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Panorama de la folie vaccinale

Un article sur la vaccination, bien documenté, a particulièrement retenu notre attention.
Il s'agit de:
Les dessous de la couverture vaccinale:
fausse protection, vrais dangers.

L'article entier est visible, sur le site d'Alternative Santé, en cliquant ici.

 

Extraits de l'article:

Début de l'article: Préambule:

"La loi d’extension de l’obligation vaccinale qui sera soumise au vote final le 21 novembre a un objectif affiché: augmenter la couverture vaccinale des Français pour prévenir de nouvelles épidémies, notamment celle de rougeole, brandie comme un chiffon rouge. En réalité, non seulement l’idée de «couverture vaccinale» est un leurre, mais elle pourrait bien faire le lit de nouvelles épidémies, plus dangereuses.

Démontage des mythes et approximations qui nourrissent la vulgate officielle sur les vaccins:

Dans quelques jours la ministre de la Santé soumettra au vote la nouvelle loi d’extension des obligations vaccinales, de trois à 11 vaccins. Malgré la méfiance croissante de la population et le chaos qu’une telle politique risque d’engendrer dans la pratique, le texte proposé n’avance pas de données épidémiologiques ou scientifiques justifiant une mesure aussi radicale et contraignanteLe seul motif énoncé est d'«améliorer la couverture vaccinale et d’éviter la réémergence de foyers épidémiques».

Que cache une justification aussi pauvre et laconique pour un tel passage en force? Y a-t-il vraiment urgence? Et qui sont alors les véritables bénéficiaires de cette politique autoritaire?

 

Imposer la vaccination pour empêcher le débat

Après avoir opposé un mépris absolu aux avis des comités de concertation, aux pétitions et manifestations citoyennes ainsi qu’aux recherches récentes s’opposant à ce projet, la ministre a mis fin à la mise en scène «consultative» entourant ces nouvelles contraintes, en «sifflant la fin de la récré».

La séance à la commission des Affaires sociales précédant la présentation du texte devant l’Assemblée Nationale a, dans élan démocratique magnanime, accordé trois minutes de temps de parole aux experts venus présenter leurs critiques.

Rien d’étonnant, car 20 minutes suffiraient certainement pour révéler aux nouveaux élus les divers éléments de risques et les aberrations que présente une telle mesure.

Il est frappant de noter que les termes de la loi ne sont donc pas formulés selon des indicateurs d’objectifs de santé formulés en fonction de la situation épidémiologique en France. Le seul motif invoqué est «la couverture vaccinale», face à la menace éventuelle du «retour des épidémies». Sans référence explicite, la loi se rapporte donc tacitement au postulat selon lequel une couverture vaccinale (quasi) totale de la population entraîne l’immunité collective et l’élimination d’une maladie.

Ce motif ne peut pourtant s’appliquer aux onze vaccins dans leur ensemble.

  • Pour une maladie comme le tétanos, par exemple, il ne peut y avoir d’épidémie puisqu’il s’agit d’un microbe provenant du sol, donc non contagieux entre individus (pour rappel : 10 cas par an en France par an, 3 décès de personnes âgées).
  • Pour la coqueluche on sait que l’immunité conférée par le vaccin est très faible.
  • Pour l’hépatite B, la transmission par voie sexuelle ou sanguine ne peut être que limitée chez les jeunes enfants. En outre la protection conférée par le vaccin chez ces jeunes enfants pose des problèmes d’immunité post-vaccinale une fois ces enfants arrivés à l’adolescence.
  • Cette profession de foi de la couverture vaccinale s’applique donc surtout à la rougeole. La ministre l’a répété à outrance, en disant qu’il est «inadmissible que des enfants meurent encore de la rougeole», ajoutant que «l’on est dans une situation d’urgence et que la France doit atteindre les objectifs fixés par l’OMS, soit une couverture vaccinale de 95 %».

Si les jeunes parents cèdent facilement à la panique devant une maladie désormais qualifiée de «grande tueuse», leurs aînés qui ont connu «les goûters rougeole», ne manquent pas de s’interroger sur la réalité de ces affirmations.

 

Quelques points relevés dans la suite de l'article:

La vaccination provoque la perte de l'immunité durable.

L'immunité des vaccinés baisse fortement au bout d'une génération.

«Les vaccins à virus vivants atténués comme celui de la polio sont toujours susceptibles d’induire la maladie qu’ils sont censés prévenir; les vaccins à virus atténués comme celui de la rougeole et des oreillons peuvent induire des effets secondaires tels que l’encéphalite. Ces deux problèmes sont dus à la difficulté inhérente du contrôle des virus “in vivo”, une fois introduits chez leur hôte.» (Orenstein)

«L’immunité acquise par le vaccin contre la rougeole semble être un continuum, allant d’une protection totale à une protection minimale ou nulle, en passant par une protection partielle ou temporaire. Cette flexibilité de la réponse immunitaire est responsable de la circulation occulte du virus dans la population vaccinée.»

Il y a des virus d'origine vaccinale provoquant les maladies censées être ainsi évitées.

«Si la vaccination fait perdre la trace du virus, on échoue de manière systématique, quelle que soit la couverture» (Bernard Guennebaud).

Dans le cas de la variole: La maladie fut éradiquée par la détection et l’isolement des cas et non par les campagnes de vaccination (rapport d’éradication de l’OMS).

