11 vaccins: Appel urgent
aux personnels et professionnels
de santé
"Chers collègues, chères consœurs, chers confrères,
La nouvelle loi, une erreur grave de santé publique
La nouvelle loi qui impose 11 vaccinations aux enfants est une grave erreur de santé publique. Elle a été amplement évoquée par la presse.
Nous, professionnels de Santé, prescripteurs et/ou vaccinateurs sommes engagés par la loi sur une voie qui pourrait se retourner contre certains de nos propres patients, contre notre profession, et contre nous-mêmes.
Vous allez comprendre pourquoi. Cet Appel souligne des éléments importants sur le sujet. Lisez-le attentivement avant d’accepter de le signer.
Nous ne sommes pas contre les vaccins: nous sommes opposés aux vaccinations systématiques et trop nombreuses avant l’âge de 2 ans.
Ces pratiques exposent les petits enfants à des complications, car leur système immunitaire n’est pas prêt à recevoir tant d’agressions antigéniques.
C’est ainsi que l’on peut craindre:
- Des morts subites du Nourrisson, même si elles sont rares;
- Des maladies auto-immunes chroniques graves et handicapantes dans les années suivantes particulièrement du fait de la présence de quantités trop importantes de l’adjuvant aluminique dans la composition de la plupart des vaccins;
- Des risques de cancers particuliers, des os, des muscles, des cartilages.. que sont les sarcomes, extrêmement graves chez des adolescents et adultes jeunes, détectés déjà chez les animaux recevant des vaccins avec l’adjuvant aluminium.
Vous êtes personnellement concerné si vous êtes:
- Médecins et Chirurgiens généralistes ou spécialistes,
- Internes des hôpitaux, quelles que soient les spécialités,
- Étudiants en médecine, pharmacie, kinésithérapie,
- Pharmaciens d’officine ou d’industrie,
- Sages-femmes, infirmières-infirmiers et autres personnels de santé
- diplômé ou en formation.
Si vous appartenez au grand public, hors des professions de santé, n’hésitez pas à proposer ce texte à ceux qui vous soignent. Ils sont plus que jamais concernés et responsables.
Cet Appel est lancé par deux professeurs de médecine:
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Le Pr Luc Montagnier
Prix Nobel de Médecine pour la découverte du Virus de l’Immunodéficience Humaine | Pr Henri Joyeux
Prix International de Cancérologie pour ses travaux en Nutrition |
Voici 3 décisions d’une extrême gravité.
- Tout enfant né en France à partir du 1er janvier 2018 doit désormais obligatoirement recevoir avant ses 2 ans onze vaccins, contre trois auparavant.
- Les enfants non-vaccinés n’auront plus accès aux établissements d’accueil collectif à compter du 1er juin 2018.
- Les parents réfractaires ne relèvent plus désormais du Code de la santé publique, mais du Code pénal relatif à la santé de l’enfant qui prévoit une peine beaucoup plus lourde: deux ans de prison et 30 000 euros d’amende.
Aucune consigne spécifique n’est donnée concernant l’état immunitaire des enfants. Rien n’est dit pour promouvoir l’allaitement maternel, – en respectant le choix de la mère -, pourtant recommandé par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et qui apporte pourtant la meilleure protection naturelle [1]. L’allaitement permet de reporter les vaccinations au-delà de deux ans, si les parents sont en bonne santé.
Cette augmentation brutale du nombre de vaccins obligatoires, et des sanctions, est présentée par la ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn, comme le moyen de «rétablir la confiance des Français» dans la vaccination.
Il s’agit d’un CONTRE-SENS de Santé publique, dont la ministre – soutenue de fait par les fabricants de vaccins – veut rendre responsable les familles.
Cependant:
- Le procédé est-il scientifique? Est-il médicalement justifié? Est-il finalement si démocratique?
- Est-il respectueux du principe de précaution et du droit français et des traités internationaux souscrits par la France?
- Est-il bénéfique à la santé des enfants concernés, et du public en général??
Le dispositif mis en place par la loi est malheureusement plus que douteux, entaché de flou, voire d’opacité.
Les familles vont-elles devoir nous demander, avant toute vaccination, un certificat de responsabilité en cas de complications?
