Vers une Nouvelle Santé...



A
vec l'arrivée de l'Ere Nouvelle
l'être humain saisit les Trésors de la Terre

et leur utilisation pour le maintien en bonne Santé.


S'ils s'adaptent à l'immense Mouvement des Courants Vitaux sacrés,
alors les êtres humains retrouveront la Santé.


L'Art de la Santé
consiste notamment à trouver

la Force de Guérison dans toutes les plantes.

La Santé Naturelle, ça s'apprend ... Naturellement!

Le véritable Art de Guérir ne s'apprend pas.

S'installer sur une Hauteur peut aider à retrouver la Santé.

Vivre en plein air confère Fraîcheur et Santé.

"Fais du bien à Ton corps
pour que Ton âme ait le désir d'y demeurer..."

- Proverbe Indien -



Rechercher Sur L'art De Vivre Sain

Newsletter L'Art de Vivre Sain

Découvrez les Lois et les Principes de L'Art de Vivre Naturellement en Bonne Santé!

Archives

11 avril 2018 3 11 /04 /avril /2018 16:15
Relation entre autisme et vaccinations

Relation entre autisme et vaccinations

Partager cet article
Repost0
6 avril 2018 5 06 /04 /avril /2018 11:31
La Ligue pour la liberté des vaccinations
a saisi le Conseil d’État

 

Le 26 mars 2018, la Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations (LNPLV) a saisi le Conseil d’État d’un recours en annulation, pour s’opposer au décret d’application de la nouvelle loi relative à l’extension de l’obligation vaccinale. Quels arguments juridiques fait-elle valoir et pourquoi aucun média n'en parle?

Pour rappel, cette loi oblige désormais la mise en œuvre de 11 vaccinations sur les nourrissons avant l’âge de 18 mois, sous peine de refus d’admission ou de maintien dans tous les lieux accueillant des collectivités d’enfants (crèches, écoles, centres de loisirs, etc.). Les arguments juridiques que LNPLV oppose à l’application de la loi sont de plusieurs ordres.

 

La question de la liberté de choix et du consentement

D’abord, l’application de la loi contrevient, selon l’association, au Droit au respect de la liberté de conscience, ainsi qu’au Droit à la vie privée et familiale (Convention européenne de sauvegarde des droits de l’Homme). La loi exclut ainsi pour les parents la possibilité de refuser la vaccination de leurs enfants contre telle ou telle maladie au nom de leur intime conviction et selon les conseils prodigués par leur médecin. Cette loi représente selon l’association une ingérence disproportionnée dans le libre choix des familles, ingérence qui ne se justifie pas au regard de l’intérêt de santé publique réel de la loi.

La LNPLV fait également valoir au Conseil d’État que le droit des parents à consentir aux interventions médicales est inscrit dans la Convention d’Oviedo du 4 avril 1997, et que l’État ne peut restreindre ce droit que si c’est «absolument nécessaire à la protection de la santé publique», ce qu’elle estime ne pas être le cas.

 

La nécessité de santé publique remise en question

La ligue estime à cet égard, avec bien d’autres, que la loi ne répond absolument pas à une nécessité impérieuse de santé publique, puisque parmi les 11 maladies visées par l’obligation vaccinale «figurent des maladies qui ne présentent plus aucun danger actuel (la diphtérie, la poliomyélite), dont le taux d’incidence est très faible et ne concerne pas les nourrissons âgés de moins de 18 mois (l’hépatite B), dont le taux d’incidence est très faible et en diminution (l’Haemophilus Influenza de type B, les infections à pneumocoques, les oreillons, la rubéole), et enfin des maladies qui affichent une moyenne de décès inférieure ou égale à 5 par an» (tétanos, coqueluche, infections à méningocoques C, rougeole). Elle rappelle en outre que, contrairement aux discours alarmistes sur cette question qui ont servi d’argument massue au passage de la loi, le «niveau de couverture vaccinale, pour la plupart de ces maladies, est déjà très élevé».

 

L’exclusion des enfants «pour leur propre intérêt»

Enfin, une des lignes d’argumentation juridique de l’association, constituée en 1954 pour s’opposer au caractère obligatoire de la vaccination, concerne le droit fondamental des enfants à l’instruction, droit qui serait bafoué par les sanctions d’exclusion des enfants non vaccinés prévues par la loi. L’association souligne également que les différentes situations rencontrées par les enfants, en fonction de leur âge et de leur statut vaccinal génèrent une inégalité de traitement et qu’il n’est par ailleurs pas légitime de faire porter sur des enfants les conséquences juridiques des choix de leurs parents.

Ces différents griefs portent donc essentiellement sur les conditions de mise en œuvre de la politique vaccinale décidée par la ministre de la Santé Agnès Buzyn. À cet égard, la LNPLV rappelle que la majorité des États membres de l’Union européenne n’a pas fait le choix de l’obligation vaccinale et que la France est le pays le plus autoritaire des 28 sur ce plan-là. Il s’agit donc, selon l’association, d’un choix plus culturel que scientifique.

 

Après la stigmatisation et la caricature, l’euphémisation et la censure?

Avant le vote de la loi, on s’en souvient, on a assisté à une intense campagne de dénigrement des personnalités et associations opposées à cette loi ou sceptiques sur son utilité, campagne largement relayée par des médias prompts à caricaturer les positions de manière binaire sur une question pourtant complexe.

Le débat sur les raisons et les conditions de l’imposition d’un acte médical non dénué de risques à des millions d’enfants mérite mieux que la construction médiatique du problème («Pour ou contre les vaccins?»). Comme le rappelait encore il y a peu le professeur Didier Raoult, peu soupçonnable d’antivaccinalisme, «on ne doit pas répondre à une question idiote. La vraie question, c’est: “Êtes-vous pour tel vaccin, administré dans telles conditions, à telle population et à tel moment.”. Seule cette interrogation est scientifique. La question virtuelle “pour ou contre les vaccins?” n’a pas d’intérêt» .

Mais une fois la loi passée, le traitement médiatique de la question vaccinale semble s’être quelque peu modifié. Bien entendu, les médias ont continué à exagérer le danger (aussi apocalyptique qu’imaginaire) d’un retour de toutes les épidémies tout en minimisant les risques liés à l’acte vaccinal. Mais lorsque la justice a rendu des décisions en faveur des victimes de vaccins, les médias ont cru nécessaire d’adjoindre sans cesse à leurs comptes-rendus des explications sophistiquées pour en retirer toute portée ou signification autre que strictement juridique.

Après avoir minimisé la portée des décisions de justice sur ces questions, l’étape d’après consiste-t-elle à simplement ne plus évoquer le sujet à moins d’y être contraint et forcé? C’est ce qu’on pourrait se demander lorsqu’on sait que LNPLV, acteur historique sur la question des vaccins a saisi le Conseil d’État le 26 mars dernier, et que depuis et malgré des communiqués de presse à de nombreux médias grands publics… Silence radio. On attend toujours le moindre écho médiatique à cette nouvelle initiative juridique pourtant d’importance...

Qui a besoin d’une loi sur les «fake news» (fausses informations) annoncée avec tambours et trompettes quand les «partial news» (publications n’assumant pas leurs parti-pris idéologiques et se drapant dans une objectivité mensongère) ou le «no news at all» (le choix discrétionnaire de quelques grands médias de faire exister ou non une question dans l’espace public) sont si efficaces?

 

Source: https://www.alternativesante.fr/vaccins/loi-d-obligation-vaccinale-lnplv-a-saisi-le-conseil-d-etat

 

Lire le Communiqué de Presse officiel

 

Partager cet article
Repost0
24 mars 2018 6 24 /03 /mars /2018 22:55
Partager cet article
Repost0
18 mars 2018 7 18 /03 /mars /2018 13:04
Message relayé
L'inévitable s'est produit: Le compteur Linky a provoqué sa première victime

 

L'inévitable s'est produit : le compteur Linky a provoqué sa prémière victime
 
L'inévitable s'est produit : le compteur Linky a provoqué sa prémière victime
 
"Mercredi 7 mars 2018, à Laxou (54), le compteur Linky a assurément fait son premier mort, lequel risque hélas de ne pas rester un cas unique si un coup d'arrêt urgent n'est pas mis au programme d'installation des compteurs communicants.
 
En effet, comme il est rapporté par l'Est Républicain (1), "le locataire occupait seul son logement qui, après le drame, était totalement sinistré. Le compteur électrique fondu témoignait d’un important dégagement de chaleur".
 
Or, comme on peut le constater sur le propre site d'Enedis (2) consacré aux compteurs Linky, ces derniers ont été entièrement déployés à Laxou. C'est donc assurément un compteur Linky qui a causé l'incendie mortel de ce mercredi.
 
Ce n'est hélas pas une surprise puisque depuis des mois, et malgré le déni de réalité de l'industriel Enedis et des autorités, nous ne cessons d'avertir que, parmi les nombreux désagréments causés par les compteurs Linky, les incendies de plus en plus nombreux mettent incontestablement en danger la vie des habitants.
 
Le 20 février, comme rapporté par France Bleu (3), un habitant de Châteauneuf-les-Martigues a frôlé le pire: "J'ai ouvert le coffret et j'ai vu le boîtier vert, le nouveau compteur Linky qui était en train de cramer (…) Tout le rez-de-chaussée a quasiment brûlé (…) on a tout perdu."
 
Et il ajoute des informations qui confirment ce que nous dénonçons depuis des mois: "L'installateur du compteur m'avait expliqué qu'il avait été formé rapidement et qu'il obtenait une prime à la fin du mois s'il installait 10 compteurs par jour, donc il travaille vite et cela ne va pas avec bien".
 
Le 28 janvier, un compteur Linky a pris feu à Saint-Mathieu (87), comme relaté par France Bleu (4)
 
Fin janvier encore, ainsi que l'explique L'Union (5), c'est tout un immeuble qui est mis en danger par des incendies de compteurs Linky.
 
Le 27 novembre, un impressionnant incendie a été causé à Louveciennes (Yvelines) par un compteur Linky qui, heureusement, était situé à l'extérieur du logement (6).
 
Le 24 novembre, ainsi que rapporté par La dépêche, ce sont deux Linky qui ont pris feu dans une résidence de Toulouse (7)
 

Début novembre, comme expliqué par Le Parisien (8), une famille a frôlé le drame et, malgré les dénégations d'Enedis, la responsabilité du Linky est avérée: "Ma femme et notre fils de 4 ans dormaient (…) j’ai entendu des détonations provenant du garage. (…) Des flashs lumineux sortaient du compteur. J’ai alors coupé le disjoncteur mais le compteur [Linky]a carrément pris feu au bout de deux minutes." Le Parisien précise que "La famille a juste eu le temps de sortir de chez elle avant que le garage ne s’embrase. A l’arrivée des pompiers, les flammes gagnaient déjà leur cuisine."

 
Le 14 novembre, ainsi que relaté par La Nouvelle République (9), un habitant explique que "Le compteur Linky s’est consumé, sans flamme. Heureusement que tout était fermé, qu’il n’y avait pas d’air qui circulait, sinon tout aurait brûlé".
 
Le 13 avril, comme relaté par La Marseillaise (10), un Linky a pris feu dans une cave.
 
Il ne s'agit là que de quelques exemples qui ont pu être traités par la presse, mais d'innombrables autres cas sont relatés sur les réseaux sociaux, preuves à l'appui (par exemple: 11)
 
Hélas, Enedis et les pouvoirs publics se réfugient dans le déni, le distributeur étant même accusé par plusieurs victimes de venir au plus vite dès qu'un incendie de Linky est signalé afin de faire disparaitre toutes les preuves et de prétendre, ensuite, que l'incendie provenait d'une autre cause.
 
Nous avons posé depuis plusieurs moins la question: "Faut-il attendre un mort avant que les autorités réagissent enfin?". Désormais, la question est "Au bout de combien de morts le programme Linky sera-t-il enfin stoppé?".
 
Il est en tout cas avéré que, contrairement à ce qu'on a bien voulu nous faire croire, le Président de la République, son gouvernement et sa majorité ont au moins autant de mépris pour la population que leurs prédécesseurs, comme ils le démontrent en continuant à vouloir imposer les compteurs Linky à des millions de citoyens qui n'en veulent pas.
 