Immunité contre la rougeole: Avant l’avènement de la vaccination massive, les mères conféraient une immunité solide aux nourrissons, car elles bénéficiaient de l’immunité durable acquise durant leur enfance. Les anticorps maternels pouvaient protéger les enfants de 6 à 15 mois. La grande majorité des enfants contractaient ensuite la rougeole entre 3 et 11 ans et les adultes ne développaient pas la maladie. Aujourd’hui la moitié des bébés ont déjà perdu leur immunité contre la rougeole à l’âge de quatre mois.

On voit aussi beaucoup de cas chez des adolescents ou des adultes, car l’immunité octroyée par le vaccin a disparu, celle-ci étant estimée 23 fois inférieure à l’immunité naturelle.

Plutôt que de les protéger, la vaccination massive a finalement augmenté le risque pour les populations les plus fragiles.

Près de 10 % des vaccinés sont faibles ou «non-répondeurs» aux vaccins du point de vue immunitaire. Plusieurs facteurs génétiques ont déjà été identifiés pour expliquer ce phénomène, qui confirme à nouveau l’importance d’une approche individualisée de l’acte vaccinal.

Lorsque "le vaccin n’est ni complètement efficace, ni vraiment durable, que certaines catégories de personnes ne peuvent être immunisées, et que le virus circule de manière silencieuse, il est indispensable de remettre en question les politiques actuelles et de s’interroger sur leurs conséquences dans un avenir proche".

 

La vaccino-résistance

Au sujet des antibiotiques le grand public est maintenant au courant du concept d'antibiorésistance, mais le concept de "vaccino-résistance" n'est pas encore très connu. Pourtant, de plus en plus, il apparaît que l'efficacité - déjà toute relative! - de la vaccination n'a qu'un temps et que, une fois ce temps passé (dans le cas de la rougeole, une cinquantaine d'années), il faut s'attendre à un retour de l'épidémie, cette fois beaucoup plus forte qu'au cours de l'époque ayant précédé la vaccination!

Le danger de retour d’une épidémie de rougeole est peut-être bien réel et pourrait avoir des conséquences plus néfastes qu’avant la vaccination, notamment pour les premières générations de personnes âgées qui n’auront pas pu bénéficier de l’immunité naturelle acquise par la maladie.

Tant que la réalité des faits est délibérément tenue à l’écart du débat public, l’industrie pharmaceutique peut continuer de vendre des produits dont l’efficacité diminue à mesure que la consommation augmente, tout en ne se préoccupant pas des risques.

De nombreuses voix s’élèvent pour dénoncer les risques associés à la vaccination, et les vidéos de milliers de victimes rapportant des effets secondaires graves démolissent le conte de fées que l’industrie tente de maintenir depuis des décennies.

Le vaccin ROR (rougeole, oreillons, rubéole) est au cœur de cette saga depuis une vingtaine d’années, suite à des épidémies de méningite et de troubles gastro-intestinaux associés à l’autisme.

En 2014, un expert du Center for Disease Control américain a avoué avoir été contraint par sa hiérarchie de manipuler les données de son étude pour réfuter le lien statistique entre autisme et vaccination.  «J’ai honte, nous avons menti», confesse William Thompson dans le documentaire "Vaxxed".

De la surveillance des foyers de maladie, on observe un glissement progressif vers le contrôle physique des individus, notamment à travers la vaccination obligatoire et le carnet de santé électronique. C'est une dérive assurée vers un terrorisme vaccinal et une dictature, tout à fait comparable à celle sévissant dans les mondes décrits par Georges Orwell dans "1984" et Aldous Huxley dans "Le meilleur des mondes"...

L’Italie fait office de laboratoire dans la mise en œuvre de ce plan, que Buzyn et Macron tentent à leur tour d’appliquer servilement avec zèle.

Après les 11 vaccins obligatoires, le vaccin contre la grippe ou le HPV, il faudra aussi sans doute accepter un cocktail parmi les 2 000 vaccins qui sont actuellement "dans les tuyaux" et assureront une "couverture" constante, du berceau jusqu'à la tombe.

Des vaccins à but contraceptifs ou stérilisants sont en développement. S'annoncent aussi des vaccins ‘multi-doses’ à libération progressive dans le corps via des microparticules de polymères 3D. Certains vaccins pourront bientôt "améliorer notre génétique" (!), ou pas

Les vaccins ne sont toujours pas testés pour leurs effets cancérigènes ou pour leur impact sur la fertilité.

Les effets de l’administration de plusieurs vaccins combinés sur la santé, à court terme comme à long terme, ne sont pas étudiés.

Les effets cumulatifs de l’administration de plusieurs vaccins en fonction du "calendrier vaccinal" sur la santé, à court terme comme à long terme, ne sont pas étudiés.

On connaît déjà une partie des risques des adjuvants toxiques comme l’aluminium ou le mercure, mais il y en a sûrement bien d'autres.

On ne maitrise pas les risques liés aux conditions de production des vaccins, notamment en terme de contamination par d'autres virus.

De récentes recherches ont mis en évidence la présence de nanoparticules (zinc, titane, tungstène, fer, soufre, silicium, etc.) polluant la quasi totalité des vaccins commercialisés actuellement.

L’idée de « couverture vaccinale » est de ce point de vue un leurre dangereux, dont les limites sont bien connues des épidémiologistes.

La vérité scientifique, toutefois, n'est pas ce qui guide les politiques publiques.

Lire l'article complet

Voir aussi:

Aluminium dans les vaccins: 13 ans d'alertes et de dénis

Vaccin anti-hépatite B et sclérose en plaques:
les certitudes de «la science» contre le pragmatisme de la justice

 

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