Pour les 11 maladies, le nourrisson devra recevoir avant ses 2 ans au moins quatre injections intramusculaires, sans compter les rappels:
- 1 injection hexavalente contre Diphtérie-Tétanos-Polio-Coqueluche-Haemophilus Inflenzae b et Hépatite B;
- 1 injection contre Rougeole-Oreillons-Rubéole (3 virus atténués);
- 1 injection contre le Méningocoque C;
- 1 à 2 injections contre les Pneumocoques: un vaccin contre 13 sortes de pneumocoques (vaccin dit 13-valent) et un vaccin contre 23 sortes de pneumocoques (vaccin dit 23-valent).
Pourquoi votre action est importante aujourd’hui
Nous, Professeur Luc Montagnier et Professeur Henri Joyeux, lançons aujourd’hui cet Appel à nos confrères et à tous les personnels de santé de France, à cause d’un danger encore plus immédiat qui vous concerne personnellement en tant que professionnel de santé.
En tant que professionnel de santé, vous restez ultimement la seule personne responsable de tous les actes que vous pratiquez sur vos patients.
Aujourd’hui, la ministre de la Santé laisse entendre que l’Etat français «couvrira» tous les cas d’accidents ou effets secondaires liés aux vaccins.
Cependant, demain, les nouvelles lois sur les «recours collectifs» («class actions») menées par des associations de patients, pourraient vous rendre vulnérable à des poursuites judiciaires à titre personnel, avec des conséquences potentiellement dramatiques autant pour votre vie professionnelle que personnelle.
Cela est d’autant plus vrai que les laboratoires fabricants se sont dégagés de leur responsabilité, alors même que leurs vaccins n’ont pas subi tous les tests qui sont exigés pour les médicaments qui doivent obtenir une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché).
Les effets des onze vaccins sur le système immunitaire immature des enfants de moins de deux ans et dès la 6ème semaine de vie portent en eux-mêmes de nombreuses questions auxquelles la Science n’a pas répondu à ce jour, en particulier dans l’apparition de maladies inflammatoires chroniques ou auto-immunes.
Il sera très compliqué de soutenir l’inverse devant la Justice: plusieurs jugements y compris au niveau européen ont déjà condamné des laboratoires suite à des maladies relevant de l’aluminium comme la myofasciite à macrophages mais aussi d’autres maladies comme la sclérose en plaques (vaccin hépatite B).[2]
Actuellement, une procédure est en cours devant le Conseil d’Etat, à la demande de 3055 personnes pour faire retirer l’adjuvant aluminique présent dans les vaccins obligatoires et le remplacer par le phosphate de calcium. La ministre de la Santé doit répondre au plus tard le 15 janvier 2018 devant le Conseil d’État.
Les possibles conséquences négatives de l’obligation vaccinale généralisée pourraient exposer les professionnels de santé à des actions judiciaires aux fins d’obtenir des dommages et intérêts en cas d’accident. Elles pourraient être examinées demain par la Cour européenne des droits de l’Homme.
C’est pourquoi nous vous invitons à vous positionner officiellement à nos côtés pour demander au Gouvernement des éléments scientifiques supplémentaires pour justifier sa décision.
Il ne s’agit en aucun cas de nous opposer à la politique vaccinale, ou d’encourager un quelconque mouvement de «résistance aux vaccins», et encore moins de contester l’efficacité des vaccins pour endiguer les maladies infectieuses. Aucun thérapeute sérieux ne peut contester l’efficacité de la vaccination dans de nombreux cas.
En revanche, il s’agit de faire part aux Autorités de nos interrogations, et nos sérieuses réserves, car notre préoccupation prioritaire est le bien-être et la santé des nourrissons.
Imposer les onze vaccins ne correspond pas, à l’origine, à une quelconque nécessité de santé publique.
Contrairement à ce qu’affirment les autorités, il n’y a pas de baisse de la «couverture vaccinale».
Pour justifier sa décision, la ministre de la Santé a, en effet, évoqué à plusieurs reprises «une couverture vaccinale qui ne cesse de baisser».
C’est inexact.
Les données officielles de Santé publique France indiquent le contraire: en 2015, la couverture des enfants de 2 ans contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, et Haemophilus influenzae b, dépassait les 95 %, alors qu’elle oscillait entre 87 et 91 % entre 2000 et 2013.