Source: Stéphane Lhomme
Conseiller municipal de Saint-Macaire (33)
 
 
Moralité: Alors, une fois de plus - surtout pour ceux qui tiennent à la vie! - halte à LINKYsition! Si vous ne l'avez pas déjà, refusez-le! Si vous l'avez déjà, exigez son retrait de votre domicile et son remplacement par votre "ancien bon vieux" compteur "mécanique"!
 
 
----------------------------------
Notes:
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
(11) Un exemple parmi beaucoup d'autres : https://twitter.com/Donatien_H/status/961248007911067648
 
 
Partager cet article
Repost0
15 mars 2018 4 15 /03 /mars /2018 09:15
Le Pr Belpomme poursuivi
par l’Ordre des Médecins

 

 

C'est là que l'on voit que l'Ordre des médecins - organisation vichyssiste - n'a pas grand chose à faire de la santé des êtres humains, en particulier des électro-sensibles. Pour eux cela n'est pas prioritaire.

En effet, "le Pr Belpomme est inquiété par l’Ordre des médecins pour avoir fait des certificats de contre-indications de pose de compteurs Linky pour des patients atteints d’électro-hypersensibilité.

Les personnes qui refusent la mise en place du compteur "intelligent" Linky et qui redoutent les mauvaises ondes, n’hésitent pas à solliciter leur médecin afin d’obtenir un certificat médical de contre-indication, pour électro-hypersensibilité.

Telle est la constatation des médecins d’EDF et notamment du docteur Jacques Lambrozo.

Parmi la centaine de certificats de contre-indication fournis par les abonnés d’EDF pour refuser le compteur LINKY, la moitié émanait du professeur Dominique Belpomme.

Le Pr Dominique Belpomme, cancérologue parisien, qui se bat pour la reconnaissance de l’électro-hypersensibilité (EHS) en tant que pathologie, se retrouve visé par une procédure disciplinaire de l’Ordre des médecins saisi par EDF/ENEDIS.

Le Conseil national de l’Ordre des médecins a donc déposé une plainte contre le praticien devant la chambre disciplinaire de première instance d’Ile-de-France."

www.next-up.org 19 déc. 2017

Publié dans Morphéus n°86.

 

Partager cet article
Repost0
14 mars 2018 3 14 /03 /mars /2018 15:31

 

La {bonne} Santé des enfants non vaccinés

 

Bien évidemment, les gouvernements, trop souvent de mauvaise foi ou corrompus, se gardent bien d'organiser eux-mêmes de véritables études scientifiques et indépendantes sur le sujet de la santé des enfants non vaccinés en comparaison avec celle de la santé des enfants vaccinés, mais - heureusement! - des organismes indépendants ne se sont pas privés de le faire!

Et voilà - plus que parlants! - les résultats:

 

Etudes sur la Santé des enfants vaccinés et non vaccinés

 

Partager cet article
Repost0
3 mars 2018 6 03 /03 /mars /2018 20:20

Message relayé

Différences entre pro-vaccins et anti-vaccins

Argumentaire à diffuser ou à utiliser pour répondre à qui de droit

"Qui sont les pro-vaccins et les anti-vaccins?

Un pro-vaccins est un croyant.

Il croit ce qu’on lui a dit depuis toujours, sans le vérifier, car comme une croyance religieuse, l’idée même de la remettre en cause, de douter, lui est inimaginable et insupportable. La vaccination est un dogme, il n’est pas besoin de preuves pour y croire, il faut juste avoir la foi et surtout ne pas vouloir vérifier sa validité. C’est ainsi qu’un pro-vaccins croit sans sourciller qu’injecter des poisons reconnus comme tels, en quantité pondérale, peut favoriser la vie; que le mercure et l’aluminium reconnus comme neurotoxiques, sont bénéfiques lorsqu’ils sont injectés à un nourrisson; que d’ajouter du polysorbate 80 pour favoriser le franchissent de la barrière hémato-encéphalique de ces neurotoxiques (et donc envahir le cerveau), n’aura que des effets bénéfiques; que le borate de sodium, stérilisant utilisé en usage vétérinaire, sera anodin plus tard pour la fertilité des jeunes femmes; que les nanoparticules trouvées dans les vaccins pour humains (et pas dans ceux pour animaux), sont là pour le bien exclusif de l’humanité. Tout comme la Nagalase, dont la présence n’est pas signalée non plus, alors qu’elle inhibe les défenses de l’organisme chargées de lutter contre les cellules cancéreuses…

Et, bien sûr, il ne s’étonnera pas que les médecins-chercheurs qui ont découvert la présence de Nagalase aient été physiquement éliminés, tout comme, depuis, une soixantaine d’autres chercheurs aux USA, qui ont voulu dire la vérité sur les vaccins…

Si le pro-vaccins n’a pas la maladie pour laquelle il est vacciné, il y voit une preuve de leur efficacité, même si c’est une maladie qu’il n’a aucune probabilité de rencontrer. Et s’il l’a après la vaccination, il dira que sans le vaccin la maladie aurait été plus grave, ou qu’il lui manquait un rappel…

S’il est handicapé après une vaccination, c’est une coïncidence, et s’il en meurt, sa famille se gardera bien de faire la relation, vu qu’un vaccin c’est sûr et efficace!

Par contre, si un pro-vaccins n’est pas trop endoctriné, s’il a un sens critique au-dessus de la moyenne, tous ces éléments, et bien d’autres, pourront finir par faire de lui un hérétique.

Il comprendra, effaré, que toute cette histoire n’était qu’une formidable imposture; qu’aucun vaccin n’a jamais été à l’origine de la disparition, ni même de la baisse d’une maladie; qu’une campagne de vaccination peut même provoquer une épidémie de la maladie en question; que l’autisme, la mort subite du nourrisson, le syndrome du bébé secoué, notamment, peuvent très bien être la conséquence d’une vaccination

Il peut même découvrir que la rougeole n’est pas la maladie que l’OMS et ses complices nous disent, mais une étape bénéfique pour forger le système immunitaire dans la petite enfance, que la rougeole peut même permettre de guérir des cancers à un stade avancé (maladie de Hodgkin), et même se prendre d’un sérieux doute lorsqu’il apprendra que le biologiste anti-Vaxxer, Stefan Lanka, a parié sur plus de 100 000 $ que la rougeole n'est pas un virus, et qu’il a gagné son pari en Cour fédérale allemande! Et que pensera-t-il en apprenant que Bill Gates, le chantre de la vaccination mondiale, refuse systématiquement de faire vacciner ses enfants?

Un anti-vaccins est une personne qui s’est informée.

Que se passera-t-il alors? Eh bien notre pro-vaccins virera anti-vaccins, et cette fois, non par croyance aveugle, mais sur les bases d’une expérience de recherches et d’études sérieuses du sujet!

Sauf s’il est vraiment atteint d’une mauvaise foi incurable, ou surtout, s’il est aussi corrompu que celles et ceux qui imposent 27 souches vaccinales différentes, sous la contrainte et la menace.

Comme c’est le cas pour la personne qui n’a pas sa place au ministère de la Santé, mais à la prison de la Santé. Ces gens étant informés et compétents, ils ne se trompent pas, ils nous trompent!"

https://www.artemisia-college.info/cessons-dempoisonner-et-dinfecter-nos-enfants.html
https://www.artemisia-college.info/les-vaccins-parlons-en-un-dossier-accablant-les-videos.html
https://www.artemisia-college.info/les-vaccins-parlons-en-un-dossier-accablant-nos-videos.html

 

Partager cet article
Repost0
1 mars 2018 4 01 /03 /mars /2018 23:02
Partager cet article
Repost0
19 février 2018 1 19 /02 /février /2018 23:14
Partager cet article
Repost0
19 février 2018 1 19 /02 /février /2018 20:26

 

Lettre ouverte à Madame le Ministre de la Santé

"Il n'y a pas de plus grand Amour que de donner sa vie pour ses amis."

- Évangile de Jean. -

Voici une lettre ouverte écrite par une femme prête à offrir sa vie (voir aussi sa "Lettre ouverte à Isabelle Adjani") pour en sauver des milliers...
 

"Madame la Ministre,

Vous avez fait voter récemment une loi pour porter de 3 à 11 le nombre de vaccins obligatoires pour les bébés de 2 à 18 mois.

Vous avez soutenu, la main sur le cœur et le sourire en bandoulière, que tous ces adjuvants ne sont en rien toxiques et que les bébés ne risquaient rien.

Vous avez balayé d’un geste large toutes les études indépendantes prouvant le contraire.

Alors pour mettre fin à cette polémique, je me propose de me faire injecter ces 11 vaccins et leurs rappels en quantité calculée par rapport à mon poids et au fait que je suis une vieille dame robuste et non un nourrisson sans système immunitaire, c’est-à-dire  20 doses-nourrisson pour chaque injection de vaccin.

Je vous propose de m’accompagner dans ce test ainsi que tous les député et sénateurs qui ont voté cette loi, les absents qui ont préféré ne pas prendre leur responsabilité sur un sujet aussi brûlant, ainsi que les médecins qui soutiennent votre position sur ces vaccins.

En effet, vous et eux œuvrez pour le bien public et votre réponse ne peut être que de donner l’exemple par un «OUI» franc et massif qui redonnera confiance aux Français. Je vous demanderais de bien vouloir leur faire suivre ma proposition, car je n’ai pas leurs noms et adresses. Si «NON», le doute ne peut que subsister quant à la véracité de vos allégations.

Dans l’attente de votre réponse, veuillez croire, Madame la Ministre, à l’expression de mon profond respect.


Hélène Delafaurie."

 

Sourcehttp://medecines-bizarres.space-blogs.net/blog-note2/103561/lettre-ouverte-a-mme-buzyn.html

 

Voir aussi sa Lettre ouverte à Isabelle Adjani.

 

Voir aussi sa Lettre ouverte aux Docteur Joyeux, Gerhardi, Bodin, etc.

 

Voir aussi sa Lettre ouverte aux parents 2018.

 

Voir aussi la vidéo ci-dessous, en laquelle Hélène Delafaurie fait oralement sa proposition au ministre de la santé...

 

Alors Madame Agnès Buzin va-t-elle se faire injecter
 tous les vaccins qu'elle a rendus obligatoires
pour les nourrissons sans défense?

 

Faites vos pronostics!

 

Cobaye volontaire pour les vaccins

Partager cet article
Repost0
12 février 2018 1 12 /02 /février /2018 15:54

Message relayé

 

Voici une récente infolettre de Xavier Bazin de "Santé-Corps-Esprit":

 

Vaccins: comment "Le Figaro" vous désinforme



"Cher(e) ami(e) de la Santé,

Décidément, les grands médias n’ont aucun scrupule sur le sujet des vaccins.

Voyez plutôt cet article récent paru le 12 janvier dernier dans "Le Figaro":

«Vrai ou faux? 8 idées reçues sur la vaccination contre la grippe»

On va regarder ensemble 3 de ces 8 fameuses «idées reçues» … et je vous promets que vous ne serez pas déçu du voyage!

 

Idée reçue 1: «Le vaccin contre la grippe ne protège pas à 100 % donc il est inutile de se faire vacciner»

Pour le Figaro, cette idée "reçue" est…  «fausse»!

«Même s’il n’est pas parfait, la vaccination reste le moyen le plus efficace de se prémunir de la maladie ou de complications», "explique" le journal.

Ah bon??

Je ne reviens pas ici sur les études scientifiques, je vous ai déjà dit qu’il n’en n’existe pas qui apporte la preuve de l’intérêt du vaccin. [1]

Je voudrais simplement vous donner un chiffre.

Dans les hôpitaux parisiens, seuls 25 % des médecins se vaccinent contre la grippe. [2] Notre «élite médicale» n’a donc aucune confiance dans ce vaccin!

Et si vous avez encore un doute, regardez la tragédie qui s’est produite l’année dernière à Lyon.

Début janvier 2017, 13 résidents d’une maison de retraite médicalisée sont morts, suite à une épidémie de grippe.

Bien sûr, l’État a immédiatement lancé une enquête administrative.

Et voici ce qu’on a découvert: [3]

  • Il y a eu autant de cas de grippes chez les vaccinés que les non vaccinés (66 %, contre 69 %) ;
     
  • Et il y a eu autant de morts chez les vaccinés que les non vaccinés (14,5 % contre 11 %).

Cela confirme ce qu’on sait depuis longtemps:

«Le vaccin contre la grippe a largement prouvé son inefficacité, notamment sur les personnes âgées, qui représentent pourtant le principal groupe à risque» [4], selon le Dr Pascal Büchler, membre du groupe médical de réflexion sur les vaccinations.

