Grippe aviaire ou porcine
et «Nouvel Ordre Mondial»
Par le Dr Leonard G. Horowitz (25)
Alors que les formes ordinaires de grippe tuent environ 40.000 Américains chaque année, si la grippe aviaire
(qui a fait moins de 100 morts) était devenue réellement une redoutable pandémie, alors
cela aurait été à la suite d’une volonté politique délibérée.
Le Dr Leonard G. Horowitz (expert international en matière de santé publique, de sciences du comportement, de maladies nouvelles et de terrorisme
bactériologique, diplômé de Harvard) démontre qu'un "bioterrorisme" d’Etat est parfaitement compatible avec une guerre
bactériologique menée par un Etat et ses industries et relayée par les médias qu'ils contrôlent.
Par cet article, nous pouvons être mieux informés sur le prochain génocide "médicalement assisté" qu’ils nous
concoctent... Grippe porcine ou aviaire?
Le but est de nous faire peur et de nous faire vacciner! A lire
jusqu'au bout.
Si la grippe porcine devient réellement une pandémie redoutable, ce sera à la suite
d'une volonté politique délibérée. Par cet article, nous pouvons être mieux informés sur le prochain génocide "médicalement assisté", tout en nous
confiant dans le Seigneur pour notre protection!
En avril 2003, nous avons déjà connu le SARS (Severe Acute Respiratory Disease, SRAS en Français), ou pneumonie atypique. Cette maladie nous venait également
d'Asie, et frappa lourdement la région de Toronto.
J'étais sur place pendant presque toute la durée de cette épidémie, qui annonçait la grippe aviaire. L'on a dit à l'époque que le SRAS était la dernière venue de
toute une série de maladies nouvelles, provoquées par une série de mystérieux "super-germes" mutants qui devaient (sic) frapper l'humanité.
Une étude scientifique attentive des caractéristiques médico-sociologiques et des antécédents de cette épidémie a révélé quelque chose de bien plus insidieux que le
SRAS proprement dit. (25)
Cet article a été écrit lors des risques d’épidémies de grippe aviaire, en 2005. Avec la grippe
porcine le texte reste tristement … et strictement d’actualité.
J'ai considéré la réaction des médias comme doit la considérer tout diplômé de Harvard, expert en problèmes de santé publique et en techniques psychologiques de persuasion mentale. Car cette épidémie possédait
toutes les caractéristiques d'une nouvelle expérimentation sociale conduite par des "bioterroristes" en blouse
blanche.
Il me parut clair que cette manipulation humaine sans précédent était destinée à endoctriner les masses populaires et à les manipuler
subtilement, pour qu'elles soutiennent une politique de santé publique parfaitement inadaptée à la venue d'une pandémie massive, malgré toute la législation existante (1). Tout au long
de l'épidémie de "pneumonie atypique," les médias n'ont cessé de faire référence à de nouveaux "agents bactériologiques", qui, alors déjà, pouvaient ou devaient provoquer la disparition du tiers à la moitié de la population
mondiale.
Ayant étudié à fond tout ce qui a été publié récemment en matière de contrôle de la population, ainsi que les objectifs
actuels des principales sociétés industrielles multinationales, j'ai remarqué que ces "prédictions" correspondaient étroitement à certains objectifs officiels en matière de réduction de la population mondiale (2).
En 2003, la lutte menée au Canada contre le SRAS, pour la première fois de l'histoire de ce pays, fut dirigée directement par les Nations Unies et par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
Pour avoir découvert les liens étroits qui existaient, sur les plans financier et administratif, entre les organisations
suivantes, j'ai constaté que la famille Rockefeller, la Fondation Carnegie, et les principaux
dirigeants de l'industrie pharmaceutique mondiale, ont contrôlé la recherche canadienne et la lutte menée au Canada contre cette épidémie.