Les taux de couverture pour les autres vaccins [3] progressaient également. La primo-vaccination du nourrisson (3 doses) atteignait 98 % ou plus pour le DTP [4] ce qui est «très élevé et conforme aux objectifs de santé publique», selon l’organisme.
Si le gouvernement rend obligatoire aujourd’hui onze vaccins au lieu de trois, c’est pour une raison parfaitement connue, qui relève d’un tout autre registre que celui de la médecine pure.
Il s’agit de contourner une DÉCISION du Conseil d’Etat, une juridiction administrative et non médicale, qui concernait l’ancienne ministre de la Santé.
En effet, le 8 février 2017, le Conseil d’Etat, juridiction administrative suprême, a demandé au ministère de la Santé «dans un délai de six mois, et sauf à ce que la loi évolue en élargissant le champ des vaccinations obligatoires, de prendre des mesures ou de saisir les autorités compétentes pour permettre de rendre disponible des vaccins correspondant aux seules obligations».
Ces vaccins «correspondant aux seules obligations» étaient en l’occurrence le DT-Polio seul qui a fait ses preuves et que les familles réclament. La pétition que l’un de nous a lancée http://petition.ipsn.eu/penurie-vaccin-dt-polio/ sur ce sujet a été signée par 1 138 888 personnes sans la moindre publicité des grands médias, bien au contraire.
Mais le DT-Polio seul n’était plus disponible en 2008, – par calcul et entente entre les fabricants -, et dans l’indifférence criante des Autorités, qui ont laissé s’écouler les stocks dans les pharmacies en 7 ans. Le DTP n’existait plus que couplé à d’autres vaccins ce qu’on appelle un vaccin multivalent.
Pourquoi avoir choisi cette voie quand la loi alors en vigueur, reposant sur des bases scientifiques non controversées, prévoyait le DTP seul?
En somme l’obligation des onze vaccins permet d’aligner la législation sur les vaccins avec l’état de fait imposé par les fabricants, qui ont rendu introuvable le simple DTP en pharmacie, sans tenir compte de l’exigence des familles.
Signez cet l’APPEL À LA RAISON pour défendre l’intérêt de vos patients et exiger des Autorités un débat sur des bases sérieuses exclusivement médicales et scientifiques, hors des fabricants et de leurs affiliés.
Pas de justification scientifique ni médicale sérieuse pour le choix des onze vaccins
Les onze vaccins désormais obligatoires étaient jusque-là recommandés sur le calendrier vaccinal, par les Autorités, sur la base de données scientifiques qui n’ont pas été remises en question; c’est plus qu’une nuance.
Toutefois, ils ne correspondent pas forcément à des maladies représentant un risque significatif pour TOUS les enfants.
Le Premier ministre Édouard Philippe a invoqué dans son discours de politique générale de juillet 2017 les dix décès causés par la rougeole entre 2008 et 2016 pour justifier l’obligation de vaccin contre la rougeole.
Cependant, comme lui a répondu le Collège national des généralistes enseignants (CNGE), la majorité des personnes décédées souffraient d’un déficit immunitaire contre-indiquant cette vaccination. Faut-il croire que le Premier ministre n’ait pas été informé de cela par ses conseillers?
Où est la logique? Nous médecins, comment pouvons-nous encore nous justifier, rester crédibles face à nos patients qui nous demandent des explications??
Et ce n’est pas tout. Pourquoi avoir rendu obligatoire la vaccination contre l’hépatite B et le méningocoque C?
– L’hépatite B est une maladie qui ne se transmet que par le sang et les contacts sexuels. Le vaccin est donc utile chez les enfants dont un parent est porteur du virus. Or, il y a un dépistage obligatoire pour la mère à la fin du 2ème trimestre de la grossesse.
Ce vaccin est inutile chez au moins 95 % des nourrissons. Pourquoi leur faire courir le risque, même très faible, d’effets indésirables, s’il n’y a aucun bienfait en contrepartie?
Selon les experts, la durée de protection contre le VHB reste incertaine, elle serait longue (>15 ans): actuellement, aucun rappel ne semble nécessaire. C’est donc au-delà de 15 ans qu’il faudrait vacciner et uniquement celles et ceux qui courent des risques par leurs comportements ou par leur profession.