Mais ça, bien sûr, vous ne le lirez jamais dans les grands médias français !

Et pour la petite histoire, j’ai même des lecteurs qui m’ont écrit pour me raconter la même expérience, très étonnante:

Marie-Pierre: «Merci pour vos articles. J’ai été vaccinée une seule fois contre la grippe et je n’ai jamais été aussi malade de la grippe que cet hiver-là. Je n’ai donc jamais renouvelé l’opération!»

François Fonty: «Lundi dernier je passe à la pharmacie acheter ma Vitamine C. La pharmacienne me dit: ‘Pensez à vous vacciner’. Certainement pas, je n’ai jamais été aussi malade que la seule fois où je me suis fait vacciner».

Anne: «Je me suis fait vacciner contre la grippe une seule et unique fois en novembre 1997 c’est la seule fois ou je l’ai attrapé. À méditer!»

Jean: «La seule fois où je me suis fait vacciner j’ai attrapé la grippe il y a plus de 30 ans. Depuis je n’ai jamais recommencé et je n’ai plus jamais eu la grippe

Alors bien sûr, ce sont sans doute des "coïncidences", mais avouez que cela fait réfléchir, non?
 

Idée reçue 2: «notre système immunitaire peut combattre seul le virus de la grippe»

«Vrai et Faux», répond le Figaro … et, pour le coup, c’est assez juste.

Si votre système immunitaire est en bon état, la grippe sera juste un «mauvais moment à passer».

À l’inverse, si vous êtes une personne fragile, vulnérable, dont le système immunitaire est affaibli, la grippe peut être très dangereuse.

Mais ce que "Le Figaro" oublie de vous dire, c’est que si votre système immunitaire est affaibli, il est certain que le vaccin sera totalement inefficace!

Rappelez-vous que le vaccin consiste à injecter le virus «tué» ou «atténué». Si votre système immunitaire fonctionne mal, il ne réagira pas au vaccin et ne produira pas d’anticorps!

C’est pour cela qu’on dit que le vaccin contre la grippe fonctionne le mieux (ou le moins mal) pour ceux qui en ont le moins besoin (les adultes en bonne santé).

 

Idée reçue 3: «Les femmes enceintes et les enfants ne doivent pas se faire vacciner car c’est dangereux»

«Faux», répond le Figaro!

Et c’est là que l’article devient profondément dangereux et irresponsable.

Pensez aux scandales de la Dépakine, du Distillbène ou de la thalidomide.

À chaque fois, les laboratoires pharmaceutiques ont recommandé ces médicaments aux femmes enceintes, en leur jurant qu’il n’y avait aucun risque.

Et à chaque fois, on s’est rendu compte des années plus tard que cela avait des conséquences gravissimes pour les bébés à naître!

Ce devrait être un principe de précaution le plus élémentaire que de refuser tout médicament et vaccin non indispensable pendant la grossesse!

Et le pire, c’est que dans le cas du vaccin contre la grippe, on a de bonnes raisons d’être inquiet!

Déjà, certains médecins gynécologues déclarent publiquement redouter un possible «risque de malformation du fœtus». [5]

Pire, une étude récente, parue dans le prestigieux journal médical Vaccine, a montré que le vaccin contre la grippe était associé à des risques de fausse couche!

Les chercheurs ont découvert que les femmes vaccinées contre la grippe avaient un risque plus élevé que les autres de subir une fausse couche dans les 4 semaines qui suivent le vaccin. [6]

Mais ne comptez pas sur "Le Figaro" pour vous parler de cette étude.

Leur objectif n’est pas de vous dire la vérité … mais de vous inciter à vous faire vacciner, coûte que coûte!

La preuve par l’idée reçue suivante :

 

Idée reçue 4: «Le vaccin peut provoquer un syndrome de Guillain Barré»

«Plutôt faux», répond "Le Figaro", sans rougir!

Là, on n’est plus dans la désinformation, mais le mensonge le plus éhonté!

Car c’est noté noir sur blanc sur la notice du vaccin, dans les effets indésirables:

«Névralgie, paresthésie, convulsion accompagnée de fièvre, troubles neurologiques comme encéphalomyélite, névrite et syndrome de Guillain-Barré.»
 

Alors, bien sûr, le risque d’attraper cette maladie reste faible, fort heureusement.

D’après les statistiques officielles, on compte environ 2 cas de Guillain-Barré pour 1 million de personnes vaccinées. [7]

Mais le risque existe bel et bien … et il n’a rien de «théorique»!

Voyez plutôt ce message d’un fidèle lecteur, André R:

«Mon épouse souffre d’un Guillain Barré depuis 6 ans et cela en réaction quasi immédiate à la vaccination contre la grippe (à bannir) heureusement qu’elle a été prise en main par un neurologue. c’est grâce à des injections mensuelles de gammaglobuline (Privigen) que la maladie ne fait pas de nouveaux dégâts, mais elle est toujours présente dans ses membres inférieurs».
 

Conclusion: tous les grands médias sont concernés!

Attention: je n’ai rien contre le journal "Le Figaro".

On trouve les mêmes âneries dans tous les grands médias, à commencer par leur concurrent "Le Monde"! [8]

À chaque fois que vous consultez un média, posez-vous la question de ses conflits d’intérêts:

  • Est-ce que leurs pages de publicité sont payées par des laboratoires pharmaceutiques ou l’industrie agro-alimentaire?
     
  • Est-ce qu’ils sont subventionnés par l’État (donc le pouvoir politique)?
     

La réponse est OUI, dans la plupart des cas … et cela explique bien des choses!

Bonne santé,

Xavier Bazin."

 

Sources: 

[1] Quoi… vous n’êtes pas encore vacciné contre la grippe ? X. Bazin, Santé Corps Esprit, décembre 2017

[2] Pourquoi seuls 25 à 30% des médecins, infirmiers et aide-soignants sont vaccinés contre la grippe, S. Lorenzo, Huffington Post, janvier 2017

[3] L'épidémie de grippe à l'EHPAD, K. Berthelot, Inspection générale des affaires sociales, janvier 2017

[4] Le vaccin contre la grippe divise le monde médical, S, Jaberg, Swiss info, 2012

[5] Le vaccin contre la grippe divise le monde médical, S, Jaberg, Swiss info, 2012

[6] Association of spontaneous abortion with receipt of inactivated influenza vaccine containing H1N1pdm09 in 2010–11 and 2011–12, J. Donahue et al., Vaccine, septembre 2017

[7] Surveillance for Safety After Immunization: Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), W. Zhou et al., Department of Health and Human Services USA government, 2003

[8] LES VACCINS OBLIGATOIRES ET LE JOURNAL LE MONDE, M. de Lorgeril, janvier 2018

 
Partager cet article
Repost0
4 février 2018 7 04 /02 /février /2018 20:15

 

Vaccination - À propos de l’obligation vaccinale

1- L'obligation vaccinale est contraire à la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme: (Article 3): " Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne".

Le 9 juillet 2002, la Cour Européenne des Droits de l'Homme a précisé que la vaccination obligatoire, en tant que traitement médical non volontaire, constituait une ingérence dans le droit au respect de la vie privée et familiale garanti par l'article 8 de la Convention européenne.

2- L'obligation vaccinale est contredite par le Code Civil: (Article 94 653 du 29 juillet 1994) selon "le principe du respect de l'intégrité du corps humain".

3- L'obligation vaccinale est en contradiction avec le Code de Déontologie Médicale: (Article 36): "Tout acte médical requiert le consentement libre et éclairé des personnes".

4- Toute obligation vaccinale est contraire aux arrêts de la Cour du 25/02 et du 14/10/1997 qui expliquent que: "Les praticiens doivent être en mesure de prouver qu'ils ont fourni au patient une information loyale, claire, appropriée et exhaustive, au moins sur les risques majeurs, et la plus complète possible sur les risques les plus légers. Cette information a pour but de permettre au patient de refuser la vaccination proposée en estimant que les risques sont supérieurs aux bénéfices escomptés".

5- Toute obligation est annulée d'office par la loi du 4 mars 2002, article 11, modifiant l'article L1 111-4 du chapitre 1er de la 1ère partie du Code de Santé Publique: "Aucun acte médical, ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment".

Vacciner de force constitue les infractions ou tentatives d'infractions suivantes:

- Emploi ou administration de substances de nature à entraîner la mort, empoisonnement - Article 221-5 du Code Pénal

Administration de substances nuisibles ayant porté atteinte à l'intégrité physique ou psychique - Article 222-15 du Code Pénal

Violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité - Article 221-6 du Code Pénal

Exposition d'autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité - Article 223-1 du Code Pénal

Expérimentation sur la personne humaine sans avoir recueilli le consentement libre et éclairé des titulaires de l'autorité parentale - Article 223-8 du Code Pénal

Abus frauduleux de l'état d'ignorance ou de la situation de faiblesse d'un mineur pour conduire ce mineur à un acte qui lui est gravement préjudiciable. - Article 223-15-2 du Code Pénal

Violation du principe d'indépendance des experts, conflit d'intérêt par une personne dépositaire de l'autorité publique - Article 432-12 et 432-13 du Code Pénal

Trafic d'influence - Article 433-2 du Code Pénal

Non obstacle à la commission d'une infraction et non-assistance à personne en danger - Article 223-6 al. 1 et 2 du Code Pénal

Tentative de ces infractions - Article 121-5 du Code Pénal

https://www.solutions-emailing.com/i/?id=09vcDkuA4as71A8mwfZKmOQhs76HRIwTyMGATqvgKEYsc28U7rIeJsmIRTFzmHoAi2aAhjLHkTw_3d

Théorie du complot: 55% des Français pensent que l'État et les labos sont «de mèche».

À noter: Les moins de 35 ans sont deux fois plus sensibles à cette théorie du complot.

https://fr.news.yahoo.com/th%c3%a9orie-complot-55-fran%c3%a7ais-pensent-letat-labos-
m%c3%a8che-150453089.html

Livre: «Vaccins - Oui ou Non?»

Grâce à une technologie spécifique de microscopie électronique, ils prouvent la présence de nanoparticules de métaux toxiques dans les vaccins, dont on se demande bien ce qui peut la justifier.

Quelles en sont les conséquences pour le corps humain?

NB: Ces chercheurs ont le regret d’annoncer la fin de leur recherche sur les nanoparticules et “nano-maladies”, suite à la décision des autorités italiennes de leur séquestrer leurs microscopes à partir du 28 février 2018...

https://livre.fnac.com/a10986012/Stefano-Montanari-Vaccins-Oui-ou-Non

 

Partager cet article
Repost0
1 février 2018 4 01 /02 /février /2018 17:28
Où se trouve la véritable maltraitance?

Sortir du conflit!

En France, en plus de leurs bébés nés en 2008 empoisonnés à petit feu avec les 73 bombes à retardement que sont les 73 vaccins obligatoires (voir articles précédents) depuis le 1er janvier 2018, beaucoup de parents vont eux-mêmes se rendre malades du fait du conflit dans lequel ils se trouvent maintenant entre l'obligation légale de faire ou de laisser empoisonner leurs enfants avec des produits toxiques ou dangereux et le devoir de protection qu'ils doivent à des enfants innocents incapables de se protéger eux-mêmes vis-à-vis des visées et des menées - au mieux irresponsables, au pire criminelles - des laboratoires pharmaceutiques et des politiciens à leur solde.

La "novlangue", aujourd'hui dominante dans le discours public, est l'art de subvertir toutes les notions. Désormais, un père ou une mère responsables qui protègent leurs nourrissons face à l'inoculation de vaccins poisons sont considérés par la loi, les tribunaux et la société comme des parents maltraitants, risquant des années de prison et des dizaines de milliers d'€uros d'amende, alors que ceux qui les maltraitent effectivement en leur faisant ou laissant injecter ces produits dangereux avec la "bénédiction" générale sont considérés comme de bons parents: Le monde à l'envers!

Le procès de Nüremberg a permis de juger les "médecins" nazis qui considéraient les prisonniers des "camps de concentration" comme des sujets d'expériences, à qui toutes sortes de substances plus ou moins toxiques étaient administrées à des fins d'expérimentation. Les juges ont alors estimé qu'aucune substance ne peut être administrée à un être humain sans son consentement ou, s'il s'agit d'un mineur, celui de ses parents. Sinon, c'est un viol coupable, lequel doit être condamné et réprimé, en tant que tel, par la loi.