Aucune grande pandémie, ou épidémie à l'échelle mondiale, n'a jamais pu être séparée de son contexte économique et politique. L'épidémie de pneumonie atypique a
fait avancer le programme politique du Nouvel Ordre Mondial beaucoup plus vite que tout autre problème de santé publique. Si les responsables politiques de la santé publique voulaient
réellement prévenir ces épidémies nouvelles qui se produisent régulièrement, ou s'ils voulaient vraiment les traiter à la source, ils ne pourraient manquer de remarquer que ces agents
bactériologiques dévastateurs sont toujours mystérieusement apparus au sein de structures secrètes associant certains milieux militaires, médicaux et de la
biotechnologie. Il suffit simplement d'étudier la sociologie médicale pour s'en rendre compte.
Cela fait des décennies que certains "experts" nous prédisent l'arrivée prochaine d'une super épidémie dévastatrice. Ce qui a aussitôt éveillé mes
soupçons, en ce qui concerne la pneumonie atypique, fut le moment où elle est survenue. Elle survint au moment même où était lancée la guerre totale contre le terrorisme, et
la guerre Anglo-Américaine contre l'Irak. Il m'a semblé qu'il s'agissait là d'une occasion rêvée de "distraire" l'opinion publique du fait que l'administration Bush avait accusé Saddam Hussein d'accumuler un arsenal impressionnant d'armes bactériologiques, dont l'anthrax et le virus du Nil. L'épidémie de
pneumonie atypique était donc caractéristique de ce que j'avais déjà annoncé dans l'un de mes livres au titre prophétique, publié avant les attaques du 11 septembre.
Plusieurs mois avant ces attaques, je les avais annoncées dans ce livre, en présentant l'analyse conceptuelle qui nous permet de comprendre les liens qui existent entre ces épidémies et le
Nouvel Ordre Mondial (Death in the Air: Globalism, Terrorism and Toxic Warfare, Tetrahedron Publishing Group, 2001 - ("Mort dans l'air: Globalisme,
Terrorisme et Guerre chimique").
Pour résumer l'essentiel de ce livre, j'y expliquais comment une certaine forme de "bioterrorisme" d'Etat était
parfaitement compatible avec une guerre bactériologique officiellement menée par un Etat. Saddam Hussein avait lui-même fait subir à certaines des
populations de l'Irak et des Etats voisins les effets destructeurs des armes chimiques et bactériologiques. Pour moi, il est clair que la pneumonie atypique,
tout comme la grippe aviaire actuelle, se sont produites avec le consentement et l'appui de certains milieux des industries médicale, pharmaceutique, pétrochimique et militaire, opérant de
manière illégale. C'est ce que j'ai pu prouver maintes fois. Ayant eu l'occasion de témoigner devant le Congrès Américain, j'ai pu me rendre compte directement de quelle manière l'industrie
pharmaceutique influence et contrôle nos représentants économiques et politiques au niveau du gouvernement.
Les épidémies émergentes complètent les effets de la guerre politique contre le terrorisme, et correspondent à notre culture actuelle influencée par le
bioterrorisme. Un tel programme secret répond à deux objectifs essentiels: la recherche du profit, et la réduction de la population mondiale.
Réalité politique, contre mythes véhiculés par les médias
La folie croissante du monde qui nous entoure correspond étrangement aux recommandations des penseurs du Nouvel Ordre Mondial, qui favorisent les "désastres sans guerre". De quoi s'agit-il exactement?
Dès la fin des années 60, dans les principaux milieux industriels, on a commencé à réfléchir à des "substituts économiques à la guerre classique".
Comparés aux effets des première et seconde guerres mondiales, les dégâts qui pouvaient être provoqués par les désastres naturels, les super ouragans, les épidémies, ou la guerre
bactériologique et génétique, ont commencé à apparaître comme politiquement et économiquement "rentables".
Ces "désastres sans guerre" étaient manifestement beaucoup plus "gérables" politiquement, et plus "rentables" économiquement. Pour ces raisons, et tout particulièrement pour leur rentabilité
économique, les dirigeants politiques Anglo-Américains du Nouvel Ordre Mondial ont considéré ces "désastres sans guerre" comme des options de tout premier choix.
