20 octobre 2009
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Les vaccins: Une affaire juteuse!
Sur Arte: A qui profite la
"pandémie"?
Cru 2009: Un vaccin vraiment ... juteux!
Consom'acteur ou malade de la fièvre acheteuse?
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Cru 2009: Un vaccin vraiment ... juteux!
Présentation de l'émission d'Arte:
Sur les 6,5 milliards d'individus que compte la planète, le virus de la grippe A (H1N1) en a tué jusqu'ici moins de 2 000; bien peu au regard des 100 000 personnes qui meurent de faim chaque jour dans le monde. Pourtant, avant même que les vaccins ne soient au point et que l'on soit certain de leur efficacité, des millions de doses ont été commandées par la plupart des pays. La dépense est-elle en rapport avec la menace réelle?
Et comment l'Organisation mondiale de la santé (OMS) établit-elle ses seuils d'alerte? Le 29 avril dernier, elle a en effet décidé de passer au niveau 5 d'alerte pandémique, stade qui permet de débloquer des crédits pour développer des vaccins. Puis, en juin, elle a déclenché le niveau 6, en déclarant la grippe A (H1N1) pandémie mondiale. Quelle est l'influence de l'industrie pharmaceutique sur ces décisions?
Rejoignant la position de Jean Ziegler, membre du Conseil des droits de l'homme à l'ONU, Wolfgang Becker-Brüser, l'ancien directeur du service chargé de la circulation des médicaments à l'Office pour la santé de la République fédérale d'Allemagne, soulève la question des intérêts commerciaux en jeu.
D'autres critiques s'inquiètent de l'efficacité du Tamiflu et des vaccins. Certains s'interrogent même sur leur nocivité.
D'autres se demandent enfin si, sur fond de crise financière et économique, le phénomène de la grippe A ne viendrait pas à point nommé pour les hommes politiques de tous les continents...?
Sur les 6,5 milliards d'individus que compte la planète, le virus de la grippe A (H1N1) en a tué jusqu'ici moins de 2 000; bien peu au regard des 100 000 personnes qui meurent de faim chaque jour dans le monde. Pourtant, avant même que les vaccins ne soient au point et que l'on soit certain de leur efficacité, des millions de doses ont été commandées par la plupart des pays. La dépense est-elle en rapport avec la menace réelle?
Et comment l'Organisation mondiale de la santé (OMS) établit-elle ses seuils d'alerte? Le 29 avril dernier, elle a en effet décidé de passer au niveau 5 d'alerte pandémique, stade qui permet de débloquer des crédits pour développer des vaccins. Puis, en juin, elle a déclenché le niveau 6, en déclarant la grippe A (H1N1) pandémie mondiale. Quelle est l'influence de l'industrie pharmaceutique sur ces décisions?
Rejoignant la position de Jean Ziegler, membre du Conseil des droits de l'homme à l'ONU, Wolfgang Becker-Brüser, l'ancien directeur du service chargé de la circulation des médicaments à l'Office pour la santé de la République fédérale d'Allemagne, soulève la question des intérêts commerciaux en jeu.
D'autres critiques s'inquiètent de l'efficacité du Tamiflu et des vaccins. Certains s'interrogent même sur leur nocivité.
D'autres se demandent enfin si, sur fond de crise financière et économique, le phénomène de la grippe A ne viendrait pas à point nommé pour les hommes politiques de tous les continents...?
Consom'acteur ou malade de la fièvre acheteuse?
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