Pour sortir de ce terrible conflit de devoir choisir entre une maltraitance supposée mais qui, en réalité, est l'expression de leur devoir de protection de leurs enfants, et une maltraitance réelle mais qui constitue un empoisonnement désormais ordonné par la loi et les autorités -, les parents actuels ayant, en France, à partir de maintenant, des enfants-bébés à naître dans leurs foyers, n'ont plus qu'un seul chemin d'ouvert: celui de la contre-attaque!:

Plainte pénale contre les vaccinations obligatoires.

 

Partager cet article
Repost0
31 janvier 2018 3 31 /01 /janvier /2018 13:30

Message relayé

 

Plainte pénale contre les 73 vaccins obligatoires:

Rejoignez les 1000 premiers plaignants!

 

Résistons!

 

 

Alors que rien ne le justifie, le gouvernement français actuel a décidé (ce fut même sa première mesure) d'imposer à nos enfants l'inoculation de nouveaux vaccins obligatoires, dès l'âge de six semaines et jusqu'à 18 mois!

 

Rien d'avouable ne peut justifier une telle décision: ni la recherche scientifique, ni le moindre risque épidémique et encore moins l'efficacité thérapeutique desdits vaccins!

 

Il y a une certitude, c'est qu'il ne faut pas croire la ministre de la santé, Agnès Buzyn, lorsqu'elle parle de la vaccination et de la prétendue absence de dangerosité des «11» vaccins!

 

En fait de «11», ce sont 73 vaccins qui vont être injectés dans les muscles (et sans doute dans les capillaires sanguins pour certains) des 800 000 nourrissons à naître en France en 2018!

 

73 vaccins entre 6 ou 8 semaines et 18 mois, alors qu'aucun risque épidémique ne menace la France, et encore moins l'humanité, et que scientifiquement rien ne justifie une telle vaccination de masse!

 

73 vaccins avec leurs métaux lourds neurotoxiques, comme de l'aluminium et du mercure, ou avec leurs substances chimiques, comme le formol, aux effets parfois mortels.

  

Ils violent nos droits fondamentaux d'être humain!

 

Le «libre consentement éclairé», principe médical éthique universel reconnu en 1947 dans la foulée du deuxième procès de Nuremberg, qui jugea les médecins nazis pour leurs crimes expérimentaux sur des êtres humains, semble n'avoir aucune importance à leurs yeux.

 

Ce principe est jeté aux orties par la ministre de la Santé, Agnès Buzyn et les partisans des «vaccins-à-tout-prix-et-quoi-qu'ils-contiennent».

 

Rappelons qu'au Canada et que dans la plupart des Etats des USA, chaque citoyen peut s'opposer à la vaccination obligatoire au nom de sa liberté de conscience ou de sa religion!

 

 Les vaccins seraient "sûrs et sans danger…".

 

Allez dire cela aux Philippins qui comptent depuis décembre 2017 les enfants morts après la vaccination massive contre le virus de la dengue avec les vaccins français du groupe Sanofi-Pasteur!

 

Rappelons-nous des discours «officiels» lors des affaires de l'amiante ou du Médiator®.

Les «scientifiques» en place, les «journalistes santé», les responsables politiques et les représentants du lobby de l'amiante ou du lobby pharmaceutique, nous chantaient à l'unissons, la main sur le cœœur et la voix suave: «L'amiante? Cela n'a jamais déclenché le moindre cancer (on attend encore plus de 100 000 morts dans les prochaines années)», «le Médiator®? Jamais fait de mal à personne (les «experts» officiels prévoient 1800 morts)».

 

Mais n'oublions pas que ce qui est en cause aujourd'hui, ce n'est pas le principe de la vaccination, ce sont:

 

les substances utilisées pour fabriquer ces «vaccins», potentiellement mortelles ou en tout cas susceptibles de provoquer de graves maladies neurologiques, en particulier les adjuvants à base d'aluminium, ou des substances chimiques comme le formol;

la «pertinence» physiologique de vacciner des nourrissons dès six ou huit semaines;

l'absence la plus élémentaire d'évaluation des risques pour chaque nourrisson, pris individuellement (les bébés ne sont pas des machines identiques au service des profits des laboratoires pharmaceutiques et de leurs obligés, qu'ils soient politiciens ou «journalistes santé»);

le remplacement du principe de précaution par celui du «bénéfice-risque» au service des laboratoires: augmentation maximum de leurs bénéfices et risque nul puisqu'en cas d'effet secondaire, y compris dramatiques, c'est l'Etat (Oniam), c'est-à-dire nos impôts et taxes, qui indemnise les victimes (si elles sont encore vivantes après des années de procédures!);

la vaccination de masse qui nie les particularités individuelles qui rendent certains nourrissons allergiques à toute vaccination.

 

Et, enfin, ce qui est en cause, ce sont nos droits de femmes et d'hommes libres d'être responsables de nos corps face à la dictature des laboratoires pharmaceutiques qui se met en place.

 

Et à ce jour, personne n'a pu nous expliquer pourquoi on rend obligatoire aujourd'hui l'extension de la vaccination, alors qu'en septembre 2014, les autorités médicales en recommandaient l'abandon pur et simple?

 

Si vous partagez notre combat, si le sort des 800 000 bébés à naître en 2018 ne vous est pas indifférent, si vous n'acceptez pas la violation de nos droits fondamentaux d'être humain, rejoignez-nous, il y a urgence!

 

Maître Serge Lewisch va, très prochainement, transmettre au procureur de la République les 1000 premières plaintes pénales signées.

 

Nous vous proposons de nous rejoindre en signant à votre tour cette plainte pénale complétée des événements les plus récents (nous ne cesserons d'envoyer les nouvelles au procureur de la République).

 

Soyons, 5 000, soyons 10 000, soyons encore plus nombreux à nous opposer fermement à ce «crime contre l'immunité», pour reprendre l'expression d'Isabelle Adjani!

 

Pour résister avec nous, il vous suffit de:

  1. Télécharger, de lire la plainte pénale avec attentionCliquez ici pour la plainte pénale;
  2. Imprimer et de signer la dernière page de la plainte pénale;
  3. Télécharger et d'imprimer et de le remplir (renseignements sur l'état civil, etc.): Cliquez ici pour le formulaire;
  4. De faire une copie de votre pièce d'identité;
  5. De numériser ces trois documents;
  6. De nous les renvoyer par e.mail à l'adresse suivante:  "vaccination-plainte-penale1801@gcpww.org" ou par courrier à l'adresse suivante: Maître Serge Lewisch, 132, boulevard du Montparnasse - FR 75014 Paris.

 

  Bien à vous et très amicalement.

 

Sophie Guillot, porte-parole du collectif «Ensemble pour une Vaccination Libre»  contact@epvl.eu

Pierre Lefevre, porte-parole du collectif «Libre consentement éclairé» lefevre@gcpww.org

 

Résistons!

Nous rappelons que notre petite équipe et totalement bénévole et que Maitre Serge Lewisch (sergelewischavocat@gmail.com) nous représente pro bono (gratuitement) jusqu'au dépôt des plaintes au Procureur.

 

Si d'autres procédures sont nécessaires par la suite, comme celle de faire nommer un juge d'instruction, chacun sera sollicité par avance pour son accord et jamais il ne vous sera demandé la moindre somme d'argent sans que vous en ayez donné formellement l'autorisation avant.

 

Résistons!

 

Rappel:


Notre action est soutenue par MEDECINE & PHARMACOPEE CHINOISES FRANCE qui se met bénévolement à notre service pour la gestion administrative de notre collectif.

Vous pouvez soutenir notre action en faisant un don, même pour 1 euro!

Par virement bancaire:

IBAN: FR76 1820 6002 5765 0396 8037 242 – BIC: AGRIFRPP882
RIB: BANQUE: 18206 GUICHET: 00257 N° de COMPTE: 65039680372 CLÉ: 42
DOMICILIATION: PARIS ORDENER (00257)
TITULAIRE DU COMPTE: ASSOC. MÉDECINE ET PHARMACOPÉE CHINOISE FRANCE
Par chèque à l'ordre de: «ASSOCIATION MÉDECINE ET PHARMACOPÉE CHINOISE FRANCE».

 

Adressé à:

M&PCF
C/O Maître Serge Lewisch
132 bld du Montparnasse
75014 Paris

 

 
 
Partager cet article
Repost0
27 janvier 2018 6 27 /01 /janvier /2018 18:21
Partager cet article
Repost0
22 janvier 2018 1 22 /01 /janvier /2018 22:33

Message relayé

Bonjour à tous,

Quand les autorités font preuve d’inertie ou réforment au bulldozer, ignorent la parole des patients et leurs droits, ou refusent de s’attaquer à la question des conflits d’intérêts dans la santé, le seul recours qui reste parfois est l’appel à la justice et aux tribunaux.

C’est dommage de devoir en arriver là, mais il semble que ce soit la seule manière de se faire entendre ces temps-ci au pays du «dialogue social». Avec l’aide d’avocats, des patients et des citoyens courageux (dont un certain nombre de nos lecteurs) tentent en ce moment même de faire entendre leurs voix et leurs droits. Petit panorama des initiatives de ce début d’année.


Levothyrox

Depuis le scandale Levothyrox de l'été dernier et face à l’incurie des pouvoirs publics dans la gestion des effets indésirables de la «nouvelle formule», plusieurs plaintes ont été déposées. Après les 1 200 personnes autour de l’Association Française des Malades de la Thyroïde (AFMT) portant plainte pour «non-assistance à personne en danger» et «mise en danger de la vie d’autrui» en septembre dernier, 23 patients ont attaqué récemment en référé les laboratoires Merck à Toulouse pour «préjudice d’anxiété», du fait d’un défaut d’approvisionnement du Levothyrox ancienne formule (Euthyrox). Car malgré les effets d'annonce du ministère en octobre dernier, l'ancienne formule ne représentait en décembre dernier que 0,5% des produits à base de lévothyroxine en pharmacie.

Lorsqu'on connaît les effets indésirables expérimentés par certains, on comprend qu'ils soient prêts à faire des centaines de kilomètres pour aller acheter l'ancienne formule à l'étranger. Déboutés par la justice le 10 janvier dernier, car ils n’avaient pas pu prouver la difficulté de se procurer le médicament, les plaignants se tourneront vers un autre tribunal après avoir fait la tournée des pharmacies locales en présence d’huissiers...

Enfin, à l’initiative de l’association Alerte Thyroïde, des manifestations sont bientôt prévues à Lyon, Montpellier et Saint-Denis devant les sites de l’Agence du médicament (ANSM) pour obliger l’État à rendre l’ancienne formule disponible à tous.

Plus de renseignements:
Association Française des malades de la Thyroïde


Maladie de Lyme

D’ici la fin du mois janvier, ce sont plus de 300 personnes atteintes de la maladie de Lyme qui porteront plainte au pénal contre le Centre national de référence des Borrelia (CNR) et l’ANSM, notamment pour «mise en danger de la vie d’autrui», «abus de biens sociaux» et «violation du principe d’indépendance des experts et du principe d’absence de conflits d’intérêts».


Dans leur collimateur, notamment, l’inefficacité du test ELISA actuellement utilisé pour dépister cette maladie transmise par les piqûres de tiques. Ce test, conçu à partir de souches américaines de la bactérie plutôt qu’européenne, a été décrit par le professeur Perronne spécialiste de la question comme « bon à jeter à la poubelle ». Contrairement aux tests vétérinaires (plus performants !), le test humain ELISA ne détecte en effet que 3 à 5 bactéries pouvant causer Lyme, alors qu’il en existe plus d’une dizaine. Les associations de victime réclament de longue date de meilleurs outils diagnostics et des traitements plus adaptés, mais sans succès.

Et lorsque des médecins ou pharmaciens consciencieux sortent des recommandations officielles en faisant faire un test complémentaire en parallèle (le Western Blot), ils sont fréquemment poursuivis pour escroquerie par la Caisse primaire d’Assurance Maladie. C’est ce qui avait valu à Viviane Schaller d’être condamnée à neuf mois de prison avec sursis et à fermer son laboratoire d'analyse médicale. Même harcèlement des autorités, soit dit en passant, lorsque les médecins s'aventurent à prescrire autre chose que les (notoirement insuffisantes) trois semaines d'antibiotique règlementaires (par exemple voir l'affaire Tic Tox).