Par exemple, le protégé de Nelson Rockefeller, Henry Kissinger, en tant que Conseiller pour la Sécurité Nationale sous Richard Nixon, a dirigé, en fait, la
politique extérieure des Etats-Unis, tout en considérant la réduction de la population mondiale comme une "nécessité" pour les Etats-Unis, la
Grande-Bretagne et leurs alliés. C'est ce même Kissinger qui a été nommé par George W. Bush pour présider le «Comité d'enquête sur les événements du 11septembre». Kissinger est pourtant
un criminel de guerre avéré, qui avait ordonné à la CIA de développer des armes
bactériologiques, selon les archives du Congrès Américain de 1975.
Parmi ces armes bactériologiques fabriquées par l'homme, il existe des germes bien plus mortels que celui de la grippe
aviaire! Par exemple, avant 1968, Kissinger ordonna une enquête concernant les agents bactériologiques synthétiques existants, qui pourraient être utilisés en matière de guerre bactériologique et
de contrôle de la population mondiale. Or, une équipe de chercheurs (O'Conner, Stewart, Kinard, Rauscher et d'autres), venait juste de fabriquer en laboratoire de nouveaux virus mutants de la grippe, capables de propager certains cancers (3).
A l'occasion de ce programme, certains virus grippaux furent combinés artificiellement avec d'autres virus de la leucémie aiguë, pour fabriquer littéralement de nouveaux germes capables de
répandre ce cancer à la vitesse d'une épidémie de grippe, par simple contact direct avec des personnes infectées. Ces mêmes chercheurs ont aussi manipulé des virus du cancer du poulet, un
sarcome, pour les inoculer à des hommes et à des singes, afin de tester leur capacité à produire un cancer chez ces
derniers. Rauscher, et d'autres, ont aussi employé les radiations pour augmenter la puissance du virus du cancer du poulet. Ces faits scientifiques incroyables ont été officiellement reconnus,
mais largement négligés par les principaux médias. [...]
Les "conflits sans guerre", tels que la "guerre contre le SIDA", la guerre contre la drogue", la guerre contre le terrorisme", la "guerre contre le cancer," et, à
présent, la "guerre contre la grippe aviaire", exigent des programmes très sophistiqués de propagande, ayant recours à des campagnes visant à stimuler la crainte au sein de l'opinion publique, afin qu'elle accepte et soutienne les lois supprimant les libertés
publiques. Ces opérations psychologiques sont nécessaires pour contrôler ces conflits sans guerre et constituent la caractéristique essentielle de la nouvelle
"révolution militaire" en cours.
Cette "révolution militaire" cherche à instaurer une nouvelle forme d'esclavage humain, par lequel les populations humaines ne se rendent même plus compte qu'elles sont soumises à un esclavage (2)!
Cette nouvelle "révolution militaire" fait appel, sans aucun doute, à des armes bactériologiques et chimiques très
puissantes. Ces armes sont mises en œuvre par les fabricants de vaccins et de médicaments, pour leur plus grand profit.
Il existe un exemple classique, celui des pesticides très toxiques et cancérigènes largement utilisés dans
des zones habitées, sous prétexte d'éradiquer les moustiques responsables de la "fièvre du Nil." Ces produits, selon les termes militaires, ne sont pas directement mortels. Mais ils agissent à
long terme, en provoquant une mort lente par empoisonnement chronique, ce qui génère encore plus de
profits pour les sociétés pharmaceutiques chargées d'inventer de nouveaux médicaments pour lutter contre ces maladies. Les victimes de ces campagnes d'éradication des moustiques meurent
lentement de maladies chroniques débilitantes. Les centres de soins et les hôpitaux construits pour traiter ces malades ne sont que des camps de concentration virtuels.
Parmi toutes ces nouvelles maladies provoquées artificiellement figurent un grand nombre de maladies touchant le système immunitaire, ainsi que de nombreux
cancers, pratiquement inconnus il y a cinquante ans. Ce simple fait, à lui seul, suffit à suggérer l'existence d'un véritable génocide socio-économique
programmé par certaines autorités politiques. Une grippe aviaire qui rapporte!
Face à l'épidémie de pneumonie atypique, Michael Fumento, chercheur à l'Institut Hudson de Washington, a publié à Toronto une thèse économique, qui ressemble à
celle que je développe dans cet article. Cette thèse a été publiée dans le Canadian National Post. On a demandé aux Canadiens de se mettre eux-mêmes en quarantaine, de porter des masques et,
dans certains cas, de rester chez eux.