Enfin affirmer qu’avec le vaccin contre l’hépatite B, il n’y a pas d’atteinte neurologique avant 2 ans, ne préjuge pas d’atteinte plus tardive, quand on sait qu’il y a 25 cas de sclérose en plaques (SEP) de plus chaque année (700 enfants au total en France), commençant vers 6 ans et dans un âge moyen de 11-12 ans.
Une étude épidémiologique rigoureuse s’impose pour comparer les cas de SEP avec la vaccination contre DTP seul, et depuis la diffusion de l’Hexavalent recommandé. Nous l’attendons.
– Les infections à méningocoque C sont à risque infinitésimal en temps normal. La vaccination ne devrait être envisagée qu’en cas de risque d’épidémie avéré. En dehors de ce cas, dans une lettre ouverte aux députés, des confrères médecins généralistes estiment que: «la vaccination universelle contre le méningocoque C risque de provoquer plus d’effets indésirables graves chez les nourrissons que de bénéfices dans la population générale. [5]». Nous partageons leur position.
On connaît actuellement 27 maladies bactériennes, 27 maladies virales, 10 maladies parasitaires, 2 maladies mycobactériennes. La décision de vacciner contre certaines, et pas d’autres, nécessite un débat scientifique qui n’a pas eu lieu.
Il y a cependant une logique, mais elle n’est pas d’ordre médical, ni scientifique.
C’est une «logique» administrative qui arrange les Autorités, sans parler des laboratoires pharmaceutiques.
Mais cette «logique» entraîne pour nous, professionnels de santé, une insécurité juridique importante. En nous y conformant, nous nous mettons en opposition avec la loi française et avec le droit international, comme vous allez le vérifier!!
Non-conformité de l’obligation vaccinale de la loi française avec le droit international
En 2005, l’Unesco a adopté la Déclaration Universelle sur la Bioéthique et les Droits de l’Homme avec un consensus de 193 pays dont la France. Elle stipule que toute intervention médicale préventive ne doit être effectuée qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé, de la personne concernée et fondé sur des informations suffisantes.
Ce n’est évidemment pas le cas de la vaccination obligatoire qui est imposée aux parents sous la menace de sanctions pénales et d’exclusion discriminatoire des collectivités (exclusion des écoles et crèches à compter du 1er juin 2018). Ainsi les enfants fragiles dans les suites de chimiothérapie, ou les poly-allergiques, qui ne peuvent, ne doivent pas être vaccinés, seront-ils exclus à jamais des collectivités? Rien ne l’indique.
D’autre part, la Déclaration Universelle sur la Bioéthique et les Droits de l’Homme prévoit dans son article 2 que le «seul intérêt de la Science ou de la Société ne doit pas prévaloir». Or, le principal argument formulé à l’appui de l’obligation vaccinale généralisée est l’intérêt de la société, au nom de la protection des personnes ne pouvant être vaccinées pour raisons médicales.
Nous sommes donc là aussi dans la contradiction.
De plus, la nouvelle obligation vaccinale contredit la loi du 4 mars 2002 relative au droit des malades, qui précise qu’«aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne».
Enfin, le «Principe de Précaution», présent dans la Constitution Française, s’oppose évidemment à l’expérimentation grandeur nature, à l’échelle de toute la population des nouveau-nés.
La décision de vacciner doit rester de la responsabilité de chaque médecin et de chaque famille, sans leur imposer des gestes ne tenant compte ni de l’hérédité, ni des prédispositions du nouveau-né, ni de son cadre de vie et de son risque réel d’infection pour chaque maladie.
Ce sont les informations que le médecin doit obtenir et il n’est pas envisageable qu’il s’en passe: on ne vaccine pas à l’aveugle.
C’est la norme dans la plupart des pays européens où les enfants ne sont pas plus infectés qu’en France, alors que la vaccination n’est pas obligatoire.
Ne serait-il pas plus judicieux que le gouvernement raisonne en termes de recommandations et non sur le mode de l’obligation-sanction? Les médecins et leurs patients ne sont pas stupides. Et il est bien connu que la responsabilisation donne de meilleurs résultats que la culpabilisation.
La ministre de la santé croit-elle vraiment qu’elle va restaurer la confiance dans les vaccins en laissant planer autant d’inquiétudes sur les épaules des parents et sur celles des professionnels de santé?