Pourquoi, alors, cet acharnement des autorités à prescrire uniquement un test non fiable ? Pourquoi laisser des milliers de malades de Lyme dans l’errance médicale, au risque qu’ils se retrouvent, comme certains d’entre eux, internés en hôpital psychiatrique du fait que les symptômes dont ils se plaignaient ne correspondent pas aux résultats peu fiables du test ELISA? Les avocats d’Epinal en charge de la plainte ont là-dessus une petite idée... ils constatent une certaine «consanguinité» entre les fabricants dudit test de dépistage et l'organisme officiel censé en évaluer l’efficacité et suspectent de possibles liens d’intérêts.
 

Plus de renseignements :
Voir aussi notre dossier "La menace Lyme"


Compteurs Linky
 
Comme nous vous l’expliquions il y a peu, des procédures judiciaires sont en préparation contre ENEDIS, la filiale d’EDF, pour s'opposer à la pose des nouveaux «compteurs intelligents», suspectés d’amplifier ou de générer des problèmes d’électro-hypersensibilité (EHS).

Ici aussi, les patients sont sans recours et l’errance médicale est de mise, puisque le ministère de la Santé s’abrite derrière «l’absence de diagnostic validé» pour surtout ne rien faire, et orienter les personnes vers des prises en charge exclusivement psychologiques, une situation dénoncée de longue date par des associations comme le PRIARTEM. Celle-ci réclame avec d’autres des protocoles de diagnostic et de prise en charge médicaux concrets, par exemple inspirés de ceux de l’Association des médecins autrichiens ou de l’Académie Européenne de Médecine Environnementale.

En France, bien entendu, on préfère la chasse aux sorcières plutôt que d'encourager le financement public de recherches pour mettre au point des diagnostics fiables. C’est ainsi que le directeur des études scientifiques d’EDF et la Direction Générale de la Santé ont alerté l’Ordre des médecins quant aux pratiques du fondateur et président de l’ARTAC, le Docteur Belpomme, un des seuls médecins en France à prendre en charge les EHS. L’Ordre des médecins a instruit une plainte contre lui en décembre dernier, au motif qu’il fournissait des certificats médicaux standardisés de «Syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques (Sicem)» sur la base d’un examen de type Doppler du cerveau insuffisamment éprouvé («encéphaloscan»). Ces certificats étant ensuite utilisés par les EHS pour s’opposer à l’installation du Linky chez eux, on comprend que le professeur Belpomme soit rapidement devenu «l’homme à abattre»...

On comprend aussi, dans ce contexte, pourquoi les avocats actuellement engagés dans la bataille contre le Linky souhaitent soumettre leurs plaignants à des protocoles objectifs de mesure de leurs préjudices de santé (constatés par huissiers) avant d’engager une procédure contre le géant ENEDIS.

Plus de renseignements :
Association P.R.I.A.R.T.E.M Électrosensibles de France


Loi sur l’extension de l’obligation vaccinale

Après les pétitions, les manifestations, les rendez-vous au ministère de la Santé contre cette loi, et les différents argumentaires montrant son inutilité ou sa dangerosité, voici donc venu le temps de la judiciarisation. Bien décidé à ne pas se laisser intimider par le passage en force du gouvernement, le collectif EPVL (Ensemble pour une Vaccination Libre) portera plainte contre X au pénal dès la publication du décret d’application de la loi, c’est-à-dire d’ici la fin du mois de janvier. Notamment pour les infractions suivantes: «violation du principe d’indépendance des experts et trafic d’influence», «administration de substances nuisibles ayant porté atteinte à l’intégrité physique ou psychique» ou «expérimentation sur la personne humaine sans avoir recueilli le consentement libre et éclairé des titulaires de l’autorité parentale». Le collectif invite ses adhérents ainsi que toute personne le souhaitant à se joindre à la plainte (aucun coût engagé) qui rassemble d’ores et déjà plus de 1000 personnes.

Plus de renseignements :
Plainte d'EPLV

Alternative Santé soutient et soutiendra bien sûr toutes ces initiatives qui défendent, en réalité, nos droits à tous. C’est comme vous le savez dans notre ADN d’être au côté des Impatients de tous bords ! Bravo et merci à tous pour votre courage et votre ténacité, c'est du baume au cœur en ce début d’année.
 

Arnaud Lerch
Alternative Santé"

Partager cet article
Repost0
20 janvier 2018 6 20 /01 /janvier /2018 11:00

Message relayé

(N.B.: Une bonne partie des enrichissements du texte - soulignements, surlignements, couleurs, gras, italiques - sont de LADVS.)

 

11 vaccins: Appel urgent
aux personnels et professionnels

de santé

"Chers collègues, chères consœurs, chers confrères,
 
La nouvelle loi, une erreur grave de santé publique

La nouvelle loi qui impose 11 vaccinations aux enfants est une grave erreur de santé publique. Elle a été amplement évoquée par la presse.

Nous, professionnels de Santé, prescripteurs et/ou vaccinateurs sommes engagés par la loi sur une voie qui pourrait se retourner contre certains de nos propres patients, contre notre profession, et contre nous-mêmes.

Vous allez comprendre pourquoi. Cet Appel souligne des éléments importants sur le sujet. Lisez-le attentivement avant d’accepter de le signer.

Nous ne sommes pas contre les vaccins: nous sommes opposés aux vaccinations systématiques et trop nombreuses avant l’âge de 2 ans.

Ces pratiques exposent les petits enfants à des complications, car leur système immunitaire n’est pas prêt à recevoir tant d’agressions antigéniques.

C’est ainsi que l’on peut craindre:

  • Des morts subites du Nourrisson, même si elles sont rares;
     
  • Des maladies auto-immunes chroniques graves et handicapantes dans les années suivantes particulièrement du fait de la présence de quantités trop importantes de l’adjuvant aluminique dans la composition de la plupart des vaccins;
     
  • Des risques de cancers particuliers, des os, des muscles, des cartilages.. que sont les sarcomes, extrêmement graves chez des adolescents et adultes jeunes, détectés déjà chez les animaux recevant des vaccins avec l’adjuvant aluminium.
     
Vous êtes personnellement concerné si vous êtes:
  • Médecins et Chirurgiens généralistes ou spécialistes,
     
  • Internes des hôpitaux, quelles que soient les spécialités,
     
  • Étudiants en médecine, pharmacie, kinésithérapie,
     
  • Pharmaciens d’officine ou d’industrie,
     
  • Sages-femmes, infirmières-infirmiers et autres personnels de santé
     
  • diplômé ou en formation.
     

Si vous appartenez au grand public, hors des professions de santé, n’hésitez pas à proposer ce texte à ceux qui vous soignent. Ils sont plus que jamais concernés et responsables.

Cet Appel est lancé par deux professeurs de médecine:

 

Pr Luc Montagnier
 

Pr Henri Joyeux
Le Pr Luc Montagnier  

Prix Nobel de Médecine pour la découverte du Virus de l’Immunodéficience Humaine
 
Pr Henri Joyeux  

Prix International de Cancérologie pour ses travaux en Nutrition
 
Voici 3 décisions d’une extrême gravité.
  • Tout enfant né en France à partir du 1er janvier 2018 doit désormais obligatoirement recevoir avant ses 2 ans onze vaccins, contre trois auparavant.
     
  • Les enfants non-vaccinés n’auront plus accès aux établissements d’accueil collectif à compter du 1er juin 2018.
     
  • Les parents réfractaires ne relèvent plus désormais du Code de la santé publique, mais du Code pénal relatif à la santé de l’enfant qui prévoit une peine beaucoup plus lourde: deux ans de prison et 30 000 euros d’amende.
     

Aucune consigne spécifique n’est donnée concernant l’état immunitaire des enfants. Rien n’est dit pour promouvoir l’allaitement maternel, – en respectant le choix de la mère -, pourtant recommandé par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et qui apporte pourtant la meilleure protection naturelle [1]. L’allaitement permet de reporter les vaccinations au-delà de deux ans, si les parents sont en bonne santé.

Cette augmentation brutale du nombre de vaccins obligatoires, et des sanctions, est présentée par la ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn, comme le moyen de «rétablir la confiance des Français» dans la vaccination.

Il s’agit d’un CONTRE-SENS de Santé publique, dont la ministre – soutenue de fait par les fabricants de vaccins – veut rendre responsable les familles.

Cependant:

  • Le procédé est-il scientifique? Est-il médicalement justifiéEst-il finalement si démocratique?
     
  • Est-il respectueux du principe de précaution et du droit français et des traités internationaux souscrits par la France?
     
  • Est-il bénéfique à la santé des enfants concernés, et du public en général??
     

Le dispositif mis en place par la loi est malheureusement plus que douteux, entaché de flou, voire d’opacité.

Les familles vont-elles devoir nous demander, avant toute vaccination, un certificat de responsabilité en cas de complications?

Pour les 11 maladies, le nourrisson devra recevoir avant ses 2 ans au moins quatre injections intramusculaires, sans compter les rappels:

  • 1 injection hexavalente contre Diphtérie-Tétanos-Polio-Coqueluche-Haemophilus Inflenzae b et Hépatite B;
     
  • 1 injection contre Rougeole-Oreillons-Rubéole (3 virus atténués);
     
  • 1 injection contre le Méningocoque C;
     
  • 1 à 2 injections contre les Pneumocoques: un vaccin contre 13 sortes de pneumocoques (vaccin dit 13-valent) et un vaccin contre 23 sortes de pneumocoques (vaccin dit 23-valent).
     
Pourquoi votre action est importante aujourd’hui

Nous, Professeur Luc Montagnier et Professeur Henri Joyeux, lançons aujourd’hui cet Appel à nos confrères et à tous les personnels de santé de France, à cause d’un danger encore plus immédiat qui vous concerne personnellement en tant que professionnel de santé.

En tant que professionnel de santé, vous restez ultimement la seule personne responsable de tous les actes que vous pratiquez sur vos patients.

Aujourd’hui, la ministre de la Santé laisse entendre que l’Etat français «couvrira» tous les cas d’accidents ou effets secondaires liés aux vaccins.

Cependant, demain, les nouvelles lois sur les «recours collectifs» («class actions») menées par des associations de patients, pourraient vous rendre vulnérable à des poursuites judiciaires à titre personnel, avec des conséquences potentiellement dramatiques autant pour votre vie professionnelle que personnelle.

Cela est d’autant plus vrai que les laboratoires fabricants se sont dégagés de leur responsabilité, alors même que leurs vaccins n’ont pas subi tous les tests qui sont exigés pour les médicaments qui doivent obtenir une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché).

Les effets des onze vaccins sur le système immunitaire immature des enfants de moins de deux ans et dès la 6ème semaine de vie portent en eux-mêmes de nombreuses questions auxquelles la Science n’a pas répondu à ce jour, en particulier dans l’apparition de maladies inflammatoires chroniques ou auto-immunes.

Il sera très compliqué de soutenir l’inverse devant la Justice: plusieurs jugements y compris au niveau européen ont déjà condamné des laboratoires suite à des maladies relevant de l’aluminium comme la myofasciite à macrophages mais aussi d’autres maladies comme la sclérose en plaques (vaccin hépatite B).[2]

Actuellement, une procédure est en cours devant le Conseil d’Etat, à la demande de 3055 personnes pour faire retirer l’adjuvant aluminique présent dans les vaccins obligatoires et le remplacer par le phosphate de calcium. La ministre de la Santé doit répondre au plus tard le 15 janvier 2018 devant le Conseil d’État.

Les possibles conséquences négatives de l’obligation vaccinale généralisée pourraient exposer les professionnels de santé à des actions judiciaires aux fins d’obtenir des dommages et intérêts en cas d’accident. Elles pourraient être examinées demain par la Cour européenne des droits de l’Homme.

C’est pourquoi nous vous invitons à vous positionner officiellement à nos côtés pour demander au Gouvernement des éléments scientifiques supplémentaires pour justifier sa décision.

Il ne s’agit en aucun cas de nous opposer à la politique vaccinaleou d’encourager un quelconque mouvement de «résistance aux vaccins», et encore moins de contester l’efficacité des vaccins pour endiguer les maladies infectieuses. Aucun thérapeute sérieux ne peut contester l’efficacité de la vaccination dans de nombreux cas.

En revanche, il s’agit de faire part aux Autorités de nos interrogations, et nos sérieuses réservescar notre préoccupation prioritaire est le bien-être et la santé des nourrissons.

Imposer les onze vaccins ne correspond pas, à l’origine, à une quelconque nécessité de santé publique.