Le Ministre de la santé de l'Ontario a décrété un "état d'urgence sanitaire", alors que les médias parlaient de la "super pneumonie, cette tueuse mystérieuse". Refusant de se laisser gagner par cette hystérie, Fumento posait un certain nombre de vraies questions. Cette épidémie était-elle réellement aussi mortelle et aussi contagieuse
qu'on le disait? Il concluait en ces termes: "Les réponses à ces questions ne laissent aucune place à l'excitation, encore moins à la
panique". On pourrait en dire tout autant pour cette nouvelle épidémie de grippe aviaire (1). [...]
Afin de fabriquer un vaccin spécifique contre un virus mutant H5N1 transmissible à l'homme, il faudrait tout d'abord que ce virus de la grippe aviaire transmissible
à l'homme existe. Or, actuellement, ce virus n'existe pas, excepté peut-être dans quelques laboratoires du complexe militaro-médico-pharmaceutique. En fait, d'après les informations dont je dispose, c'est exactement ce qui est en train d'être préparé en secret. Afin de produire un virus transmissible à l'homme, il faut cultiver le virus de la grippe aviaire
pendant assez longtemps, en le mélangeant à des cultures de cellules humaines. Il faut ensuite l'injecter à des singes, puis à des êtres humains, pour
vérifier si ces sujets attrapent ce nouveau virus fabriqué en laboratoire.
Ainsi, ce nouveau virus que le monde craint tant est:
1) soit en train d'être fabriqué dans des laboratoires financés par des industriels puissamment motivés à laisser
"accidentellement" se répandre ce virus.
2) soit a déjà été fabriqué dans ces laboratoires, pour profiter de la panique mondiale actuelle, en prévision des énormes profits
qui seront dégagés par la lutte contre ce virus.
Il faut savoir qu'un vaccin, pour être réellement efficace contre un virus, a besoin d'être spécifique. Si les autorités voulaient réellement répandre
le virus humain de la grippe aviaire H5N1 à une certaine échéance future précise, elles n'auraient aucune garantie sérieuse que le vaccin produit en parallèle soit efficace à cette même échéance,
compte tenu des mutations virales possibles. En effet, la rapidité des mutations virales dépend de la nouveauté du virus.
Les nouveaux virus fabriqués par l'homme et créés en laboratoire, comme ceux qui sont actuellement fabriqués pour préparer un vaccin, sont beaucoup moins
stables que ceux qui ont naturellement évolué au cours des millénaires. C'est pour cette raison que tous les
efforts actuels pour préparer un vaccin ne sont que de la poudre jetée aux yeux et que les véritables motivations restent cachées.
Il faut aussi savoir que l'efficacité d'un vaccin exige des années, ou du moins des mois de contrôles et de vérifications au sein de la population visée.
Pendant cette période, on doit soigneusement réunir toutes les informations sur les effets secondaires ou les accidents thérapeutiques provoqués par ce vaccin, afin de s'assurer qu'il ne tue pas,
ou ne rende pas malades plus de personnes que celles qu'il prétend sauver!
Pouvez-vous sérieusement croire que le gouvernement,ou l'industrie pharmaceutique pourront réunir toutes ces garanties, au milieu de l'hystérie provoquée par
cette "pandémie"? La réaction désastreuse des autorités face à l'ouragan Katrina sera avantageusement comparée au désastre sanitaire et humanitaire
certain provoqué par un vaccin mal testé et des mesures de santé publique inadaptées!
Je parle de désastre certain, parce que nous disposons de précédents. La liste est longue de vaccins préparés
à la hâte, qui ont entraîné, une fois mis sur le marché, des conséquences humaines horribles. On peut citer le premier vaccin contre la peste
porcine, les vaccins contre la polio, le vaccin contre la variole, le vaccin contre l'anthrax, le vaccin contre l'hépatite B et, plus récemment, le vaccin
contre la maladie de Lyme, qui a handicapé près de 750.000 personnes en quelques mois, avant d'être retiré du marché par les
autorités!
