Le Japon, chef de file mondial dans la dénonciation de la fraude avec le vaccin Gardasil contre le VPH: blessures et décès.
Au Japon, des jeunes femmes et des jeunes filles souffrant de douleurs chroniques généralisées sévères à la suite de la vaccination avec Gardasil® de Merck ou Cervarix® de GSK, se sont organisées et s’expriment.
Ces questions sont débattues lors d’audiences publiques, au cours desquelles des experts médicaux indépendants ont fait des présentations scientifiques qui ont validé la souffrance des femmes à l’aide de preuves documentées de la gravité de la douleur liée au vaccin contre le VPH.

Le point de vue opposé, présenté par des scientifiques alignés sur l’établissement du vaccin, ne tenait pas compte de la plausibilité scientifique de la preuve et déclarait que la douleur était une «réaction psychosomatique».
De tels débats publics n’ont pas lieu lorsque les intervenants du secteur des vaccins contrôlent entièrement l’information sur l’innocuité des vaccins. (Comme aux États-Unis, par exemple.)
À la suite d’une audience publique (février 2014), au cours de laquelle des scientifiques indépendants ont présenté des preuves scientifiques, le gouvernement japonais a non seulement annulé sa recommandation de faire vacciner les filles contre le VPH, mais il a aussi établi des lignes directrices et des cliniques spéciales pour évaluer et traiter les maladies causées par ce vaccin.
C’est un scénario que Merck, GSK et les intervenants mondiaux du domaine des vaccins sont extrêmement désireux de supprimer.
Le rapport du SCRS commandé par Merck et coécrit par le Dr Larson, dresse le portrait d’une guerre totale pour la couverture médiatique, et non pour le taux élevé de réactions indésirables graves.
Les auteurs ont recours à la tactique habituelle qui consiste à discréditer les personnes vaccinées blessées; ils ont qualifié de triviaux les graves effets sur la santé des filles et des jeunes femmes après la vaccination.
Le rapport du SCRS présente l’ensemble de la question comme une épidémie alimentée par des rumeurs sur Internet et des «hésiteurs du vaccin».
«Au cours de la dernière année, la controverse sur le vaccin anti-VPH dans les milieux médicaux et politiques japonais a touché le grand public. Grâce aux médias sociaux et à des événements très médiatisés, les groupes anti-vaccins ont pris le contrôle du récit entourant le vaccin contre le VPH.»