Contrairement à ce qu’affirment les autorités, il n’y a pas de baisse de la «couverture vaccinale».

Pour justifier sa décision, la ministre de la Santé a, en effet, évoqué à plusieurs reprises «une couverture vaccinale qui ne cesse de baisser».

C’est inexact.

Les données officielles de Santé publique France indiquent le contraire: en 2015, la couverture des enfants de 2 ans contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, et Haemophilus influenzae b, dépassait les 95 %, alors qu’elle oscillait entre 87 et 91 % entre 2000 et 2013.

Les taux de couverture pour les autres vaccins [3] progressaient également. La primo-vaccination du nourrisson (3 doses) atteignait 98 % ou plus pour le DTP [4] ce qui est «très élevé et conforme aux objectifs de santé publique», selon l’organisme.

Si le gouvernement rend obligatoire aujourd’hui onze vaccins au lieu de trois, c’est pour une raison parfaitement connue, qui relève d’un tout autre registre que celui de la médecine pure.

Il s’agit de contourner une DÉCISION du Conseil d’Etat, une juridiction administrative et non médicale, qui concernait l’ancienne ministre de la Santé.

En effet, le 8 février 2017, le Conseil d’Etat, juridiction administrative suprême, a demandé au ministère de la Santé «dans un délai de six mois, et sauf à ce que la loi évolue en élargissant le champ des vaccinations obligatoires, de prendre des mesures ou de saisir les autorités compétentes pour permettre de rendre disponible des vaccins correspondant aux seules obligations».

Ces vaccins «correspondant aux seules obligations» étaient en l’occurrence le DT-Polio seul qui a fait ses preuves et que les familles réclament. La pétition que l’un de nous a lancée http://petition.ipsn.eu/penurie-vaccin-dt-polio/ sur ce sujet a été signée par 1 138 888 personnes sans la moindre publicité des grands médias, bien au contraire.

Mais le DT-Polio seul n’était plus disponible en 2008, – par calcul et entente entre les fabricants -, et dans l’indifférence criante des Autorités, qui ont laissé s’écouler les stocks dans les pharmacies en 7 ans. Le DTP n’existait plus que couplé à d’autres vaccins ce qu’on appelle un vaccin multivalent.

Pourquoi avoir choisi cette voie quand la loi alors en vigueur, reposant sur des bases scientifiques non controversées, prévoyait le DTP seul?

En somme l’obligation des onze vaccins permet d’aligner la législation sur les vaccins avec l’état de fait imposé par les fabricants, qui ont rendu introuvable le simple DTP en pharmacie, sans tenir compte de l’exigence des familles.

Signez cet l’APPEL À LA RAISON pour défendre l’intérêt de vos patients et exiger des Autorités un débat sur des bases sérieuses exclusivement médicales et scientifiques, hors des fabricants et de leurs affiliés.

 
Pas de justification scientifique ni médicale sérieuse pour le choix des onze vaccins

Les onze vaccins désormais obligatoires étaient jusque-là recommandés sur le calendrier vaccinal, par les Autorités, sur la base de données scientifiques qui n’ont pas été remises en question; c’est plus qu’une nuance.

Toutefois, ils ne correspondent pas forcément à des maladies représentant un risque significatif pour TOUS les enfants.

Le Premier ministre Édouard Philippe a invoqué dans son discours de politique générale de juillet 2017 les dix décès causés par la rougeole entre 2008 et 2016 pour justifier l’obligation de vaccin contre la rougeole.

Cependant, comme lui a répondu le Collège national des généralistes enseignants (CNGE), la majorité des personnes décédées souffraient d’un déficit immunitaire contre-indiquant cette vaccination. Faut-il croire que le Premier ministre n’ait pas été informé de cela par ses conseillers?

Où est la logique? Nous médecins, comment pouvons-nous encore nous justifier, rester crédibles face à nos patients qui nous demandent des explications??

Et ce n’est pas tout. Pourquoi avoir rendu obligatoire la vaccination contre l’hépatite B et le méningocoque C?

– L’hépatite B est une maladie qui ne se transmet que par le sang et les contacts sexuels. Le vaccin est donc utile chez les enfants dont un parent est porteur du virus. Or, il y a un dépistage obligatoire pour la mère à la fin du 2ème trimestre de la grossesse.

Ce vaccin est inutile chez au moins 95 % des nourrissons. Pourquoi leur faire courir le risque, même très faible, d’effets indésirables, s’il n’y a aucun bienfait en contrepartie?

Selon les experts, la durée de protection contre le VHB reste incertaine, elle serait longue (>15 ans): actuellement, aucun rappel ne semble nécessaire. C’est donc au-delà de 15 ans qu’il faudrait vacciner et uniquement celles et ceux qui courent des risques par leurs comportements ou par leur profession.

Enfin affirmer qu’avec le vaccin contre l’hépatite B, il n’y a pas d’atteinte neurologique avant 2 ans, ne préjuge pas d’atteinte plus tardive, quand on sait qu’il y a 25 cas de sclérose en plaques (SEP) de plus chaque année (700 enfants au total en France), commençant vers 6 ans et dans un âge moyen de 11-12 ans.

Une étude épidémiologique rigoureuse s’impose pour comparer les cas de SEP avec la vaccination contre DTP seul, et depuis la diffusion de l’Hexavalent recommandé. Nous l’attendons.

– Les infections à méningocoque C sont à risque infinitésimal en temps normal. La vaccination ne devrait être envisagée qu’en cas de risque d’épidémie avéré. En dehors de ce cas, dans une lettre ouverte aux députés, des confrères médecins généralistes estiment que: «la vaccination universelle contre le méningocoque C risque de provoquer plus d’effets indésirables graves chez les nourrissons que de bénéfices dans la population générale. [5]». Nous partageons leur position.

On connaît actuellement 27 maladies bactériennes, 27 maladies virales, 10 maladies parasitaires, 2 maladies mycobactériennes. La décision de vacciner contre certaines, et pas d’autres, nécessite un débat scientifique qui n’a pas eu lieu.

Il y a cependant une logique, mais elle n’est pas d’ordre médical, ni scientifique.

C’est une «logique» administrative qui arrange les Autorités, sans parler des laboratoires pharmaceutiques.

Mais cette «logique» entraîne pour nous, professionnels de santé, une insécurité juridique importante. En nous y conformant, nous nous mettons en opposition avec la loi française et avec le droit international, comme vous allez le vérifier!!

Non-conformité de l’obligation vaccinale de la loi française avec le droit international

En 2005, l’Unesco a adopté la Déclaration Universelle sur la Bioéthique et les Droits de l’Homme avec un consensus de 193 pays dont la France. Elle stipule que toute intervention médicale préventive ne doit être effectuée qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé, de la personne concernée et fondé sur des informations suffisantes.

Ce n’est évidemment pas le cas de la vaccination obligatoire qui est imposée aux parents sous la menace de sanctions pénales et d’exclusion discriminatoire des collectivités (exclusion des écoles et crèches à compter du 1er juin 2018). Ainsi les enfants fragiles dans les suites de chimiothérapie, ou les poly-allergiques, qui ne peuvent, ne doivent pas être vaccinés, seront-ils exclus à jamais des collectivités? Rien ne l’indique.

D’autre part, la Déclaration Universelle sur la Bioéthique et les Droits de l’Homme prévoit dans son article 2 que le «seul intérêt de la Science ou de la Société ne doit pas prévaloir». Or, le principal argument formulé à l’appui de l’obligation vaccinale généralisée est l’intérêt de la société, au nom de la protection des personnes ne pouvant être vaccinées pour raisons médicales.

Nous sommes donc là aussi dans la contradiction.

De plus, la nouvelle obligation vaccinale contredit la loi du 4 mars 2002 relative au droit des malades, qui précise qu’«aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne».

Enfin, le «Principe de Précaution», présent dans la Constitution Française, s’oppose évidemment à l’expérimentation grandeur nature, à l’échelle de toute la population des nouveau-nés.

La décision de vacciner doit rester de la responsabilité de chaque médecin et de chaque famille, sans leur imposer des gestes ne tenant compte ni de l’hérédité, ni des prédispositions du nouveau-né, ni de son cadre de vie et de son risque réel d’infection pour chaque maladie.

Ce sont les informations que le médecin doit obtenir et il n’est pas envisageable qu’il s’en passe: on ne vaccine pas à l’aveugle.

C’est la norme dans la plupart des pays européens où les enfants ne sont pas plus infectés qu’en France, alors que la vaccination n’est pas obligatoire.

Ne serait-il pas plus judicieux que le gouvernement raisonne en termes de recommandations et non sur le mode de l’obligation-sanction? Les médecins et leurs patients ne sont pas stupides. Et il est bien connu que la responsabilisation donne de meilleurs résultats que la culpabilisation.

La ministre de la santé croit-elle vraiment qu’elle va restaurer la confiance dans les vaccins en laissant planer autant d’inquiétudes sur les épaules des parents et sur celles des professionnels de santé?

Pas de consensus médical ni citoyen sur les onze vaccins obligatoires

Une concertation citoyenne a eu lieu, mais, contrairement à ce qu’affirment aujourd’hui les autorités et la plupart des médias, cette concertation ne s’est pas prononcée en faveur de l’obligation vaccinale.

Le Monde Diplomatique de janvier 2018 rappelle que le président de la concertation citoyenne à propos des vaccins, notre collègue Alain Fischer, «n’avait pas noté dans sa déclaration publique d’intérêts avoir reçu en 2013 un prix Sanofi-Institut Pasteur de 100 000€. En outre les conclusions présentées par celui-ci n’étaient pas le reflet de la concertation sur des points majeurs.»

Les professeurs Olivier Saint-Lary et Vincent Renard, respectivement président et vice-président du Collège National des Généralistes Enseignants (CNGE) l’ont rappelé avec force dans le Quotidien du Médecin du 27 novembre 2017 (p. 15) sous le titre: «Obligation vaccinale: la balance bénéfice/risque semble défavorable.»:

«Si une consultation citoyenne a bien eu lieu, aucun des groupes de concertation (usagers et professionnels) ne s’est prononcé en faveur de cette obligation. Seule la conclusion l’a proposée en s’affranchissant des préconisations des deux groupes.».

Nous sommes donc face à un recul démocratique. Cet élément pourrait là aussi se retourner contre la décision du ministère de la Santé.

Le comité d’orientation de la concertation citoyenne sur la vaccination a d’ailleurs été dénoncé comme «une véritable opération de propagande (…) menée pour inciter les Français à se vacciner» par l’ancien secrétaire général de la Conférence nationale de santé Thomas Dietrich [6], qui a dénoncé l’absence de transparence sur les questions de santé.

Selon l’association pour une information médicale indépendante Formindep, cette concertation constitue «un échec complet» et traduit «un tableau alarmant de notre démocratie sanitaire».

La question des adjuvants, en particulier de l’aluminium dans les vaccins, n’est pas résolue

Les antigènes présents dans les vaccins sont associés à des ADJUVANTS qui ne sont pas sans risques [7] destinés à stimuler d’une façon non spécifique le système immunitaire du nourrisson en construction.

Le plus utilisé en France est l’Hydroxyde d’aluminium

Quand la ministre Agnès Buzyn tranquillise les familles en affirmant que cet adjuvant est utilisé et bien supporté depuis 90 ans, elle ne tient pas compte de sa quantité injectée ni  des effets secondaires dont  l’augmentation des réactions allergiques. Ces effets secondaires étaient jusqu’alors peu répertoriés et  leurs capacités empoisonnantes moindres car on apportait auparavant moins d’aluminium. Sans compter que la pratique récente de l’injection intra-musculaire du vaccin le rend plus nocif.

En outre les changements considérables de notre environnement (pollution chimique de nos aliments par les herbicides, les perturbateurs endocriniens, et peut-être aussi la pollution électromagnétique) pourraient fragiliser les réponses immunitaires aux vaccins tout en favorisant la pénétration de l’aluminium dans le cerveau des nourrissons.

Quand la ministre cherche sur les grands médias à affoler les familles, s’enorgueillit des décisions qu’elle prend, dénigre celles et ceux qui – sans être contre les vaccins -, mais sont pour une administration vaccinale adaptée à l’âge et à l’état du nourrisson, sous la responsabilité du médecin, elle n’adopte pas une attitude responsable.

Il faut pourtant ne pas ignorer que l’aluminium a été:

– supprimé des vaccins animaux du fait de l’apparition de sarcomes (cancers très graves) notamment chez le chat, dans la zone vaccinale, ou ailleurs dans le système osseux, les cartilages, les muscles.