La plupart des gens ignorent que tous les vaccins comportent toute une série
d'ingrédients qui sont potentiellement nuisibles pour la santé, et même mortels.
On peut citer, parmi ces ingrédients, des produits chimiques toxiques comme le mercure, l'aluminium, le formaldéhyde et le formol (employés pour conserver les cadavres), des produits génétiques étrangers à l'homme, des protéines à haut risque issues de certaines espèces de bactéries, de virus ou d'animaux, et qui ont été scientifiquement associés au déclenchement de certaines maladies du système immunitaire ou de certains cancers.
Nous disposons de plus en plus de faits scientifiques qui tendent à démontrer que les vaccins sont, en grande partie responsables de nombreuses maladies, comme l'autisme, la fatigue chronique, la fibromyalgie, le lupus, la sclérose en plaques, l'arthrite rhumatoïde, l'asthme,
le rhume des foins, les infections chroniques de l'oreille, le diabète de type 1, et bien d'autres maladies encore.
Ces maladies chroniques et débilitantes nécessitent des traitements à long terme, qui eux-mêmes entraînent de nombreux effets secondaires. En réalité,
la principale cause de mortalité en Amérique est représentée par les maladies iatrogéniques, c'est-à-dire les
maladies produites par le système médical, ou contractées en son sein. Cela signifie que les vaccins, comme bien d'autres inventions de
l'industrie pharmaceutique, handicapent et tuent littéralement des millions de personnes, sans que ni le gouvernement ni l'industrie n'interviennent pour arrêter ce fléau.
D'après tout ce que nous savons, ce sont les gouvernements qui sont en train de fabriquer un vaccin contre la grippe aviaire, dont l'effet sera précisément de
répandre cette pandémie dans le monde entier, afin de réduire la population mondiale.
Cette hypothèse vous semble-t-elle absurde? Lisez donc la suite.
Business Week pense que l'accumulation de vaccins par les gouvernements ne peut que profiter aux sociétés pharmaceutiques, comme
Sanofi-Pasteur, Sanofi-Aventis ou Chiron. On considère que le Tamiflu, un antivirus fabriqué par Roche, serait efficace contre la grippe aviaire. Les Etats-Unis possèdent déjà 4,3
millions de doses de Tamiflu, et d'autres commandes sont en cours.
Voici toutefois ce que Business Week n'a pas révélé: l'efficacité et l'innocuité du Tamiflu n'ont pas été
prouvées pour ce qui concerne les populations souffrant de maladies chroniques, ce qui est le cas d'une bonne partie de la population américaine. Il faut aussi noter que ce
médicament provoque de nombreux effets secondaires: nausées, vomissements, diarrhées,bronchite, douleurs gastriques, étourdissements, mots de tête, etc.
En 1999, les Laboratoires Roche (Hoffman-LaRoche) ont été reconnus coupables de malversations en ce qui concerne la
fourniture de vitamines sur le marché mondial. Roche appartient à un cartel pétrochimique et pharmaceutique issu de l'I.G. Farben, l'un des piliers industriels de l'Allemagne Nazie (2)
(6).
L'un des partenaires industriels de Sanofi-Aventis est la Société Merck. Cette entreprise avait reçu la part du lion, lors de la distribution des
dépouilles de l'économie nazie, à la fin de la deuxième guerre mondiale. Le chiffre d'affaires de la Société Merck a fortement chuté l'an dernier, quand elle a dû retirer du marché l'un de ses
médicaments de lutte contre l'arthrite, le Vioxx, aux effets dévastateurs.
Selon de récents rapports, Merck et Sanofi-Aventis travaillent actuellement à produire le premier vaccin contre un
cancer sexuellement transmissible, vaccin destiné aux adolescents (7). Merck est aussi tristement célèbre pour avoir produit le premier vaccin contre
l'hépatite B, responsable du déclenchement de l'épidémie de SIDA, selon des rapports scientifiques que j'ai publiés dans l'un de mes livres, qui est actuellement un bestseller (3)
(8).
