et même anesthésier un soi-disant "mort" pour pouvoir tranquillement lui découper ses organes, sans risquer qu'il ne bouge ou même se réveille? Pour un viol l'on ne s'y prendrait pas autrement!
A
Plus d'informations sur cette page:<br /> http://www.lasantenaturelle.net/252/la-sante-naturelle.html
W
Bonjour,<br /> <br /> Je suis très déçu de votre publication du 15 février 2017 concernant le don d'organe.<br /> Cela ce voit que vous n'êtes pas en attente de greffe et que vous ne souffrez pas d'un mal incurable qui ne peut se soigner que par un don d'organe.<br /> Les donneurs sont en état de mort cérébrale et donc sont MORTS.<br /> Si on lit bien votre lettre, on ne devrai pas laisser les corps enterrés, car il s vont subir une décomposition, qui est une altération du corps. C'est vraiment n'importe quoi !!!!!!!!!!<br /> <br /> Je souhaite à l'auteur de ce texte qu'il n'ait pas, lui ou un membre de sa famille ou de son entourage, besoin d'une greffe d'organes, car il lui sera bien difficile de se regarder en face s'il y a recours
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F
Je suis heureuse que l'on parle enfin de ce sujet qui est extrêmement grave. Les connaissances relayées par les civilisations anciennes nous enseignent toutes le danger du don d'organe pour l'âme et les conséquences réelles pour sa future ré-incarnation. Bien sûr, l'on peut très bien nier l'existence de l'âme ainsi que réfuter le principe de la réincarnation, mais il faut tout de même prêter une grande attention à ces enseignements. La médecine est devenue un business et la perte des valeurs a permis leur "inversion" l pour justifier ce tournant mercantil. Non, faire un don, n'est PAS un signe d'altruisme, c'est du grand n'importe quoi ! Il y a entre autre des informations que la médecine vous cache bien et qui va dans le sens de la connaissance spirituelle du vivant, c'est le fait que les transplantés se mettent à avoir des phénomènes de concordances avec leurs donneurs (traits de caractère, phobies, problèmes de santé etc ....). Voilà qui est dit et pour agir correctement il faudrait choisir pour soi mais ne surtout pas décider pour l'autre car dans le doute on s'abstient ....
A
"Primun non nocere!" "D'abord, ne pas nuire!" C'est déjà ce que disaient Hippocrate et aussi Ambroise Paré. Avant de vouloir faire du bien à des tiers, il convient d'abord de se soucier de ne pas nuire aux légitimes propriétaires des organes. Si celui dont le corps est découpé pouvait, à ce moment-là, efficacement faire connaître sa volonté, dans les plupart des cas, en supposant qu'il ait pu l'être avant, il apparaîtrait bien vite qu'il ne serait pas du tout d'accord pour le prélèvement de ses organes. A ce sujet voir le très parlant livre du psychiatre américain Carl Wickland: "Trente ans chez les morts"...
A
Bonjour,<br /> Lorsque vous écrivez: "Les donneurs sont en état de mort cérébrale et donc sont MORTS." c'est une contre-vérité, puisque de nombreux "morts cérébraux" se sont précisément réveillés après leur soi-disant "mort". Sauf erreur, un mort réel ne se réveille pas! Non? A ce sujet, vous pouvez, par exemple, lire un livre appelé "Les enterrés vivants" (voir présentation ici: http://www.panormal.net/t248-enterre-vivant et le livre est, par exemple, disponible ici: https://www.amazon.fr/Enterr%C3%A9s-Vivants-histoires-Incertitudes-Signes/dp/2724208366/ref=sr_1_2?ie=UTF8&qid=1488810527&sr=8-2&keywords=les+enterr%C3%A9s+vivants) et qui montre que ces cas sont beaucoup plus nombreux que l'on pourrait se l'imaginer.... Le généreux souci des malades devrait-il complètement masquer le souci de ceux qui, quoi que eux aussi physiquement atteints, n'ont pas, pour autant - et cette fois de façon toute naturelle - nécessairement achevé leur vie terrestre?<br /> Un corps enterré - même s'il y a des exceptions! - est, en principe, réellement mort Dans le cas du respect du corps pas encore mort, la différence c'est justement qu'il n'est pas encore mort et peut donc revenir à la vie!<br /> Bien sûr - vous avez tout à fait raison de souligner la nécessité de la cohérence! -, il est parfaitement logique que les personnes qui, en conscience, ressentent devoir refuser le don d'organes n'y ait pas non plus recours pour elles-mêmes ou leurs proches.