Une étude italienne sur «les fibrosarcomes des chiens sur le site d’injection des vaccins. Comparaison avec ceux des chats», est très claire, notamment dans son introduction: «des dépôts d’aluminium ont été détectés dans 8 fibrosarcomes canins sur le site présumé de l’injection ainsi que dans 11 fibrosarcomes post-vaccinaux félins par la méthode acide aurintricarboxylic. [8]»

Nous demandons que des recherches dans ce sens soient réalisées sans tarder chez les jeunes atteints de sarcomes quelles que soient les localisations.

– L’aluminium a été retiré des produits cosmétiques du fait de son absorption transcutanée qui pourrait augmenter les risques de cancer du sein.

Les animaux, les produits de beauté sont donc sanctuarisés. Mais pas les vaccins pour les enfants, alors que l’aluminium est directement injecté dans le muscle, contournant les protections (barrière intestinale, épiderme).

Les 11 vaccins obligatoires pour les nourrissons contiennent 3,8 mg d’aluminium, injectés dans les muscles, ce qui dépasse de loin les normes autorisées pour les adultes.

Contrairement à ce qui est répété dans de nombreux médias mal informés, et par la ministre elle-même, la toxicité de l’aluminium dans les vaccins a été clairement établie par les travaux du Pr Romain Gherardi [9] qui ont fait l’objet de publications internationales au plus haut niveau.

De même, l’équipe du Pr Christophe Exley, spécialiste de l’aluminium depuis 30 ans, a pu détecter récemment la présence toxique d’aluminium dans le cerveau de personnes autistes décédées.  Certains avaient à peine 14-15 ans.  «L’aluminium est intracellulaire. Dans les neurones mais surtout dans les cellules qui ne sont pas neuronales. Ce sont les cellules pro-inflammatoires. Des cellules qui viennent du corps qui traversent la barrière sang-cerveau en emportant l’aluminium avec elles.» https://www.prevention-sante.eu/actus/aluminium-autisme-decouverte-pr-christopher-exley

C’est bien la voie d’administration qui est importante, car pris par voie digestive l’aluminium est normalement rejeté dans les déchets et donc sans danger, ce qui n’est pas comparable à l’injection intramusculaire, comme certains cherchent à le faire croire, car alors la quasi-totalité de l’aluminium vaccinal est capturé puis retenu dans le système immunitaire.

  • L’hydroxyde d’aluminium des vaccins a l’inconvénient de persister très longtemps (plusieurs années) dans l’organisme. Cette biopersistance est responsable: de la myofasciite à macrophages dans la zone d’injection du vaccin: le 22 décembre 2017, une femme a obtenu une indemnisation suite au développement d’une myofasciite à macrophages après vaccination contre l’hépatite B contenant des adjuvants aluminiques;
  • d’effets dans d’autres zones du corps, comme les organes lymphoïdes, le cerveau, les os, les reins.., avec des effets à long terme qu’l ne faut pas dissimuler à la population.
     
Risque de mort subite du nourrisson suite à la vaccination!

La somme des vaccins, utilisés trop tôt chez les nouveau-nés, peut déclencher une réponse inflammatoire puissante, par libération de protéines spéciales fabriquées par un système immunitaire agressé, les cytokines [10], pouvant entraîner la mort subite du nourrisson.

Une corrélation de temporalité est reconnue dans des cas précis.

Aux USA, en 2017, une publication [11] fait état parmi 20231 cas de complications rapportées après vaccination contre l’hépatite B, – 51% concernant des enfants de moins de 2 ans -,  197 Sudden Infant Death Syndrome (SIDS), c’est-à-dire Morts subites du nourrisson. Chez d’autres de plus d’un mois et de moins de deux ans, ce sont surtout les atteintes du système nerveux qui sont observées.

Bien avant, une publication du Consumer Health (Volume 22 Issue 4 April, 1999), http://www.consumerhealth.org/articles/display.cfm?ID=19990705002005, du Dr Viera Schreiber rapportait 41 cas d’enfants morts dans les 21 jours après la première injection vaccinale. Plus des trois quarts des morts subites étaient corrélées à la vaccination.

Le Dr Schreiber avait pris soin d’enregistrer et d’analyser les troubles respiratoires chez les nourrissons avant et après vaccination. Elle donnait en référence son livre «Vaccination: The Medical Assault on the Immune System».

Au Japon, en 1975, 37 cas de morts subites étaient rapportés et reliés aux vaccins. Les vaccinations avant deux ans furent alors supprimées par le gouvernement japonais entre 1975 et 1988. Les déclarations de morts subites ont disparu, jusqu’à ce que la liberté de vacciner de 3 mois à 48 mois reprenne, et que le taux de morts subites reparte à la hausse.

En 1982, dans Neurology, William C. Torch, pédiatre neurologue, publie «Diphteria-pertussis-tetanus (DPT) immunization: a potential cause of the Sudden Infant Death Syndrome (SIDS)» [12]. Sur 200 cas randomisés, il rapporte 70 cas de mort subite du nourrisson dont les deux tiers avaient été vaccinés au cours des 3 semaines précédentes. Il observait aussi une augmentation du nombre de cas, si on prend en compte un délai plus grand.

Évidemment toutes ces publications ont été fortement et agressivement attaquées. Mais on ne peut nier la relation temporelle entre vaccination précoce et mort subite.

Donc ce risque ne peut être passé sous silence. Vous devez en être informé, afin que vous connaissiez exactement les dangers possibles de ces 11 vaccins injectés aux nourrissons avant l’âge de deux ans.

Nous estimons indispensable que ces informations soient portées à votre connaissance.

Des médecins indiens en 2017, rapportent après vaccination hexavalente, – celle qui fait partie des 6 premières des 11 vaccinations aujourd’hui obligatoires -, parmi les morts subites, 93,3% de décès de nourrissons de moins d’un an dans les 10 premiers jours suivant la vaccination, avec concentration les 3 premiers jours, et 7% dans les 10 jours suivants.

Chez ceux de plus d’un an, 83% de décès ont été répertoriés dans les 10 premiers jours et 17% après le 10ème jour.[13] La publication fait état du rapport confidentiel (n°19) fourni aux autorités européennes (EMA, European Medical Agency) par la firme GlaxoSmithKline (GSK) sur le sujet. Les collègues indiens demandent aux autorités de santé de leur pays de réviser leur confiance dans les affirmations de l’EMA.

Voilà pourquoi ce devrait être au seul médecin, et sous sa responsabilité, de prescrire en confiance avec les familles, telle ou telle vaccination chez les nourrissons, les enfants ou les adultes, en fonction de leur état de santé et de leurs besoins de protection, suivant leur environnement et leur mode de vie.

Pour une véritable reconnaissance des complications liées à la vaccination

La grande réticence des familles aux 11 vaccinations obligatoires s’explique aussi par la non-prise en compte des complications liées aux vaccins, plus nombreuses et graves que ne l’affirment les autorités de santé.

Les cas d’autisme, [14] de fibromyalgie, fatigue chronique, narcolepsie, et autres pathologies auto-immunes attribués par les patients à leur vaccination restent trop nombreux [15] pour être écartés définitivement.

En effet, selon le professeur Daniel Floret, président du Comité technique des vaccinations, «il est généralement admis que 1 à 10 % des effets secondaires graves liés aux médicaments font l’objet d’une déclaration aux centres régionaux de pharmacovigilance [16]», ce qui signifie que l’écrasante majorité des cas n’est pas analysée.

En particulier, il n’est pas démontré qu’aucun lien ne sera jamais établi avec la vaccination, notamment pour des cas de cancers observés chez des enfants et des jeunes, tels les sarcomes, cancers très graves, que l’on a relié à l’aluminium chez les animaux dans différentes parties du corps, mais qui restent chez les enfants et les jeunes sans cause(s) reconnue(s), en dehors de dépression immunitaire majeure.

Face à ces risques bien réels, la confiance ne sera restaurée qu’en proposant les meilleurs vaccins nécessaires, injectés séparément selon l’âge de l’enfant, testés comme les médicaments, et qui ne contiendront plus des adjuvants nocifs.

Non à la précipitation

Jusqu’à présent, les autorités françaises font la sourde oreille et n’écoutent ni les citoyens qui s’expriment, immédiatement catalogués «complotistes» et «anti», ni les professionnels de santé qui s’inquiètent.

Ceux qui osent prendre part au débat sont trop rares et alors trop facilement accusés d’être «anti-vaccins». Cet ostracisme est mené par tous ceux qui veulent imposer les vaccinations dans la précipitation, sans en étudier en détail les conséquences possibles.

Cela ne correspond absolument pas à notre position qui est prudente, scientifiquement et médicalement fondée, et qui rejoint les conclusions de nombreux experts indépendants des laboratoires.

Aujourd’hui, la décision hâtive du gouvernement d’imposer les onze vaccins obligatoires met toute la profession médicale dans une position plus qu’inconfortable.

Avant que ne se produisent les premières conséquences de l’application de la loi, nous vous invitons à signer cet APPEL A LA RAISON pour poser des questions et demander un débat ouvert sur des bases médicales et scientifiques.

 


 

Nous sommes en démocratie et la force du nombre est indispensable pour faire vivre le débat et empêcher l’enfermement dans une politique contraignante, autoritaire, et aveugle, dont les dommages collatéraux sont connus d’avance.

Aujourd’hui, on nous assure que tout ira bien. Les récentes affaires du Médiator et d’autres médicaments, où de nombreux praticiens ont été mis en cause, prouvent que les assurances des autorités sont illusoires.

Elles ne sont de toute façon pas conformes au Serment d’Hippocrate et au principe de la responsabilité du médecin.

C’est pourquoi nous vous invitons à signer notre Appel à la Raison, et à transférer ce message à tous les praticiens de votre entourage.

Encore une fois, il ne s’agit en aucun cas de s’opposer au principe de la vaccination, mais au contraire de le réaffirmer face à une politique aventureuse qui ne peut que conduire à semer encore plus le doute dans les esprits!!!

Selon le Vaccine Confidence Project («Projet confiance dans les vaccins») dont les résultats ont été publiés sur EBioMedicine en septembre 2016, 41% des Français interrogés estiment que les vaccins ne sont pas sûrs, un record mondial, malgré une propagande pro-vaccinale intense récente.

Le phénomène ne peut plus être ignoré. Il dépasse largement le cercle des militants anti-vaccins, qui reste très marginal, et auquel on cherche trop souvent à nous associer sans le moindre discernement.

Pour restaurer la confiance, demandons au gouvernement le dialogue, la transparence, un vrai débat scientifique basé sur des preuves médicales, pour une décision réellement conforme au bien de chacun.

En conclusion nous demandons un engagement formel et officiel des autorités de santé sur les 5 points suivants
  • Pas de vaccination obligatoire avant les deux ans de l’enfant, sauf nécessité justifiée et prescrite par le médecin responsable.
     
  • La prise en compte de la protection par les anticorps du lait maternel afin que le maximum d’enfants puisse en bénéficier (et selon le libre choix de la mère), comme cela est recommandé par l’OMS, pour reculer les dates de vaccinations.
     
  • La soumission impérative des vaccins à des tests adaptés, inspirés de ceux des médicaments pour obtenir l’AMM.
     
  • La suppression de la vaccination des nourrissons contre l’hépatite B, inutile dès la 6ème de semaine de vie.
     
  • La mise au point d’adjuvants non toxiques dans les vaccins, tel le phosphate de calcium qui est inoffensif, les preuves scientifiques certaines de la toxicité de l’aluminium étant établies.
     

Ce n’est qu’à ce prix que la confiance vaccinale sera rétablie dans notre pays.

N’hésitez pas à diffuser cet APPEL À LA RAISON à tous les personnels de santé parmi vos connaissances.

Eux aussi doivent être protégés pour rester au service de leurs patients.

Avec nos remerciements,

Pr Luc Montagnier
Pr Henri Joyeux"

 

 
 
****

Sources :

[1] Concentrations of granulocyte colony-stimulationg factor in human milk after in vitro simulations of digestion. DA Calhoun, M Lunoe, Y Du, SL Staba, RD Christensen. Pediatr Res 1999 ; 46(6) : 767-71.

 Breastfeeding provides passive and likely long-lasting active immunity. LA Hanson. Ann All Asthma Immunol 1998 ; 81(6) : 523-33.