Au cours des semaines et des mois qui ont suivi les attaques du 11 septembre aux Etats-Unis, j'ai réussi à démontrer que les courriers contenant de l'anthrax provenaient d'entreprises qui produisent des armes bactériologiques, qui avaient
conclu des contrats avec la CIA, et qui avaient aussi des liens avec les services secrets anglais, ainsi
qu'avec ce même cartel pharmaceutique anglo-américain déjà cité (9).
Ces courriers chargés d'anthrax avaient provoqué dans toute l'Amérique une vive crainte du terrorisme bactériologique, qui a largement profité aux fabricants de vaccins et de produits pharmaceutiques, les mêmes qui sont aujourd'hui associés à tous ceux
qui profitent de la grippe aviaire (10).
Confrontés à de telles craintes, la plupart des gens n'hésitent pas à renoncer à leurs droits civiques et à leurs
libertés individuelles. En Amérique, le vote de la scandaleuse loi sur la Sécurité
Nationale ("Home Security Act"), ainsi que d'une loi similaire au Canada, sont des exemples classiques de cette dérive sociale, et de cette manipulation à grande échelle aboutissant à une législation forcée.
Pourquoi l'Asie?
Au moment où les relations entre la Chine, d'une part, et la Grande-Bretagne et les Etats-Unis, d'autre part, sont assez tendues, pour ne pas dire plus, il est
assez opportun que cette grippe aviaire provienne d'Asie, tout comme la récente pneumonie atypique. Juste avant les premiers cas de pneumonie atypique, les Américains ont dû faire face à une
escalade d'agressions dans la péninsule de Corée. La Chine communiste, pourtant déclarée "partenaire commercial privilégié" de l'Amérique, est politiquement alliée avec plusieurs ennemis de
l'Amérique, y compris ceux qui, à l'époque, étaient censés posséder des armes de destruction massive, comme l'Irak. Etait-ce une coïncidence? Vraisemblablement pas, quand on considère
l'oligarchie Anglo-Américaine, ses entreprises multinationales, et ses "conflits sans guerre" artificiellement provoqués.
Considérez aussi le fait que les principaux médias étaient fortement influencés, si ce n'est complètement contrôlés, par leurs commanditaires multinationaux, qui
défendaient les intérêts d'un nombre relativement restreint d'entreprises et d'organismes multinationaux.
N'oubliez pas non plus que les fournisseurs d'informations suivent les directives des services de renseignements, si
l'on en croit le témoignage respectable de très nombreux fonctionnaires et agents de renseignements à la retraite. Il serait donc bon que vous vous posiez les questions intelligentes suivantes,
et que vous y apportiez une réponse:
— Pourquoi les hauts responsables de la Défense Américaine, à commencer par William Cohen, Secrétaire à la Défense sous Bill Clinton, ont-ils fait autant de
publicité à la prétendue vulnérabilité des Etats-Unis en matière de terrorisme bactériologique? N'est-ce pas une forme de haute trahison à l'égard des
Etats-Unis, que de dévoiler dans la presse des "secrets défense" aussi importants, qui pouvaient être exploités par les ennemis potentiels de notre pays?
— Pourquoi les principaux médias continuent-ils à prédire l'arrivée d'une pandémie mondiale causée par un virus grippal
humain, qui provoquera des millions de morts, comme la "grippe espagnole" en 1918-1919?
— Pourquoi ces mêmes médias ne parlent-ils pas des faits indubitables concernant les individus, les organisations ou les laboratoires qui travaillent à produire ces agents de destruction massive? On a même tout fait pour "déterrer" le virus de la grippe espagnole, soi-disant pour
l'étudier et, éventuellement, le répandre à nouveau (26)!
— Pourquoi dit-on que le virus de la grippe espagnole est-il apparu au Tibet en 1917, d'après les données historiques officielles? On a raconté que les journaux
espagnols avaient été les seuls à publier des articles concernant cette grande épidémie, en raison de leur neutralité au cours de la première guerre
mondiale. Toutefois, les relations entre l'Espagne et les Etats-Unis, à l'époque, n'étaient pas meilleures que les relations entre la Chine communiste et les Etats-Unis aujourd'hui. On avait
décidé de baptiser cette épidémie "grippe espagnole", suite à deux décennies de disputes entre l'Amérique et l'Espagne, à propos de la colonisation des Caraïbes, de Hawaii et des Philippines,
après la guerre hispano-américaine, qui s'était terminée en 1902 aux Philippines. En fait, la grippe "espagnole" avait commencé dans des camps
militaires. L'Histoire n'est-elle pas en train de se répéter?
— N'est-il pas clair que l'Amérique est en train d'être manipulée, et qu'elle est sans doute la victime des planificateurs du
Nouvel Ordre Mondial? N'oubliez pas que l'une des priorités de ces planificateurs est la réduction de la population mondiale!
La grande pandémie annoncée.
J'affirme à nouveau qu'au cours des années 60 et 70 des laboratoires militaires étroitement associés à l'industrie pharmaceutique
ont fabriqué des virus mutants de la grippe et les ont combinés avec des virus de la leucémie aiguë. En d'autres termes, ils ont amassé des quantités considérables de virus de la
leucémie, aussi contagieux que celui de la grippe (3).
Par ailleurs, de nombreux experts des maladies infectieuses ou hauts responsables de la santé publique, apparemment oublieux de cette réalité scientifique,
affirment que la grippe aviaire actuelle pourrait être la "grande pandémie" prédite. Il y a quelques jours, les Nations Unies ont publié un rapport
déclarant que 150 millions de personnes dans le monde pourraient mourir de cette grippe aviaire.
Emma Ross, journaliste à l'«Associated Press», avait publié des articles sur la manière dont l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) avait lancé son "plan de
crise pour "éradiquer l'épidémie de pneumonie atypique". Vous savez sans doute que l'OMS est l'une des organisations qui dépendent de l'ONU et
qu'elle a été accusée de répandre le SIDA en Afrique, sous couvert de campagnes de vaccination contre l'hépatite B
et la poliomyélite. Il existe un certain nombre de faits précis qui étayent cette accusation (1).
Il est troublant de savoir que les Nations Unies sont très fortement influencées par certains membres de la famille Rockefeller, qui possèdent des intérêts
dans les industries pétrochimique et pharmaceutique. On sait que le siège des Nations Unies à New York a été construit grâce à la fortune des Rockefeller. Au cours de la seconde guerre mondiale,
ce sont encore les Rockefeller, ainsi que leur "Standard Oil Company", qui ont soutenu Hitler, bien plus que les Alliés. Cela a été reconnu devant les tribunaux. Un juge fédéral a
décidé que Rockefeller avait commis une "trahison" envers les Etats-Unis.
Après la seconde guerre mondiale, selon l'avocat John Loftus, enquêteur officiel sur les crimes nazis, Nelson Rockefeller a persuadé les nations Sud-Américaines
de voter en faveur de la création de l'Etat d'Israël, dans le seul but de détourner l'attention du fait qu'il avait soutenu les Nazis. John D. Rockefeller s'est joint à Prescott Bush (le
grand-père de George W. Bush), ainsi qu'à la famille royale anglaise, pour financer les initiatives "d'amélioration de la race" qui ont donné naissance aux programmes "eugéniques" d'Adolf
Hitler. Au cours de cette même période, la famille Rockefeller a pratiquement monopolisé l'industrie pharmaceutique américaine, ainsi que les laboratoires
de lutte contre le cancer et de recherche génétique (2)
(3). Aujourd'hui, la famille Rockefeller, la Fondation Rockefeller, les Nations Unies et l'OMS sont responsables de "programmes démographiques" visant à
réduire la population mondiale à un niveau jugé plus "acceptable". Comme l'a écrit Foreign Affairs, un périodique politique prestigieux publié par le
CFR (Council on Foreign Relations), dirigé par David Rockefeller, l'objectif serait de réduire la population des Etats-Unis de 50% (2). Davis Heymann,
de l'OMS, avait déclaré, à propos de la pneumonie atypique: "Nous n'avons jamais rencontré une épidémie aussi généralisée, à une aussi grande échelle".