[2] Cours de Justice de l’Union Européenne, affaire C-621/15, « N. W. e. a. contre Sanofi Pasteur MSD SNC e. a. », arrêt du 21 juin 2017.

[3] Pneumocoque, 91 % ; hépatite B, 88 % ; ROR, 78 %, méningocoque C, 70 %.

[4] http://invs.santepubliquefrance.fr/Dossiers-thematiques/Maladies-infectieuses/Maladies-a-prevention-vaccinale/Couverture-vaccinale/Donnees/Diphterie-tetanos-poliomyelite-coqueluche

[5] https://30ansplustard.wordpress.com/2017/10/16/lettre-ouverte-aux-deputes-contre-le-projet-dextension-de-lobligation-de-vaccination-des-nourrissons/

[6] Thomas Dietrich, “Démocratie en santé, Les illusions perdues”, contribution au rapport de l’Inspection générale des affaires sociales sur les pilotages de la démocratie en santé au sein du ministère des affaires sociales et de la santé remis le 19 février 2016.

[7] Aluminium in brain tissue in autism – Matthew MoldaDorcas UmarbAndrew KingcChristopher Exleya – Journal of Trace Elements in Medecine and Biology – – https://doi.org/10.1016/j.jtemb.2017.11.012

– Non-linear dose-response of aluminium hydroxide adjuvant particles : Selective low dose neurotoxicity– Crépeaux Gu. & all – Toxicology jan.2017 Vol: 375, Page: 48-57

[8] Vascellari M, Melchiotti E, Bozza MA, Mutinelli F. Fibrosarcomas at presumedsites of injection in dogs: characteristics and comparison with non-vaccinationsite fibrosarcomas and feline post-vaccinal fibrosarcomas. J Vet Med A Physiol Pathol Clin Med. 2003 Aug;50(6):286-91.

[9] Travaux de niveau international expliqué avec toutes les références scientifiques dans son livre ”Toxic Story” – Ed Actes-Sud 2017.

[10] On parle de ”cytokine storm”, tempête ou orage de cytokinique !

[11] Safety of currently licensed hepatitis B surface antigen vaccines in the United States, Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), 2005-2015. – Haber P1Moro PL2Ng C2Lewis PW2Hibbs B2Schillie SF3Nelson NP3Li R2Stewart B4Cano MV2Vaccine. 2017 Dec 11. pii: S0264-410X(17)31722-X. doi: 10.1016/j.vaccine.2017.11.079. [Epub ahead of print]

[12] American Academy of Neurology, 34th Annual Meeting, Apr 25-May 1, 1982. Neurology 32(4):pt.2).

[13] Infanrix hexa and sudden death: a review of the periodic safety update reports submitted to the European Medicines Agency- Jacob Puliyel, C Sathyamala – Indian Journal of Medical Ethics DOI: 10.20529/IJME.2017.079

[14] Aluminium in brain tissue in autism – Christopher Exley, Andrew King, Matthew Mold et Dorcas Umar,  Journal of Trace Elements in Medicine and Biology, vol. 46, Elsevier, Amsterdam, mars 2018 (en ligne depuis le 26 novembre 2017).

[15] Voir par exemple récemment dans la presse : https://www.francetvinfo.fr/sante/politique-de-sante/il-ny-a-plus-de-solution-a-part-se-mettre-hors-la-loi-le-desarroi-des-parents-refractaires-aux-nouveaux-vaccins-obligatoires_2536671.html

[16] Comment faire de la pédagogie autour du vaccin ?”,Actualité et dossier en santé publique Daniel Floret, n°71, Haut Conseil de la Santé Publique, Paris, juin 2010.
 

Vous avez une question de santé ? L'équipe de professionnels de santé de l'association FamillesSantéPrévention est à disposition pour répondre aux questions des adhérents sur la page de question construite à cet effet sur la page suivante : FamillesSantePrevention.org/questions (accès réservé aux adhérents).

 

Partager cet article
Repost0
19 janvier 2018 5 19 /01 /janvier /2018 20:19

Message relayé:

La liberté de parole des médecins au sujet de la vaccination en Suisse

"Mais en Suisse, cela ne se passe pas comme ça!

La preuve: voici une interview récente d’un médecin suisse, qui dit publiquement ses «4 vérités» sur le vaccin contre la rougeole. [1]

Il s’agit du Dr Jean-Paul Ecklin, membre du Groupe médical de réflexion sur les vaccins.

«La gravité de la maladie a été exagérée à l’introduction du vaccin.»

Je vous livre ses propos en intégralité en italique, avec mes commentaires en dessous:

«Jusqu’à l’introduction du vaccin, la rougeole était, chez nous, considérée comme bénigne, avec certes des complications connues, mais rares.

La baisse spectaculaire de la mortalité de la rougeole au siècle passé est due aux conditions de vie et d’hygiène et non au vaccin arrivé plus tard.

La gravité de la maladie a été exagérée à l’introduction du vaccin, comme l’efficacité de ce dernier. C’est une constante en la matière.

En 1987, on prétendait qu’une seule injection protégeait à vie.

C’est précisément parce que cette affirmation est fausse que la rougeole est devenue un problème de santé publique.»

De fait, 10 % environ des enfants vaccinés contre la rougeole ne développent pas d’anticorps contre la maladie. [2]

Il est donc illusoire d’imaginer éradiquer la maladie... et ce n’est peut-être même pas souhaitable, car il est possible que la rougeole soit utile pour notre santé (voir ci-dessous)!

C’est le vaccin qui a fait de la rougeole un problème de santé publique.

Suite de l’interview du Dr Jean-Paul Ecklin:

En introduisant la vaccination systématique, la maladie s’est déplacée vers d’autres catégories d’âge, comme les nouveau-nés, les adolescents et les adultes.

Habituellement, la maladie se fait entre 2 et 12 ans.

Au-delà, elle risque d’entraîner des complications potentiellement plus graves.

En Suisse, la rougeole n’a jamais été un problème de santé publique.

En 1987, les sceptiques prédisaient que la vaccination systématique provoquerait un problème de santé publique, ce qui est le cas aujourd’hui.

Eh oui, tout ceci avait même été prévu dès 1950.

A cette époque, l’Organisation mondiale de la Santé avait mis en garde contre la vaccination:

«Un vaccin contre la rougeole assurant une immunité de quelques années seulement aurait pour effet de retarder l’apparition de la maladie (alors que c’est pendant la seconde enfance qu’elle présente le moins d’inconvénients et de dangers) jusqu’à l’âge adulte, où elle a un caractère plus sérieux.»

C’est exactement ce qu’on vit en ce moment…

C’est même pire que ça, puisque la rougeole touche aussi les enfants de moins d’un an, pas encore vaccinés, et très vulnérables.

Pourquoi? Parce que la maman n’a pas eu la rougeole du fait de la vaccination généralisée … et ne transmet donc plus suffisamment d’anticorps à son bébé!

Le vaccin ne protège pas contre les épidémies.

Le Dr Ecklin continue:

"Depuis trente ans, nous nous posons les mêmes questions: quelle est la nécessité d’éliminer la rougeole?

Est-ce utile, et avec quelles conséquences sanitaires?

Le vaccin contre la rougeole, même pratiqué deux fois, ne garantit pas obligatoirement une immunité.

Et un vacciné peut transmettre la maladie, ce qui rend probablement illusoire la volonté d’éradication de cette maladie.

Et en effet, des épidémies de rougeole apparaissent chez des populations parfaitement vaccinées.

En 1989, par exemple, 1363 cas de rougeoles se sont déclarés à Québec, dans une population vaccinée à 99 %! [3]  

Ne pas «faire de rougeole» a des conséquences nuisibles.

A la fin de l’interview, Jean-Paul Ecklin enfonce le clou:

"Les Européens nous envient d’abord notre liberté vaccinale… et d’opinion!

En France, nos propos nous vaudraient des sanctions.

Clamer que la fréquence de la rougeole diminue avec le vaccin ne suffit pas.

Plus convaincante serait la preuve de l’utilité de son élimination.

Les bons élèves en Europe n’ont peut-être plus de rougeole, mais ont-ils davantage d’autres maladies?

Qu’en est-il de la sous-déclaration des effets secondaires et du cumul incessant de vaccins?

Plusieurs études démontrent que l’absence d’éruption rougeoleuse augmenterait le risque de maladie immunitaire et d’allergies.

Voilà un autre tabou dont on ne parle pas jamais: les «maladies de l’enfance» seraient-elles utiles pour stimuler le système immunitaire?

Certains immunologistes pensent que OUI.

Il se pourrait même qu’un enfant qui a eu la rougeole pourrait avoir moins de risque de faire un cancer! [4]

Je laisse le dernier mot au Dr Ecklin:

Nous ne sommes pas des anti-vaccinalistes, mais des médecins favorables à la réflexion critique, nuancée et indépendante sur la question des vaccins. Un tabou en médecine. 

Moi aussi.

Mais pas le gouvernement français, ni l’Ordre des Médecins.

Bonne santé,

Xavier Bazin."

PS : si vous voulez vous mobiliser contre le caractère OBLIGATOIRE des 11 vaccins, dont celui de la rougeole, rendez-vous ici.

Quoi qu’on pense du principe de la vaccination, les Français ont le droit à la VERITE scientifique sur les risques et bénéfices des vaccins !


Sources:  

[1]  La rougeole divise le corps médical, P. Brambilla, Migros Magazine, octobre 2017

[2]  MMR Vaccine and Autism: Vaccine Nihilism and Postmodern Science, G. Poland, NCBI, 2011, traduit par Pierre Jean Arduin dans Pourquoi vacciner, 2016.

[3]  Major measles epidemic in the region of Quebec despite a 99% vaccine coverage, N. Boulianne et al., NCBI, 1991

[4]  Michel Georget, Vaccinations - "Les vérités indésirables", Dangles, 2007.

 

 

Source: http://www.mtc-infos.com/modules/cms/index.php?idcat=5&id=1014

Voir aussi: http://www.mtc-infos.com/modules/cms/index.php?idcat=5&id=1043

 

Partager cet article
Repost0
10 janvier 2018 3 10 /01 /janvier /2018 22:08

La vaccination sous la contrainte et la menace
est un
viol, et le viol est un crime

 

Le viol est défini par le code pénal comme «tout acte de pénétration (sexuelle), de quelque nature qu’il soit, commis sur la personne d’autrui par violence, contrainte, menace ou surprise.»

 

Tout acte de pénétration (sexuelle) est visé: buccale, vaginale, anale, par le sexe, par le doigt, par un objet.

 

La peine encourue est de 15 ans d’emprisonnement (20 ans sur mineur de moins de 15 ans).

 

Notez que la vaccination contrainte a tous les attributs du viol avec pénétration: Violation du corps par pénétration d’une aiguille, avec injection de produits (éjaculation).

 

Si le violeur sexuel a le SIDA et le sait, son crime de viol peut même être requalifié d’empoisonnement délibéré, ce qui, là encore, vu la composition* des vaccins, est tout à fait équivalent.

 

Sans consentement libre et éclairé, l’injection de poisons vaccinaux sous la contrainte et la menace, en bande organisée, à des mineurs de moins de 15 ans, est constitutive non seulement du crime d’empoissonnement, mais aussi de celui d’un viol caractérisé et aggravé par personne ayant autorité publique.

 

Crimes passibles de la cour d’Assise et d’une peine de 20 ans de prison (et plus) et de 150 000 € d’amende.

 

Le Président de la République, la ministre de la Santé, les députés ayant voté la loi d’obligation vaccinale, s’exposent donc à cette peine, s’ils persistent dans l’application de cette loi criminelle.

 

 
 
Partager cet article
Repost0
10 janvier 2018 3 10 /01 /janvier /2018 21:52

 

Le Tribunal de Grande Instance de Grenoble
interdit à Enédis de poser un Linky chez un couple d'opposants

 

"En l'état des éléments scientifiques contradictoires produits aux débats par les parties, il n'est pas exclu totalement que les onde s émises par le compteur litigieux soient en mesure de causer un trouble à certaines personnes, même s'il s'agit d'un risque limité à certains individus... Comme au surplus, le contrôle de la consommation électrique peut continuer à se faire avec le compteur actuellement en place, il est justifié de faire cesser le trouble manifestement illicite causé aux époux F... et d'interdire à la S.A. ENEDIS d'installer le compteur communicant par radio fréquence, dit "Linky" à leur domicile..."

Lire le communiqué

Partager cet article
Repost0