Le Docteur Klaus Stohr, virologue de l'OMS en charge de la coordination internationale des laboratoires, avait ajouté: "C'est la première fois qu'un
réseau mondial de laboratoires échange ainsi des informations, des échantillons, des prélèvements sanguins et des images. Il n'y a plus de secrets, plus de jalousie, ni de compétition, face à une
telle urgence sanitaire mondiale. C'est un réseau phénoménal!"
Dr Leonard Horowitz
(1). Ces réseaux de surveillance des maladies infectieuses sont encore contrôlés par les Rockefeller!
Cet article est disponible en français à: http://mecanopolis.wordpress.com/category/virus-de-la-leucemie/
Original disponible en anglais à:
www.bbsradio.com/bbc/leonard_horowitz_radio/bird_flu_commentary.shtml.
A propos de l’auteur:
Le Dr. Leonard Horowitz est un expert international en matière de santé publique, de sciences du comportement, de maladies nouvelles et de terrorisme bactériologique. Diplômé de
Harvard, il est membre de l’équipe de chercheurs de cette université. Il est connu pour plusieurs livres à succès, dont un best-seller: "Emerging Viruses: AIDS & Ebola - Nature, Accident or Intentional?" ("Les virus émergents, SIDA et Ebola - Naturels, accidentels ou intentionnels?") Ce livre a permis l’ouverture
d’une enquête officielle aux Etats-Unis pour vérifier les hypothèses avancées par le Dr Horowitz.
Ses travaux concernant les risques associés aux vaccinations ont poussé au moins trois pays en voie de développement à modifier leurs politiques en matière de vaccination.
Le Dr Horowitz a eu l’occasion de donner un retentissant
témoignage devant le Sénat des Etats-Unis. Une semaine avant les attentats à l’anthrax, il avait
officiellement averti le FBI de cette menace précise, mais il n’avait pas été écouté. Trois mois avant les attaques du 11 septembre, il avait publié son treizième livre, intitulé, d’une
manière plutôt prophétique: "Death in the Air: Globalism, Terrorism and Toxic Warfare" ("Mort dans l’air: Mondialisation, Terrorisme et Guerre
bactériologique").
Dans ce livre, il s’en prend au "cartel pétrolier et
pharmaceutique", qu’il accuse de préparer un nouveau génocide programmé.
Notes:
1) Horowitz LG. SARS (Severe Acute Respiratory Syndrome): A Great Global Scam. (Un grand canular).
Disponible en anglais à : http://www.healingcelebrations.com/SARS.htm
2) Horowitz LG. Death in the Air: Globalism, Terrorism and Toxic Warfare. Sandpoint, ID : Tetrahedron Publishing
Group,
printemps 2001.
3) Horowitz LG. Emerging Viruses: AIDS & Ebola, Nature, Accident or Intentional ? Sandpoint, ID : Tetrahedron
Publishing Group, printemps 2001.
4) The Institute of Science in Society. SARS and Genetic Engineering? London, England.
Article disponible en anglais à: http://www.tetrahedron.org/articles/health_risks/sars_eng...
5) Knox N. Europe braces for avian flu. USA Today, 9 octobre 2005;
Manning A Government to stock up on avian flu shots. USA Today, 8 octobre 2005
6) Wang P. Avian Flu: Inoculate Your Portfolio. BusinessWeek.
Edition en ligne, disponible en anglais à : http://www.businessweek.com/investo...
7) CNNMoney. Merck shares jump on cancer drug vaccine. 6 octobre 2005. Disponible en anglais à:
http://money.cnn.com/2005/10/06/new...
8) Pour plus d’informations sur les liens entre le vaccin de l’Hépatite B et l’épidémie de SIDA, lien à:
http://www.originofAIDS.com.
9) Horowitz LG. The CIA’s Role in the Anthrax Mailings: Could Our Spies be Agents for Military-Industrial Sabotage,
Terrorism, and Even Population Control? A rapport special.
Article disponible en anglais à: http://www.tetrahedron.org/articles...
10) Horowitz LG. DNA: Pirates of the Sacred Spiral. Sandpoint, ID: Tetrahedron Publishing Group, 2004.
26 Lire à ce sujet l’article du Dr. A. True Ott p. 19.